Afin de les sensibiliser sur l’importance de la planification familiale, le Mouvement d’Actions des Jeunes (MAJ) a organisé à l’intention des aides familiales une conférence-débats le mercredi 18 novembre dernier dans les locaux de l’AMPPF. Une initiative qui rentre dans le cadre de son projet « si j’ai des droits, elles aussi ».
Le Mouvement d’Actions des Jeunes (MAJ) est la cellule jeune de l’AMPPF qui est l’Association Malienne pour la Protection et la Promotion des Droits de la Famille. Une association membre de la Fédération Internationale de la Planification Familiale.
Cette conférence-débats organisée à l’intention des aides familiales rentre dans le cadre de son projet dénommé « si j’ai des droits, elles aussi », lancé en septembre dernier et qui doit durer 4 mois.
En effet, le Mouvement d’Actions des Jeunes (MAJ) se trouve dans 44 pays en Afrique et c’est depuis 2004 qu’il existe au Mali au sein de l’AMPPF.
Le MAJ est une stratégie de l’IPPF pour que les jeunes puissent s’informer entre eux et soient les premiers acteurs en termes de santé sexuelle et reproductive.
Pour la présidente nationale du MAJ Adam Dicko, il faut que les jeunes soient les porte-paroles auprès de leurs pairs et au niveau des prises de décisions.
Selon elle, l’objet de la conférence s’inscrit dans le cadre du projet « si j’ai des droits, elles aussi ». Un projet financé par l’IPPF suite à un appel à candidature de tout les MAJ de la région Afrique. Un appel à candidature à l’issue duquel, le projet du Mali a été retenu parmi les cinq meilleurs.
Pour la circonstance dit-elle, ils ont identifié 20 aides familiales et les ont formées sur leur droit en matière de santé sexuelle et reproductive.
Fatoumata Fofana