Pour être le futur directeur général de la Banque malienne de solidarité (Bms-sa) l’ex-directeur de la Banque pour le commerce et l’industrie, Sékou Mamadou Barry, est en train de se battre à tous les niveaux. Pour ce faire, il veut poignarder son “frère” et “ami” Babali Ba, qui doit quitter définitivement la Direction de cette banque. C’est donc la “guerre ouverte” entre les deux banquiers.
Après avoir été limogé de la tête de la Banque pour le commerce et l’industrie (Bci-Mali) lors du Conseil d’Administration du Groupe, le 20 décembre 2017, à Nouakchott, en Mauritanie, pour “mauvaise gestion” Sékou Mamadou Barry se trouve en chômage technique. Très connu dans le milieu des affaires sous le nom de “Monsieur 10%”, il était perdu par les radars au Mali. Selon des sources généralement bien informées, il avait décidé, en un moment donné, de se réfugier au Canada où il dispose d’un “appartement” comme beaucoup de cadres maliens, notamment ceux du secteur bancaire.
Mais aujourd’hui, Sékou Mamadou Barry est en train de chercher un point de chute. Et il n’a pu trouver un coin autre que la Banque malienne de solidarité (Bms-sa) aujourd’hui dirigée par l’un de ses “frères” en la personne de Babali Ba. Cette information a déjà fait le tour de la capitale. C’est maintenant un débat dans les salons feutrés de Bamako. Chacun fait son petit commentaire sur la question, même si rien n’est officiel pour le moment. Mais “Monsieur 10%” est en train de se battre pour être le successeur de Babali Ba, puisque ce dernier doit définitivement quitter cette institution bancaire à la fin de l’année. Il a déjà fait valoir ses droits à la retraite.
“Sékou Barry est en train de voir les grandes personnalités du pays afin qu’elles puissent le nommer directeur général de la Bms-sa. Beaucoup de gens sont au courant. Faire partir Babali Ba et nommer Barry au niveau de cette banque, ce sera tout simplement la fin du monde. Puisque ce Monsieur ne peut pas gérer la Bms-sa. Et en toute franchise, je ne vois pas un banquier qui peut gérer cette banque mieux que Babali Ba” nous a confié un opérateur économique.
En tout cas, faire venir Sékou Barry à la Banque malienne de solidarité, c’est tout simplement la catastrophe dans la mesure où ce Monsieur a laissé à la BCI-Mali une situation révélant qu’il serait impliqué dans beaucoup de dossiers.
El Hadj A.B. HAÏDARA
Quelle manque de déontologie et de formation de la part de certains journalistes, le mot poignardé n’a aucun sens dans cet article, remplacer un partant n’a aucun de poignant de grâce, sachons utiliser des mots dont on connait le sens ou savoir l’utiliser là où il faut; tout lecteur intelligent sait ce que tu veut en venir à la lecture de ton article; après Babali, demandons à dieu que la BMS-Sa ait un bon PDG même si ça doit être une promotion interne
Je pense que et MM Barry et Ba ont le même parcours de faites qu’ils ont tout deux installer et la Bci-sa ,la Bms-sa.
Quand à m barry je crois qu’il a bien installé la banque et la tenir plus de 10 ans M haidara. Dis-moi n’es tu pas par hasard un parent à Mme haidara.
Demande un bon banquier s’il est donnée à tout le monde de tenir une banque à une telle duree.on peu hérité une banque en activité mais posé son fondement réfléchicher merci haidara et si m Ba dois partir, il serai sage d’engager quelqu’un qui répond à son profil. De plus il y a un verset du coran qui dis si dieu veux te combler un bien nulle ne peut l’empêcher.
Mais Sékou Barry n’a-t-il pas de famille pour arrêter ces insultes provenant toujours du même organe de presse, voire du même journaliste qui n’est d’ailleurs pas un modèle au plan professionnel comme dans sa vie privée! Traiter quelqu’un de “Monsieur 10%” c”st très grave et le journal persiste et signe. Pour cette fois, il n’y a rien qui justifie qu’il soit ainsi traité car celui qui mérite d’être rappelé à l’ordre c’est le commanditaire de cet article, notamment Babaly Ba car par manque de professionnalisme l’auteur de cet article le dévoile. Babaly Ba actuellement à la retraite, peut-il empêcher quelqu’un de chercher à le remplacer! C’est alors lui, Babaly Ba, qui poignarde le peuple malien en voulant faire de la BMS une propriété privée, au point de faire insulter Sékou Barry qui chercherait à le remplacer. mais aussi, Barry doit réagir car accepter ainsi ce sobriquet de “Monsieur 10%” c’est dire adieu à sa carrière de banquier!
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