Maître Kassoum Tapo sur le décès du président Ibrahim Boubacar Keïta : J’apprends avec une infinie tristesse le décès du Président Ibrahim Boubacar Keita.

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Une estime réciproque, une fraternité et une amitié jamais démenties depuis plus de 45 ans que je l’ai côtoyé à Paris dans le combat pour la Liberté et la Démocratie au sein de la FEANF (Fédération des Étudiants d’Afrique Noire en France) et du CDLDM (Comité de Défense des Libertés Démocratiques au Mali ) .

Patriote, démocrate et républicain dans l’âme, il fut un Homme d’Etat au parcours inégalé dans le service de l’Etat : Ambassadeur, Conseiller Spécial du Président de la République, Ministre des Affaires Étrangères, Premier Ministre pendant 6 ans, Président de l’Assemblée Nationale pendant 5 ans, Président de l’UPA (Union Parlementaire Africaine), Président de la République pendant 7 ans .

Je m’honore d’avoir été son vice-président à l’Assemblée Nationale, son Conseiller Spécial à la Présidence de la République et deux fois Ministre dans son Gouvernement.

Homme d’Etat, Homme de culture, Grand humaniste et Panafricaniste convaincu, le Mali et l’Afrique perdent un Grand Fils.

En cette journée dominicale triste et bénie du Seigneur, je pense à ma grande sœur Ami, sa fidèle et digne compagne pour la vie, à ses enfants, tous ses enfants, qui n’auront même pas la consolation de prier sur sa dépouille. Ainsi l’aura voulu le Tout Puissant, rendons Lui Grâce.

Très Cher Grand Frère, Je garde comme un ultime témoignage prémonitoire de fraternité quasi-consanguine pour l’Eternité,  le magnifique ouvrage de Jean Bernard de l’Académie Française, le Sang des Poètes, que tu m’as offert il y a tout juste quelques semaines.

Dors en Paix très cher Grand Frère.

Bâtonnier Kassoum TAPO

Assalamou Allaykoum wa Ramatoulaye Barakatouhou Djaama !!!

Après avoir repris mes esprits, nous disons Alhamdoulaye Rabil Alamina,  tout ce que Dieu fait est bon.

En effet ce jour 16 Janvier 2022 est inscrit dans l’histoire du Mali à jamais.

C’est  ce jour qu’allah Soubahana Tallah a choisi pour rappeler vers lui Elhadj Ibrahim Boubacar Keïta, ancien Président de la République et Président fondateur du RPM et cela quasiment 17 mois après avoir quitté le pouvoir.

Pleuré oui nous avons pleuré Monsieur le Président mais nous nous consolons par certains faits comme :

– Monsieur le Président nous rendons grâce à Allah qui a voulu que ce rappel se fasse dans les conditions beaucoup d’Hommes de votre statut ont souhaité que cela se fasse : C’est à dire TRANQUILLEMENT SUR SON LIT.

-Nous nous consolons Monsieur le Président parce que même  vos plusieurs grands détracteurs reconnaissent en vous l’amour  du Mali que vous incarnez  et votre volonté que le Mali soit le meilleur.

– Nous nous consolons Monsieur le Président  généralement dans l’histoire, lorsqu’un Président de la République  quitte sa place avec la manière dont nous connaissons tous, il lui faut  plusieurs années ou même  après sa mort pour que la réalité soit  connue.

Pour vous il a suffi quelques jours voire mois pour qu’Allah fasse éclater la vérité au vu et au su de tout le monde entier à votre honneur.

– Nous nous consolons Monsieur le Président quand hier nous avons vu toutes ces personnalités dont je tairai les noms passer  pour s’incliner devant votre mémoire  et faire des témoignages ultra honorifiques.

–  Nous nous consolons Monsieur le Président car Allah vous a  honoré  en vous donnant la chance d’être à la tête  des plus grandes institutions dans une République: Premier ministre,  Président de l’Assemblée Nationale et Président de la République.  Honneur que  peu peuvent avoir la chance  de battre le record.

