L’hôtel Radisson Blu de Bamako a abrité hier l’ouverture des travaux d’un atelier de deux jours organisé par le ministère malien de la justice en partenariat avec l’Institut africain de l’entreprise (AIE). Cette rencontre est mise à profit par les participants pour étudier les différents éléments du contrat que doivent signer la famille judicaire et les organisations de la société civile et le secteur privé.
Selon le service de communication du ministère de la justice, la signature de ce contrat pourra apporter plus de transparence dans la manière d’exécuter les décisions de justice dans le cadre de l’appui au processus de renouveau de la justice. Cette réforme devrait inclure une collaboration étroite entre ce département, les organisations de la société civile et le secteur privé. Dénommé contrat de transparence avec les citoyens, son objectif est d’abord de mieux faire connaitre la justice et les progrès qu’elle a accomplis, ensuite de s’informer mutuellement sur les cas spécifiques à prendre en charge, puis appuyer les orientations pour une justice plus transparente dans ses pratiques et dans ses résultats et enfin un suivi de l’avancement des engagements pour une justice plus crédible.
Dans son discours, le conseiller technique du ministère de la justice, Sékou Traoré, représentant le ministre empêché a déclaré que la problématique des réformes du secteur judiciaire constitue une préoccupation majeure pour les plus hautes autorités du pays. Il a également reconnu que le système judiciaire du pays souffre de plusieurs maux qui vont de la lenteur dans les procédures, à l’iniquité en passant par l’injustice et la corruption qui gangrène le secteur de l’avis de certains observateurs.
Ainsi, pour lever ces différents écueils la famille judiciaire s’est engagée sur le chemin de la refondation sur des valeurs de respect des droits et des libertés des citoyens. Pour lui le modèle de justice recherché par le Mali est celui d’une justice de qualité au service de la paix et de la quiétude sociale.
Il a indiqué que l’atteinte de cette ambition nécessite une synergie d’action et une convergence des efforts de tout un chacun. Evoquant le thème du jour, il a révélé que c’est un contrat de vérité et d’entraide.
Il s’agit d’une nouvelle dynamique en vue d’une saine distribution de la justice. Un contrat de conviction qui permettra également de corriger les dérives constatée. Après son allocution, une présentation des éléments du contrat a été faite suivie d’un exposé sur le renouveau de la justice présenté par M. Bâ. Signalons enfin que la signature dudit contrat interviendra aujourd’hui pour permettre à la justice malienne de répondre efficacement aux grands défis qui l’attendent.
Massiré DIOP
VOUS AVEZ VOTRE AVENIR ENTRE VOS MAINS.
CEDER PAS AUX PRESSSIONS ET MAINTENEZ LE MAIRE DE BAMAKO EN PRISON JUSQU’A SON JUGEMENT ET LES AUTRES MAIRES VOLEURS SOIENT INTERPELLES DANS LES REGLES DE L’ART.
NOUS VOUS FAISONS CONFIANCE ET CONTINUER ET MAINTENEZ LE CAP.
APRES LA TRANSITION QUE LE VERIFICATEUR GENERAL REGARDE UN PEU LES MALVERSATIONS DE DERNIER MOIS QUI SONT ENTRAINT DE SE FAIRE ACTUELLEMENT AVEC DES MARCHES ET PRETS. ET LES MINISTRES CONCERNES SOIENT INTERPELLES ET JUGES CONFORMEMENT A LA LOI.
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