Cap du centre commercial : Pratiques malsaines et indélicatesses qui enterrent les ambitions des autres femmes

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La femme est le pilier de la Nation. Elle mérite alors respect et considération. Mais, de plus en plus, des femmes se jettent en pâture. Elles veulent s’enrichir par tous les moyens impropres.
En effet, Mme Traoré Minata Coulibaly, Directrice du Centre d’Animation Pédagogique du Centre Commercial (CAP-CC) a son nom dans toutes les causeries de mauvaise gestion, de malversations. Afin de pouvoir la permettre de se justifier, nous avons tout tenté. Des faux rendez-vous, finalement elle a mis une croix sur nos nombreux appels et texto.
Alors, pour parler de ses gaffes, il faut d’abord remonter aux frais d’inscription des candidats libres de 2013. Au lieu qu’il y ait une gestion collégiale de ces sommes, elle va seule les bouffer, dit-on. Ce qui crée un véritable émoi au sein de sa boite. L’année suivante, de sources dignes de foi, le conseiller à l’orientation avec le soutien des autres membres du CAP vont aussi faire le festin. Ce qui a fait que cette année, les choses se sont bien déroulées à ce niveau.
Très gourmande, nous dit-on, voulant vite se taper des villas, elle ne fait que des mutations anormales et arbitraires. Il suffit de glisser quelques billets de banque pour se satisfaire. En plus des mutations, lors du choix des enseignants pour la surveillance ou la correction, elle se fait les poches. Puisqu’après les propositions des inspections suite à celles faites par les établissements, elle est la seule habilitée à prendre les décisions. A ce niveau également, c’est une source encore d’enrichissement illicite pour elle.
En abordant le domaine de la correction, cette année, elle a tout chamboulé jusqu’à choisir des retraités pour la correction au détriment des ayants-droits. En outre, les textes indiquent un recyclage annuel pour les classes de 1ère et 3ème années. Malheureusement, c’est le dernier de ses soucis. Elle les fait si elle veut avec son corollaire de couper les émoluments.
Au moment où les plus hautes autorités s’activent à mettre les femmes dans leur assiette, les rares qui occupent des postes de responsabilité ont mauvaise presse. Elles volent, détournent, pillent les deniers publics pour rien qu’assouvir leur seul désir. Alors, il faut beaucoup réfléchir, sinon Mme Traoré Minata Coulibaly enterre les ambitions des autres femmes par ses pratiques malsaines et ses indélicatesses.
Parler des gaffes de cette dame va remplir toutes les huit pages de votre journal. A cet effet, nous y reviendrons. Inchallah !
Ousmane COULIBALY

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