Enfin Nous nous consolons Monsieur le Président Elhadj Ibrahim Boubacar Keïta car vous avez su avec  votre charisme à nous fédérer au sein du RPM malgré nos diversités.

Tout en restant fidèle à vos idéaux  nous vous promettons que votre mémoire sera perpétuée à jamais par nous de la jeune génération du Parti.

Nous pouvons dire aussi que depuis votre départ  du pouvoir, nous avons tout fait pour défendre votre honneur Monsieur le Président  selon nos moyens  malgré  l’adversité féroce que nous a imposé l’environnement du moment.

NOUS FINISSSONS PAR DIRE :

Rabbana atina fid-dunya hassana, wa fî-l-akhirati hassanatan w-waqina adhaban-nar

ADIEU MONSIEUR LE PRÉSIDENT

Demba Coulibaly  RPM

Ancien dignitaire sous IBK

L’amour est toujours plus grand que la raison

Dors en paix, Ibrim comme aimait t’appeler mon repère.

 

L’amour est plus fort que la haine , dors en paix IBK  comme aimait t’appeler les maliens.

 

Tu es parti en homme, tu es parti libre, tu es parti sans jamais connaître l’exil.

 

Juger un homme implique plein de paramètres.

 

Un Homme ne doit être jugé que par celui qui l’aime, Dieu

 

Car les hommes et femmes ne jugent que par intérêt

IBK ne saurait être jugé qu’à partir de 2018

IBK c’est cet enfant béni, qui est rentré s’occuper de son défunt père

IBK c’est ce diplomate qui s’est affiché avec Gbagbo brutalisé démocratiquement et physiquement

IBK c’est ce premier ministre qui a sauvé la démocratie malienne

IBK c’est ce premier ministre qui a réglé l’école malienne

IBK en 2002 est celui qui évita le pays de sombrer en acceptant une défaite injuste

IBK et c’est ce patriote esseulé quand il a dénoncé la légèreté du régime en 2006

IBK ce démocrate sincère premier à dénoncer le coup d’état de 2012.

IBK ce candidat si bien élu en 2013 malgré tout

 

IBK la plus forte hausse du salaire

IBK du RAMU

IBK aussi des fautes politiques

Dors en paix

Un homme ne doit être jugé que par ceux qui l’aiment

RIP MON CHER PRÉSIDENT

Cher Président, mon mentor,  ta famille, tes amis, tes collègues, tous ceux qui t’ont connu et apprécié te pleurent! Nous sommes tous là pour te dire adieu et te rendre un dernier hommage.

Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. Il restera de toi ce que tu as semé! Que tu as partagé aux mendiants du bonheur. Ce que tu as semé, en d’autres germera. Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera. Me voici aujourd’hui au bord du vide. Et, je sais que tu vas énormément me manquer!

Mon cher président, ce que tu as donné, en d’autres fleurira. Il restera de toi ce que tu as offert. Il restera de toi ce que tu as perdu. Que tu as attendu plus loin que les réveils, ce que tu as souffert, en d’autres revivra. Il restera de toi une larme tombée. Tu pars avant nous, bien trop tôt, bien trop vite… Et ta disparition nous rappelle comme une évidence que nous sommes finalement bien peu de choses et qu’il faut profiter de chaque seconde, de chaque minute ici-bas…

J’ai été très heureux que tu m’en accordes quelques-unes…de m’avoir accordé ta confiance pendant de si longues années à l’UNESCO. Toi, qui savait faire beaucoup avec si peu, toi qui savais cultiver l’amour et l’amitié… tu rendais ces moments rares… Nous avons comme passion, les livres…la lecture, les grands auteurs!

 

J’ai beaucoup appris de toi…Comment les oublier ? Comment oublier l’ami fidèle et généreux, le collègue apprécié, le père attentionné, le mari aimant que tu as toujours été ? Impossible. Ta mémoire sera toujours gravée dans nos cœurs. Tu laisses un vide immense derrière toi. Et c’est avec beaucoup de tristesse et de compassion que je présente mes plus sincères condoléances à ton épouse, tes enfants, tes frères et sœurs, et ta famille pour leur témoigner mon soutien et ma présence morale dans ce moment douloureux.

