Le 4 Aout 2018 à son siège, L’ASSEP a tenu sa toute première conférence de presse. Ont pris part à cette rencontre au côté du président, les directeurs des éditeurs de presse privée. L’occasion était opportune pour le nouveau président de dévoiler ses ambitions pour l’association qu’il dirige.
D’entrée de jeu, BASSIDIKI TOURE dit “KÔKE”pour les intimes, a salué les personnes présentes à cette conférence, avant d’observer une minute de silence en la mémoire de notre confrère, TIDIANI TANGARA, Directeur de Publication journal “LE DENONCIATEUR”, arraché à l’affection de tous le 27 juillet dernier. Il retient de lui, le combattant de la liberté d’expression, un homme de conviction, bref un croyant tout court.Ensuite, il a dénoncé la fermeture de la RADIO RENOUVEAU FM qu’il considère comme illégale et demande la réouverture immédiate de ladite RADIO.
Il a demandé à l’URTEL de faire un communiqué pour la réouverture immédiate de Renouveau FM.
Situant le cadre de la rencontre, M.BASSIDIKI TOURE a fait le compte rendu des rencontres que son bureau a eu à faire avec les partenaires. Il s’agit de leur rencontre avec l’ambassadeur d’Algérie au Mali, de l’audience qu’il accordée à la délégation de la Mission d’Observation Electorale de la CEDEAO au Mali dans le cadre de l’élection présidentielle du 29 juillet dernier. Cela, 48heures après sa prise de fonction.la CEDEAO et bien d’autres.
Il s’est félicité des actions menées par son bureau dans les 20jours qui ont suivi leur élection, avant de dévoiler ses ambitions pour la presse écrite malienne et les journalistes.
Après sa communication, la parole a été donnée aux journalistes de poser des questions relatives à la bonne marche de l’ASSEP et de son accompagnement par les partenaires. Lesquelles questions posées ont eu des réponses satisfaisantes auprès du président.
Pour rappel, Bassidiki a été plébiscité à l’issue de l’Assemblée Générale ordinaire du 14 juillet 2018. Le nouveau bureau que j’ai l’insigne honneur de présider comprend 16 membres issus de toutes les sensibilités de la presse privée du Mali, avait-il laissé entendre ?
Par Mamadou SISSOKO (Stagiaire)