Le Premier ministre et président du comité stratégique du M5-RFP intervenait lors de la célébration de l’An I de la libération de Kidal par les Forces armées maliennes
Le président du comité stratégique du Mouvement du 05 juin-Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) et Chef du gouvernement, Dr Choguel Kokalla Maïga, a animé, samedi dernier au Centre international de conférences de Bamako (CCIB), une réunion autour de la commémoration de l’An I de la libération de Kidal. Il a saisi l’opportunité pour apporter une certaine clarification par rapport à la gestion de la Transition et faire des propositions pour une réorientation du processus transitoire.
C’est dans une salle Djéli Baba Sissoko du CICB remplie de militants, sympathisants et dirigeants du M5-RFP dont le ministre chargé de la Refondation Ibrahim Ikassa Maïga que le Premier ministre s’est réjoui de la récupération de la ville de Kidal par les vaillantes Forces armées maliennes (FAMa), le 14 novembre 2023. Selon le président du M5-RFP, cette date marque, non seulement, la libération d’une localité malienne du néocolonianisme et de ses suppots traîtres à la nation, mais également, l ‘unification de la patrie, le Mali que l’ennemi avait réussi, trois décennies durant, à briser.
Choguel Kokalla Maïga a rappelé que durant trois décennies, la ville de Kidal et ses dépendances échappaient au contrôle de l’État central. «Plus d’une humiliation nous fut imposée depuis cette localité de l’extrême nord malien. Son accès était interdit à nos FAMa. En revanche, des forces étrangères sous l’égide de l’Onu, en réalité de la France, y servaient de boucliers aux terroristes », a déclaré le Premier ministre.
Pour lui, la France ne peut pas décoloniser, ajoutant qu’en la matière, le seul langage qu’elle comprend est celui que l’héroïque peuple vietnamien lui a tenu le 7 mai 1954 à Dien Bien Phu. «C’est bien ce langage que les autorités de la Transition ont choisi de lui tenir, même si cela se fait avec un registre différent», at-il indiqué. Le président du M5-RFP a ensuite signalé que la libération de la ville de Kidal est la preuve manifeste que les lignes ont plus bougé depuis la rectification de la Transition.
CONFUSION ET AMALGAME- S’agissant du concept «clarification», le sujet qui fait couler beaucoup d’encre et de salive ces derniers temps, le Dr Choguel Kokalla Maïga a, comme promis, tenté de donner ses éléments d’explication. Il a signalé que de nombreux Maliens ont le sentiment que sur la Transition malienne plan « un véritable spectre de la confusion et de l’amalgame ». D’après lui, ce spectre s’accompagne d’un corolaire constitué par un véritable risque de remise en cause des résultats de la lutte héroïque et de la marche victorieuse du peuple malien.
«Nous faisons face à un risque regrettable et inimaginable, il y a seulement trois ans, de retour programmé en arrière», at-il regretté. Avant de rappeler que le destin de la Transition s’est joué le 14 janvier 2022 quand «nous nous sommes dressés comme un seul homme contre les sanctions de la Cedeao».
Rappelant que la Transition était censée prendre fin le 26 mars 2024, le président du M5-RFP a déploré « son rapport sine die, unilatéralement, sans débat au sein du gouvernement ». «Aujourd’hui encore, il n’existe aucun débat sur la question», at-il relevé. Et d’affirmer que lui-même, en tant que Premier ministre, «se contente des rumeurs de la presse ou à une interprétation aléatoire des faits et gestes du ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation».
Dr Choguel Kokalla Maïga a ajouté que le gouvernement n’a aucune information sur le programme ni le plan d’actions de l’Autorité indépendante de gestion des élections (Aige) dont la mise en place a contourné, selon lui, « toutes les procédures ». normatives dans le fonctionnement d’une équipe dirigeante».
«Il s’agit là d’un ensemble de faisceaux qui poussent les citoyens à penser et imaginer toutes sortes de scénarios, à se lancer dans toutes sortes de conjectures sur la fin de la Transition. Aujourd’hui, il est temps que le peuple malien sache à quoi s’en tenir », a invité le leader politique. Déplorant que le pacte d’honneur, qui lie son Mouvement à l’ex- Comité national pour le salut du peuple (CNSP) a subi plusieurs tentatives de remises en cause de ses clauses. Le Dr Choguel Kokalla Maïga a également regretté la multiplicité des partis politiques en violation des recommandations des Assises nationales de la Refondation (ANR).
Concernant ses propositions pour une réorientation de la Transition, le président du M5-RFP a appelé tous les Maliens acquis au vrai changement pour le Mali Kura, quel que soit leur positionnement politique avant le 18 août 2020 et le 24 mai 2021, au sursaut patriotique . Pour lui, aujourd’hui, il y a la nécessité de réaliser l’union sacrée pour la réussite de la Transition.
Bébé DOUMBIA
Ce brave ex 1er ministre épris de vérité aurait rajouter
Kidal a été libéré par Wagner, les aviateurs étaient biélorusses et les télé-opérateurs de TB2 étaient turcs
Les famas sont rentés après et ont posé pour la photo
Bon !!!! c’est aussi un secret pour personne…..