 

Et pour mieux le surmonter, nous n’aurons qu’à nous souvenir de ton rire, de ta bonne humeur, de ta bonté et de ton éternel optimisme.

Repose en paix, cher IBK

Dr Oumar KEÏTA

Ancien ambassadeur délégué permanent du Mali auprès de l’UNESCO

Ibrahima A. MAIGA, Président de l’Alliance en Faveur des Droits de la Personne et de la Démocratie au Mali (AFDPM) :

# IBK a fait appel à toute sorte de compétences qui ont fini par le lâcher#

La leçon à tirer de ce dont nous sommes témoins du parcours du défunt Président IBK est de se préparer sérieusement avant de prétendre accéder à la magistrature suprême ou à toute autre fonction de responsabilité.

Bien que Cultivé, Homme d’État (comme il aimait le dire), Républicain et grand Patriote, sa gestion a été catastrophique. Il a été élu pour ce qu’il incarnait (l’espoir du peuple, le Kankélétigui,…) ou à cause des slogans «Pour l’honneur du Mali», mais hélas! Au moment même où il devrait bénéficier du soutien populaire pour rétablir la vérité et la justice au Mali, ce fut malheureusement le contraire. A titre d’exemple, l’affaire du Casino et l’achat de l’avion présidentiel ont été des choses qui l’ont sérieusement affaibli.

De bonne foi et en toute responsabilité, il a fait confiance à toute sorte de compétences qui ont fini par le lâcher ou qu’il a finalement déposé. Sa famille politique, ses proches collaborateurs, ses adversaires politiques, la jeunesse sur qui il comptait le plus, les maliens de façon générale… tous lui reprochent quelque chose. Personne ne lui a facilité les choses y compris son propre parti parce qu’il n’était préparé. Un État ne se gère pas par tâtonnement.

Connu pour son sens du patriotisme et sa rigueur, il était ouvert à toutes les couches de la société. Il accordait beaucoup d’attention à la jeunesse ce qui lui a valu d’être cité par certains comme le “meilleur Président dans l’histoire du Mali démocratique” même si on connaît la suite (heureusement que ceux-ci ne sont pas des références pour nous).

Par conséquent, celui qui incarnait l’Autorité de l’État a été complice du déni de justice. Les  règles démocratiques y compris les plus fondamentales étaient remises en cause. Illégitimes et illégales la plus part des Institutions de la République étaient décriées parce ce qu’elles se sont discréditées.

Je demeure convaincu qu’il n’a pas été compris, qu’il a été certainement déçu et dégouté par cette vie insupportable. Qu’on l’aime ou pas, il faut reconnaitre qu’il aimait ce pays et au-delà l’A fait confiance aux jeunes cadres. Il aimait également le Mali et au-delà de  l’Afrique. C’est le lieu pour moi de lui rendre hommage pour son engagement constant pour le Mali.

A-t-il eu tort de faire confiance à certains jusqu’à son renversement ? Pourtant le malaise des populations suite à la mal gouvernance, à l’insécurité, à l’injustice, aux promesses non tenues était bien visible. Le front social était permanemment en ébullition. Ses conseillers et les services de renseignements ont ils failli ?

Je crois fermement qu’il a été victime de sa générosité et du manque de préparation dans la gestion du pays tout en intégrant le contexte de crise multidimensionnel et les questions géostratégiques. A cela s’ajoute les abus de confiance dont il a été victime.

RETENONS QU’IL FAUT SE PRÉPARER AVANT TOUTE AMBITION POLITIQUE. DIRIGER C’EST PRÉVOIR, ANTICIPER ET APPORTER DES RÉPONSES APPROPRIÉES AUX BESOINS DE SES CONCITOYENS.

Prions pour le repos éternel de son âme en espérant que le temps lui donnera raison pour l’essentiel. Nul n’est parfait. La vie est éphémère. La démocratie a ses exigences.

