Rappelons que ce bébé né au centre de santé du Quartier Mali, n’a jamais pu téter durant tout le mois où il a vécu. Il était nourri au sérum. Il est resté plusieurs jours au Centre hospitalier universitaire Gabriel Touré. Là, il fallait à ses parents un montant de 375.000CFA, pour une intervention urgente. Sans argent, ceux-ci ont été obligés de quitter les lieux.
A l’hôpital du Mali, également, il n’y avait pas d’assistance sociale pour les couches vulnérables. Toute chose qui a poussé la jeune maman Nitouma Diakité, aide ménagère à Badalabougou à solliciter l’appui des âmes sensibles à travers le quotidien L’Indépendant. Mais, hélas, avant même la parution de l’article prévu le lendemain, vendredi 12 avril dernier, Dieu en a décidé autrement. A ses parents durement éprouvés, nous adressons nos condoléances les plus attristées.
Fatoumata Mah Thiam KONE
triste à dire ,mais qu’il soit mort est certainement la meilleure chose qu’il ait pu arriver à cet enfant ,et pour ses parents aussi .
EH OUI LA VIE .ON DOIT PENSER AUX PAUVRES .POUR UNE INTERVENTION DE 375000 ON LAISSE MOURIR UN BB.AUCUNE SOLIDARITÉ ENVERS LES PLUS DÉMUNIS.CELE S’APPELLE SOUS D’AUTRES CIEUX NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER PUNISSABLE DANS NOS TEXTES.QUE LA TERRE TE SOIT LÉGÈRE BB.ICI NOUS SOMMES DES LOUPS ON S’ENTRE DÉVORE.
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