À peine investi, le président américain durcit le ton, menaçant 929 Maliens d’expulsion et suspendant l’aide internationale. Un double coup dur pour le Mali, entre crise humanitaire et pression économique.
Le décret signé par Donald Trump prévoyant l’expulsion de plus de 1,4 million d’étrangers en situation irrégulière, dont 929 ressortissants maliens, sonne comme une alerte rouge pour Bamako. Ce n’est pas seulement un drame humain pour ces migrants, mais aussi une perte économique pour un pays où la diaspora joue un rôle vital. Le Mali, déjà confronté à un taux de chômage élevé et à une conjoncture économique difficile, doit se préparer à accueillir des centaines de citoyens dans des conditions précaires. Leur réinsertion risque d’être un défi majeur sans un plan d’action rapide des autorités maliennes. En parallèle, la suspension temporaire de l’aide internationale américaine pour trois mois aggrave la situation. Le Mali, qui bénéficie de fonds cruciaux pour la santé, l’éducation et l’agriculture, pourrait voir ses programmes essentiels au ralenti, voire s’arrêter. La lutte contre des maladies comme le VIH/SIDA ou le paludisme pourrait être gravement affectée, exposant des milliers de personnes à des risques accrus.
Face à cette crise migratoire et financière, le gouvernement malien devra non seulement activer ses canaux diplomatiques pour atténuer les effets de cette politique américaine, mais aussi mettre en place des stratégies d’accueil et de réinsertion pour ses ressortissants.
Adama Coulibaly
Dans son Etat au nord des Etats-Unis, Ousmane peut se permettre encore d’aller au boulot. « Mais en vérité, il y a cette peur qui vous ronge parce qu’ils peuvent venir vous trouver là où vous êtes et automatiquement vous êtes expulsé sans bagage, sans document, sans argent. C’est ça qui me fait peur », reconnaît-il.
“C’est ce dernier point qui est l’élément dangereux de ces expulsions, c’est inhumain et contre les droits de l’homme. Tous les chefs d’états concernés d’avoir unir leurs voix pour faire pression sur Trump afin que celà cesse. Expulsés, d’accord mais au moins avec les biens acquis de droit.”
Nous avons besoin de Sekou Tounkara, Dante et Iba Bocoum. Merci Trump de nous les envoyer a Bamako.
“…929 Maliens menacés d’expulsion des États-Unis : Une décision de l’Administration Trump aux lourdes conséquences pour le Mali…” CA PEUT ETRE AUSSI UNE TRES BONNE OPPORTUNITE. LES BOULOTS QU’ILS FAISAIENT DANS CE PAYS, S’ILS LE FONT SUR UN PARCEL DE 2 OU TROIS HECTARES, (OU S’ILS FONT BIEN FONCTIONNER LEUR SERVEAU- CAR COMME LE DISAIT L’AUTRE, QUAND TU VOYAGE EN DEHORS DE CHEZ TOI, MEME SI TU N’AQUIERT PAS BEAUCOUP DE BIEN, TU APPRENDS BEAUCOUP), ILS SE RENDRONT COMPTENT QUE LE 1ER ELDORADO, C’EST CHEZ SOIT. EN TOUT ILS PEUVENT LE CREER DANS LE MALI D’AUJOURD’HUI. FAITES ATTENTION A NE PAS BAISSER LE BRAS EN DISANT QUE LE PAYS OU L’ETAT N’A RIEN FAIT POUR NOUS, CAR L’ETAT, C’EST D’ABORD TOI MOI, LUI ET L’AUTRE ECT…
Les mendiants se lamentent …. Mais ce n’est que le début de l’ère Trump…
Vous avez aimé Jo ? Et bien Trump sera pire