Dors en paix Mandé Massa !!!

Ibrahima A. MAIGA, Président de l’Alliance en Faveur des Droits de la Personne et de la Démocratie au Mali (AFDPM)

IN MEMORIAM

IBK : UN ORFEVRE DE LA SYNTHESE

Par *Hamadoun TOURE

Ibrahim Boubacar Keita nous a quittés le 16 janvier 2022.   Au début d’une nouvelle année pleine de défis, l’annonce de la disparition de celui qui fut notre président, pendant 84 mois, nous a saisis d’émotion respectueuse. Elle a représenté aussi une grande douleur pour tous ceux qui, nombreux, savaient que, retiré dans sa résidence devenue soudain silencieuse, l’homme d’Etat affrontait, dans une quasi-solitude, tranchant avec le bourdonnement apicole du règne, la fin de son destin.

IBK, comme nous l’appelions en raccourci mais avec affection, a voulu rester fidèle à son ambition d’incarner la synthèse entre cette idée de la grandeur mandingue et les hauts faits transmis par les mythes des noblesses antiques gréco-latines Dans le tumulte et les fureurs qui font l’actualité nationale depuis une décennie, il a cherché, en tout cas essayé, à promouvoir une double réconciliation, d’abord entre les fils du Mali, ensuite, entre ceux-ci et le reste du monde.  Tout semble être dans cette manière de tirer sa révérence, digne et courtoise comme pour éviter de troubler la fin de l’odyssée. Lira- t-on dans cet adieu le signe d’un double désir de recoudre le tissu social et d’un appel à la cohésion des acteurs politiques qui dansent au bord du précipice alors que les regarde peiné un pays qui va en lambeaux ? IBK aura tenté de faire sa part même s’il n’a pas tout réussi.  IBK aura eu un destin. Son itinéraire, aussi inattendu qu’impressionnant, ne nous offre toujours pas de grille de lecture. Lesquels de nos compatriotes ont pu se faufiler dans nos travées politiques, sans heurter et se hisser au plus haut niveau, sans attirer ni attention ni haine? Ils sont rares.

Comment ne pas provoquer des ressentiments en s’installant au sommet, à la tête des autres. Comment devenir Ambassadeur, Ministre, Premier ministre, président de l’Assemblée Nationale et président de la République sans réaction adverse ? Dans l’héritage d’IBK, transparaitront grandeur et générosité, noblesse et compassion malgré le déchainement de la rue au moment où tout semblait malentendu avec celui que l’on attendait sur les cîmes de l’histoire en devenir. Laissons l’inventaire ultime au temps, maître de tout. Aujourd’hui partageons un chagrin, comme un hommage dernier à un grand homme.

Par la perception et la réalité apparente, IBK était aussi multidimensionnel que la crise qu’il a affrontée. Il fut qualifié de bourgeois par certains pour son sens du beau et du châtié comme fut mise en épingle sa tendance supposée à l’épicurisme. Pour d’autres, c’était un Occidental parce que familier de Cicéron et d’Hérodote, même s’il ne s’époumonait pas dans la maïeutique de Socrate. Il aggravait son cas, dans un pays où l’éducation était en vrille, en se targuant de ne pas être fâché avec le subjonctif. Par sa confiance dans les hommes (en les hommes eût-il dit), il pensait qu’il s’agissait là d’un exercice naturel. En plus, il n’avait pas comme leitmotiv des proverbes de ses ancêtres. En revanche, il maîtrisait les adages médiévaux, connaissait les rives du Niger et du Bani, du Sankarani et du Bafoulabé. Il eût pu être un trait d’union, comme il l’eût dit lui-même, dans sa langue d’un autre temps et d’un autre lieu.