Monisuer Dmbélé, rappelez-vous que votre propre parti l’Adéma détient une place prépondérante parmi les acteurs de la transition. En témoigne la récente sortie hasardeuse et clairement complice de son président.
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Pensées rebelles.
Moi, Dr ANASSER AG RHISSA, Potentiel candidat à l’élection présidentielle Malienne future je vous interpelle.
Bonjour, Vous du M5 RFP, où étiez-vous quand Dr Choguel était face aux militaires en 2021 ? J’avais effectué en 2021 la médiation entre le M5 RFP avec Dr Choguel comme Président du comité stratégique du M5 RFP et les militaires.
Ainsi, Dr Choguel avait été choisi comme Premier Ministre grâce à moi.
Où était Dr Mahamadou Konaté ?
Où était Mountaga Tall ?
Où étaient les autres membres du M5 RFP ?
Après des années de lutte où vous étiez quasiment absents, vous apparaissez aujourd’hui pour partager ce qui reste après vos querelles destructrices au sein du M5 RFP alors que j’en étais le principal coordinateur.
Laissez Dr Choguel tranquille, c’est le seul parmi vous (du M5 RFP) qui a émergé part mon entremise.
Très consciencieux, Dr Choguel est un travailleur acharné. Son poste de PM fait l’objet de convoitise depuis des années.
L’acharnement sur lui est révélateur par jalousie à la fois du côté de ses compagnons du M5 RFP mais aussi du côté des partis politiques qui revendiquent mes victoires.
Il travaille avec acharnement et suis mes conseils.
Je supporte Choguel, comme je l’avais fait depuis des années, afin qu’il continue l’effort engagé.
C’était moi qui avait fait la conciliation entre son mouvement le M5 RFP, les militaires du CNSP et la CEDEAO.
Après un plaidoyer sur les réseaux sociaux de plusieurs semaines, le M5 RFP a fini par intégrer les institutions de la République ET Choguel avait accepté, sur ma proposition, d’être le Premier Ministre.
Choguel a changé de stratégie, il a démarré des bases essentielles, laissons-le continuer comme PM (Premier Ministre).
Avant, quatre colonnels félons sur cinq le désavouaient.
Assimi ferait une GROSSE erreur en se séparant de Choguel qui est le cerveau et l’émulateur de la politique de gouvernance de Assimi.
Choguel est la cheville ouvrière et la pierre angulaire de la transition au Mali.
Le dossier d’extorsion de ma victoire de Président de la transition au Mali, en 2020, est actuellement au niveau du médiateur de la République.
Pour résoudre ce problème, je sollicite mon intégration en tant que responsable dans une institution étatique ou comme Ministre ou comme ministre porte-étendard de la guerre informationnelle au sein de la confédération AES ET le maintient de Choguel comme Premier Ministre.
Si le problème n’est pas résolu, le dossier sera transmis à un tribunal afin qu’on me restitue ma victoire de Président de la transition. Prions qu’on en arrive pas à cette extrémité.
Si on ne me restitue pas ma victoire de Président de la transition du Mali, je me présenterai à l’élection présidentielle Malienne prochaine en demandant que ma candidature soit acceptée avec ma nationalité Malienne d’origine. En effet, je n’ai eu la deuxième nationalité, Nigérienne, qu’à partir de 2009 car ma défunte maman était Nigérienne.
Souhaitons à Choguel, une fois de plus, qu’il reste à son poste de PM contre vents et marées.
J’avais envoyé des lettres ouvertes à Assimi pour le conseiller de garder Choguel comme Premier Ministre du Mali (ce qu’il a fait) ET pour ma sollicitation d’intégration, en particulier comme Ministre porte-étendard de la guerre informationnelle au sein de la confédération AES (ce qu’il doit encore faire).
Bien cordialement
Dr Anasser Ag Rhissa
Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
Dr ANASSER AG RHISSA Le plus grand porte-étendards de la guerre informationnelle au sein de la confédération AES
TEL au Mali : 0 0 223 95955792
TEL au Niger : 00 227 76665673
Il faut reconnaitre que le PM est dans une impasse sans précédente, il est parmi un groupe qui refuse de lui donner une souveraineté gouvernementale, en un mot il n’est pas respecté dans sa fonction actuelle, cela fait très mal. Qu’Allah protège notre très cher Mali et donne beaucoup de chance à nos gouvernants.
Le Premier Ministre s’est mis dans une impasse sans precedent car il est leader du MPR avant et après tout, donc il sera toujours considéré dans ce sens!
Nous demandons a Choguel Maiga de mettre un peu d’ eau dans son Gnamakudji et se souvenir que le linge sale se lave en famille—il doit comprendre qu’ il est leader politique du MPR, president du M5-RFP et le Premier Ministre de la Transition. Il doit analyser sa situation a travers ces 3 prismes et certainement il va continuer son travail pour le Mali.