Après la Bank Of Africa Mali où Mamadou Igor Diarra vient d’être nommé directeur général, la Bnda pourrait être la prochaine banque à connaitre des mouvements au niveau de ses instances supérieures de décision car l’actuel Dg et les administrateurs sont en fin de mandat.
Plusieurs sources concordantes nous apprennent que le mandat du Pdg et des autres administrateurs de la Bnda est arrivé à expiration et que les actionnaires de ladite Banque seront invités à se prononcer le 21 mai 2013 sur un éventuel changement de l’organe dirigeant. En clair il faudra procéder à un renouvellement du mandat des administrateurs, mais aussi désigner un nouveau Président directeur général ou renouveler la confiance à celui qui est déjà en place, Moussa Alassane Diallo.
Justement, l’actuel Pdg, Moussa Alassane Diallo, par ailleurs Président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers (Apbef) vient de solliciter de l’Etat, à travers le Ministère des Finances, une reconduction pour six nouvelles années de mandat. Ce qui lui donnera la possibilité de séjourner pendant 13 années d’affilée à la tête de la Banque où il a déjà passé 7 ans non sans voir sa gestion parfois décriée.
Reste donc à savoir si M. Diallo qui a survécu à plusieurs scandales ayant émaillé sa gestion au cours des sept ans passés à la tête de la Bnda, pourra convaincre l’Etat de lui accorder sa confiance pour les six prochaines années. En effet, s’il venait à essuyer, sans casse pour lui, les conséquences du rapport accablant du Vegal sur sa gestion entre 2006 et 2009 ainsi que de l’implication malencontreuse de la Bnda dans les sombres affaires d’ATT (Initiative riz et Opération tracteur), la gestion du front social pourrait être l’épine la plus insidieuse pour lui. Nos sources font en effet état d’un climat conflictuel larvé, né de la gestion plus ou moins approximative de certaines doléances du personnel (singulièrement le non paiement cette année de certaines primes pendant que le Pdg lui-même ne s’est pas privé et la mauvaise gestion des problèmes sociaux liés à l’exfiltration forcée des agents des succursales du nord lors de la prise des principales villes par les rebelles).
Rappelons que Moussa Alassane Diallo, 56 ans, a effectué toute sa carrière professionnelle à la Bnda, occupant tour à tour les postes de chef d’agence et de directeur du crédit, avant d’être nommé Pdg en mars 2006. A cette date, il avait remplacé M. Moussa Kalifa Traore, ancien conseiller de l’ex-Premier ministre IBK, lequel a dirigé la Banque pendant six ans.
Rappelons que la Bnda, qui a récemment connu une reforme de son actionnariat avec l’entrée dans son capital de la deuxième banque française, le groupe Banque Populaire Caisse d’Epargne (Bpce) en lieu et place de la Bceao, a pour autres actionnaires : l’Etat, l’Afd et la Kfw. Comme pour dire que la candidature de Moussa Alassane Diallo à sa propre succession ne passera pas comme lettre à la poste.
Birama FALL
M.Diallo a dépensé des millions (en séminaires bidons grassement perdiemés) pour s’acheter le silence de la presse. Il n’y a que les journaux vertueux comme le pretoire qui ont osé dire non et informent fidèlement les lecteurs de l’actualité de la bnda. C’est honteux pour la presse. Au lieu de vous battre pour la vérité, vous preferez faire du boucan pour celui de vos collègues qui commet le crime de démobiliser les soldats en temps de guerre. CARTON ROUGE DE REMI N’GONO A LA PRESSE.
AH OUI, je comprend maintenant. L’image me paraissait tellement atypique pour les banques généralement très discrètes dans des situations pareilles. En fait je me demandais pourqkoi un séminaire pour annoncer qu’on a perdu 17 milliards………..CQFD: politique de com, du moins de “silence com” du dg bnda.