A la fin de son parcours, on est en droit de se demander si la politique aurait dû être son arène de prédilection. On soupçonne, comme Althusser, un malentendu de combat, comme un décentrage. Imagine-t-on Platon, président de la République, même s’il est l’auteur d’un ouvrage indépassable sur le même thème ? Hérodote nous a appris l’histoire mais ne nous a pas enseigné comment exercer la démocratie au jour le jour pour figurer dans les livres d’histoire. Périclès n’a été qu’un théoricien de la démocratie nous fixant les règles du pire système de gouvernement, à l’exception de tous les autres qui ont été expérimentés dans l’histoire, pour dire comme Churchill, le 11 novembre 1947.

Entre l’homme politique qui a demandé nos suffrages en 2013 et encore en 2018 et nous qui lui avons octroyé notre confiance, qui a changé de posture ? En fin de compte, laissons-lui le bénéfice d’avoir fait ce qu’il pouvait de ce qu’il savait.

Avec lui, le Mali accompagne à sa dernière demeure son 4è président en 62 ans d’indépendance, après Modibo Keïta (1977), Moussa Traoré et Amadou Toumany Touré (2021). Pour ces deux derniers, tous militaires, les Maliens sont toujours divisés sur la place à leur accorder dans l’histoire immédiate, qui est celle des journalistes.  La mort d’IBK, leur successeur à la fois lointain et proche, leur ouvrira t-elle un firmament ? Il est à espérer qu’elle incitera à ce dépassement que les grandes nations acceptent dans les moments de communion où tout semble absous. La mort réunit tout, disait Victor Hugo.

Notre peuple doit poursuivre la course avec des serviteurs compétents, des conseillers sages et même des courtisans désintéressés. La réussite est à ce prix. Elle est à notre portée.

*journaliste

tahamadoun@yahoo.com

… « Il est parti discret et secret avec la foi des aristocrates de la pensée et de l’action sans crier gare » estime de Bakary Mariko

J’ai appris avec une immense tristesse le décès de l’ancien Président de la République, SEM Ibrahim Boubacar Keïta, ce dimanche 16 janvier 2022,à  son domicile à Bamako, à l’âge de 76 ans.

Il est parti discret et secret avec la foi des aristocrates de la pensée et de l’action sans crier gare. Cet homme fut insulté, traité de tous les noms, vilipendé, humilié, traîné dans la boue, mais il n’a rien dit à personne, il n’a mis personne en prison. Il est parti du pouvoir comme un agneau et pourtant il avait les moyens de se défendre, mais il aimait trop son pays pour faire couler encore du sang. Pour lui le Mali vaut plus que son maintien à lui au pouvoir. On a voulu déshonorer l’homme, mais il savait mourir car comme on le dit : “on ne déshonore point un homme qui sait mourir. ” Il était juste un homme d’honneur et de dignité, un vrai homme d’État comme on n’en trouve pas beaucoup actuellement.

En cette douloureuse circonstance j’adresse à sa famille durement éprouvée, à ses proches, à tous ses collaborateurs mes condoléances les plus émues. Que son âme repose en paix. Amine.

Message de condoléances des Touareg Chama N Amass du Mali

Les Chama N Amass de l’Intérieur et de la Diaspora ont tristement appris le décès à Bamako le dimanche 16 janvier  2022 de leur frère, ami et collaborateur  pour certains de Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEÏTA, ancien Premier ministre et Chef du Gouvernement sous l’autorité du Président de la République Son Excellence Monsieur Alpha Oumar KONARÉ , ancien Président du Parti ADEMA PASJ , père fondateur et ancien Président du Parti RPM , ancien Président de la République du Mali victime d’un putsch militaire le 20 août 2020.

En cette douloureuse circonstance les Chama N Amass à travers leurs différentes Fractions, Autorités coutumières, religieuses, civiles et militaires expriment leurs sincères condoléances à la famille de l’illustre disparu en particulier à leur sœur éplorée Mme KEÏTA Aminata ATTAHER MAÏGA, aux différentes communautés maliennes, à la Diaspora malienne, au Peuple et au Gouvernement maliens.

Les Chama N Amass prient le Tout Puissant Allah de pardonner au défunt ses péchés et de l’admettre au Paradis. Amin

Tin Aouker, le 16 janvier 2022

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