La nomination des hommes politiques comme Président directeur général (PDG) ou comme Président du conseil d’administration (PCA), souvent néophytes dans le domaine bancaire cause énormément de problème dans le fonctionnement des banques. Cette pratique a d’ailleurs été fustigée par certains spécialistes qui, selon eux, dans un monde concurrentiel, met l’institution bancaire en retard. C’était à la faveur d’une soutenance à l’Université Gemini management international implantée au quartier Baco Djicoroni de Bamako.
«Gestion du risque de crédit : cas de la BHM Sa», tel est le thème de mémoire d’une soutenance présenté par Mme Coulibaly Marie Fanta Sogoba en vue de l’obtention du diplôme de master en finance comptabilité. C’était à l’Université Gemini management international implantée au quartier Baco Djicoroni de Bamako. L’impétrante était encadrée par le Pr Seydou Kéïta. Les membres du jury étaient composés de Hamed Touré et Seriba Sidibé de l’Université Gemini management international. Dans la présentation de la candidate, il ressort qu’il y a trois types de crédits à la Banque de l’Habitat du Mali (BHM Sa) qui sont les crédits à court terme, les crédits à moyen terme et les crédits à long terme.
Selon Mme Coulibaly Marie Fanta Sogoba, la BHM, créer le 25 mars 1996 a pour objectif de permettre aux Maliens d’avoir des logements sociaux dans des conditions favorables. Après la présentation, les membres du jury ont apprécié la qualité du travail fourni et ont fait des critiques et suggestions. Selon eux, si la banque ne gère pas ses risques, elle partira en faillite. Le Pr Hamed Touré de L’Université Gemini management international a vigoureusement dénoncé la nomination des politiques dans les banques au détriment des spécialistes. «Le politique s’implique à des choses qui le dépasse. Ce qui peut causer souvent à des drames. Il nous manque des banquiers, des comptables.
L’Afrique a besoin de cadre compétent», a-t-il dit. Avant de mettre l’accent sur l’apport de la BHM dans la construction des logements sociaux au Mali. A l’issu de la soutenance, le jury a accepté le travail de Mme Coulibaly Marie Fanta Sogoba et lui a décerné la mention très bien.
Aguibou Sogodogo
Signes de la grande corruption au Mali, c’est totu.
Comrades banks of Mali plus other regions of West Africa are of major concern to me. I ponder how much wealth are we losing due to fact we have a foreign source printing our money. A source which us leaves vulnerable to exploitation anytime printer choose. In short two or more of same bill could be printed at each printing with us bearing financial responsibility. Development becomes insurmountable challenge under like conditions. All those African nations who are members of like system need sit down work on a reasonable plus feasible immediate printing of replacement currency to be printed in Africa under accountable plus verified African means plus group. What is going on is absolutely insanely foolish plus have to stop now even if we find it necessary to go it alone. This is another self-sufficient plus self-sustaining act we have no alternative but to fulfill or continue to be exploited by existing conditions. We could issue new African printed bills as we remove foreign exploitation of Africans money from existence. We could support those African made bills with gold plus diamonds. Very much sincere, Henry Author Price Jr. aka Obediah Buntu Il-Khan aka Kankan.
Quel con, ce journaliste à quatre sous! Nomination politique dans les journaux de la place, une pratique que doivent combattre les lecteurs. Ceux-ci doivent d’ailleurs porter plainte contre votre organe pour avoir laissé publier une connerie comme celle-là. C’est une offense grave à l’intelligence des lecteurs qui payent pour lire de telles idioties. C’est vraiment dommage. Le Républicain est un journal sérieux cependant, comment cet article a t-il pu échapper à la vigilance de la rédaction? Ou est-ce la complicité de l’imprimeur? En recommandation au Patron du journal, virez ce connard de votre organe. Comment est-ce que le Républicain peut-il continuer à garder des crétins comme celui-là? Et plus, le poste de Président Directeur Général d’une société n’est autre que politique ou une simple case pour planquer quelqu’un. Le P.C.A n’a rien à voir avec la gestion de la société, c’est le Directeur qui en est le responsable. C’est juste un poste en carton.