A la place d’un gouvernement responsable, je l’aurais d’abord envoyé dans le gnouf avant qu’il ne pense à solliciter un nouveau mandat. Mais puis qu’on est Mali, je ne serais pas étonné de revoir encore la troche de ce gars aux affaires pendant encore longtemps
A la place d’un gouvernement responsable, je l’aurais d’abors envoyé dans le gnouf avant qu’il ne pense à solliciter un nouveau mandat. Mais puis qu’on est Mali, je ne serais pas étonné de revoir encore la troche de ce gars aux affaires pendant encore longtemps
A la différence de Moussa Kalifa TRAORE est un mon grand à moi, Moussa Allassane DIALLO n’a pas été parachuté à la BNDA, il est banquier bon teint qui a gravis toutes les échelons de l’administration de la BNDA durant trente longues années, jusqu’à en devenir le président directeur général chose dont toi Birama FALL ne peut se prévaloir. Car tous le monde se souviens de ton passage à Dakar où tu as été incapable de décrocher un certains étudiant de Dakar de la même époque que Birima FALL affirme même qu’il aurait été exclu pour insuffisance de résultat. Chose que j’irai vérifier personnellement. Mais en attendant, je voudrais dire ici comme broubrus que Moussa Allassane DIALLO, et Abdoulaye DAFFE et Mamadou Igor DIARRA sont des trésors pour le Mali en matière de gestions des institutions bancaires nous devons les rendre hommage et les mettre à l’abri de renégats comme Birama FALL qui se construisent des chateau au Mali avec le sang d’honnête citoyens au prix de chantage.
voua vivez en France, je vous conseille d apprendre à écrire un bon français au lieu de vous en prendre au journaliste Fall. On écrit <> ont écrit: en matière de gestion ; on écrit <>.
Au regard de tout ce qui précède, j en conclus que vous n avez pas compris l article de Birama Fall vu votre niveau piètre en français.
vous vivez en France, je vous conseille d apprendre à écrire un bon français au lieu de vous en prendre au journaliste Fall. On écrit : <>; on écrit <>.
Au regard de tout ce qui précède, j en conclus que vous n avez pas compris l article de Birama Fall vu votre niveau piètre en français.
Vous êtes sans doute un ennemi du Mali, tapi que vous êtes à l’extérieure. Au lieu de vous égosier dans la défense des indéfendables prédateurs du pays, vous ferez mieux de vous taire. Nous, nous sommes au Mali, nous connaissons le poids intellectuel, professionnel et moral de tous les PDG. Celui là est loin d’être le bon. Laisse le journaliste tranquile.
En voilà un remake de ce vautours de Birama FALL. Mais que reproches-tu encore à ce Cher Moussa Allassane DIALLO, que tu fais bien de préciser, a consacrer toute sa carrière à cette banque. Plus de 30 ans au service de cette banque jusqu’à en devenir PDG. Si tu as des preuve contre le monsieur pourquoi tu ne les publie pas? Combien de temps vas-tu encore t’acharner contre ce monsieur tel vautour à la découverte de charogne? S’il est mauvais les actionnaires de la Banque sont mieux placés qu’un pseudo journaliste qui ne cherche que son pain au mépris des règles d’éthiques et de déontologies de la profession de journalisme. Tant que la presse Malienne ne sera pas débarrassé des vermines comme Birama FALL, il n’y aura pas de démocratie au Mali. Au lieu de raconté ta vie, rapporte nous des faits concrets avec des preuve irréfutables. A défaut ait au moins du respect pour nous autres lecteurs, car ton article n’est qu’un papier toilette de plus.
Vous en savez quoi vous autres pour que vous vous permettiez de discréditer le journaliste? Tels que les faits ont été minutieusement décrits par ce journal dans de précédentes parution, ce Monsieur est un voleur de la pire espèce. Depuis plusieurs mois sa gestion critiquable est mise à nue par ce journal. As t-il un jour démenti les propos rapporté? Le journal parle de faits précis étayés par des rapports d’inspection et de controle effecetués par des personnes extérieures à la banque. Il me semble que c’est facile à vérifier.
Ce Monsieur est un brillant cadre comme Daffe de la BDM . Des monuments à préserver pour le Mali .
Avocat du diable, ce Monsieur a couté des milliards à la BNDA par sa gestion frauduleuse des ressources et sa gestion clanique du personnel. Le seul service honorable qu’il puisse encore rendre à la BNDA est de dégager.
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