Ebola/Clinique Pasteur : Des patients dans la nature

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Santé publique : La clinique Pasteur fermée après le décès d’un infirmier provoqué par le virus Ebola
La clinique Pasteur sise à ACI 2000

La clinique Pasteur a été mise en quarantaine et placée sous surveillance policière depuis l’éclatement de l’affaire d’Ebola en son sein avec l’hospitalisation du malade guinéen. Mais en fin de semaine dernière, il semble que plusieurs malades ont réussi à quitter cette clinique. Ils auraient disparu dans la nature…

 

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Le domicile de l’infirmier sans surveillance

Contrairement aux tapages des autorités sanitaires, aucune mesure n’auraient été prise pour sécuriser et isoler le domicile de l’infirmier de la clinique Pasteur, décédé d’Ebola. Ce domicile, situé à Daoudabougou, serait très fréquenté actuellement. Aussi, un marché et un jardin d’enfants seraient à proximité des lieux. Au même moment, l’on continue à diffuser des contrevérités sur les mesures prises par les autorités pour endiguer cette maladie.

 

 

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La France étend ses contrôles aux vols en provenance du Mali

La France a décidé d’étendre à partir de samedi son dispositif de contrôle des passagers aux vols en provenance de Bamako, la capitale du Mali, dernier pays d’Afrique de l’Ouest touché par l’épidémie d’Ebola, a annoncé le ministère de la Santé.

“Dans le cadre de la lutte contre le virus Ebola, et du fait de l’évolution de la situation épidémiologique, le dispositif de contrôle et de suivi des passagers sera étendu aux vols en provenance de Bamako (Mali), à compter de samedi 15 novembre 2014”, indique le ministère dans un communiqué.
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Le bilan de l’épidémie dépasse la barre des 5 000 morts

Le nombre de morts dûs à l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola a dépassé le cap des 5 000, avec 5 160 décès enregistrés pour 14 098 cas, selon le dernier bilan de l’OMS, diffusé mercredi 12 novembre. Huit pays ont enregistré des cas mortels, avec la Guinée, le Liberia et la Sierra Leone en première ligne. Dans ce dernier pays, l’OMS constate “une forte hausse” du nombre de cas, avec 421 infections nouvelles la semaine dernière.

L’épidémie, la plus grave depuis l’identification du virus en 1976, est partie de Guinée fin décembre 2013. Depuis, on a enregistré 2 836 morts au Liberia, pays le plus touché. En Sierra Leone, l’OMS a recensé 1 169 morts, tandis qu’elle en a décompté 1 142 en Guinée.

Le bilan au Nigeria et au Sénégal est inchangé depuis plus de 42 jours, soit 20 cas dont huit mortels au Nigeria, et un cas au Sénégal. Ces deux pays ont été retirés de la liste des pays où sévit l’épidémie. Au Mali, l’OMS fait maintenant état de quatre cas, qui se sont tous soldés par la mort des malades.

 

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Trois traitements bientôt testés en Afrique

Les premiers essais de trois traitements cliniques de la fièvre hémorragique Ebola vont commencer en décembre dans trois centres de soins de Médecins sans Frontières situés en Guinée et au Liberia, avec l’espoir de trouver un traitement pour cette épidémie qui a fait plus de 5 000 morts en Afrique de l’Ouest. Leurs résultats pourraient être disponibles dès février 2015, précise l’ONG.

“C’est un partenariat international sans précédent qui représente un espoir pour les malades d’obtenir enfin un vrai traitement d’une maladie qui tue aujourd’hui entre 50 et 80% de ceux qui sont infectés”, a souligné le docteur Annick Antierens, qui coordonne les essais pour MSF.

Les protocoles de ces essais sont en phase finale de développement et ont été conçus avec un objectif de survie à au moins 14 jours après avoir développé la maladie. Deux tests, sous l’autorité respectivement de l’université d’Oxford et de l’Institut français pour la santé et la recherche médicale (Inserm), utilisent des médicaments antiviraux. Le troisième, avec l’Institut de médecine tropicale d’Anvers (Belgique), utilise une thérapie à base de sang et de plasma de convalescents.

“Mener des études cliniques sur des médicaments expérimentaux au coeur d”une crise humanitaire est une nouvelle expérience pour nous tous, mais nous sommes déterminés à ne pas décevoir les populations d’Afrique de l’Ouest”, a déclaré le professeur Peter Horby, investigateur principal de l’essai mené par l’ISARIC d’Oxford.

 La Rédaction

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2 COMMENTAIRES

  1. Monsieur de l’AUBE ,dans vos deux premiers paragraphes ,vous avez écrit au conditionnel sur un cas TRÈS GRAVE .Si vous ne pouvez pas vérifier les rumeurs que vous recevez ,alors taisez-vous .
    par contre Mr Nostradamus vous avez eu une bonne réaction ,réaction que doit avoir tout lecteur de Maliweb pour boucler le bec a ces mauvais journalistes ettout en apportant la bonne information . Merci
    QU’ALLAH SAUVE LE MALI

  2. Je ne sais pas d’ou vous tirez vos informations mais sachez que cette famille est bien suivi avec prise de temperature quotidienne par des agents de sante.

    A voir le temps utilise dans vos phrases on se rend compte que vous n’avez fourni aucun effort pour verifier les ragots que vous distille ici.
    “aucune mesure n’auraient….. Ce domicile serait très fréquenté actuellement”
    Salaam

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