Le titre et le contenu ne colle pas du tout. C’est sur que si ce journaliste devait participer à un concours ou on lui donnait un texte pour qui’il en trouve un texte, il aurait échoué. Et comment!!
Aguibou, relater le déroulement de la soutenance de Mme SOGODO et prendre la citation d’un professeur pour en faire une affirmation scientifique et une revendication des spécialistes du domaine bancaire est sans doute le prouesse que vous avez réussi.
Vous voulez nous dire, qu’il faut être banquier pour diriger une banque. Pendant qu’on y est il faudra peut-être être un medecin pour diriger un hôpital, pour être un ministre de la santé. Pour être DG d’une société de Télécommunication, pour quoi ne pas exiger un diplôme d’Ingénieur en Télécom.
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Et parlant de BHM-SA , pourquoi ne pas évoquer l’arrêt 073 du 05/03/2015 de la Cour Suprême du Mali qui démontre les talents d’ ESCROCS déployés par les cadres et avocats de la BHM-SA pour “passer au dessus” de l’article 3 de la Loi Privilège n° 08-005 du 8 février 08 , pourtant créée et promulguée pour elle , qui dispose : La BHM établit des états de créances . A ce titre , tous les actes et formalités nécessaires au recouvrement des créances exigibles consécutives aux prêts et autres concours accordés par la Banque de l’Habitat du Mali s’exercent comme en matière d’impôts directs ,de contributions taxes et produits assimilés …… 😆 😆 😆 😆
COMMENT DES “BANQUIERS” ESCROCS PEUVENT ILS SAISIR DES SOCIÉTÉS SANS JAMAIS POUVOIR NI AVOIR A PRÉSENTER UN JUSTIFICATIF A LEUR ” ETAT DE CREANCE” , A UN JUGE …JUSTEMENT COMME LES IMPÔTS ? …. 😆 😆 😆 😆 😆 …Ah ….c’est le MALI ….
“”””…Ah ….c’est le MALI …. “””””
La réflexion exacte entendue à la BHM SA prononcée par un cadre de la banque et qui m’avait surpris à l’époque ,était :
Eh , monsieur , ICI c’est le MALI ….
Maintenant …..j’en ai compris le sens …. 🙂 🙂 🙂 🙂
( NE PAS MAL PRENDRE …. 🙂 🙂 🙂 COCO a des amis au MALI ….RESPECTABLES ….ET RESPECTÉS ! )
Monsieur le journaliste, ton titre devait être la soutenance de Mme en question car il n y a pas de cohérence entre le titre et le dev
Surtout si on nomme un politique frelaté 😆 😆 .
Nul besoin de dire que la démagogie et le favoritisme des hommes politiques est un réel problème de société et de développement dans notre pays.
Depuis quand peut-on separer la politique de l’argent? QUI PEUT DIRE QUE LE MONDE DES FINANCES NE DOMINE PAS LE MONDE POLITIQUE? LES INSTITUTIONS FINANCIERES INTERNATIONALES N’ONT-ELLES PAS PRIS LA PLACE RESERVE’E AUX ELUS POLITIQUES EN IMPOSANT LEURS PROPRES POLITIQUES DE DEVELOPPEMENT AUX PAYS???? DES NON ELUS QUI FONT LA POLITIQUE A’ LA PLACE DES ELUS ET IMPOSENT LEUR ME.R.DE A’ TOUT LE MONDE!!!
LA POLITIQUE FINANCIERE EST TRES POLITIQUE!!! IL FAUT DONC CESSER DE NOUS PRENDRE POUR DES CONS!!!
Cher journaliste, une analyse mieux structuree et avec des evidences serait preferable a ce compte rendu de soutenance
ce qui m’intrigue comment la BECEAO ET L’UEMOA peuvent s’asseoir et regarder les politiques empiétés le domaine des finances. Les autorités de tutelles des Banques sont complices de ce etat de fait.
Ayiwa c’est dans tous les domaines. Preuve que le Mali va à sa perte.
On ne peu pas dissocier le finance et la politique .
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