Russie-France : le Mali au cœur d’une guerre froide à l’ONU

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Alors que le Conseil de sécurité des Nations unies doit décider de l’avenir de la Minusma le 13 juin, la bataille fait rage entre Paris et Moscou, qui menace d’utiliser son droit de veto. Plongée dans les coulisses, à New York.

Le bras de fer entre les pays occidentaux et la Russie se poursuit au siège des Nations unies, à New York. Les services diplomatiques de la Russie, menés par l’ambassadeur Vassili Nebenzia, et ceux de la France, dirigés par Nicolas de Rivière, sont focalisés sur la date du 13 juin. C’est en effet ce lundi que le Conseil de sécurité doit décider s’il renouvelle ou non, et dans quelles conditions, le mandat de la Minusma.

Selon nos sources, les représentants de Paris s’activent déjà depuis plusieurs semaines afin de convaincre les autres membres du Conseil d’accorder un nouveau mandat à la mission de l’ONU au Mali, voire, si possible, de renforcer ses prérogatives en matière de droits humains. La France souhaite proposer une résolution en ce sens. Elle a déjà engrangé les soutiens des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Irlande et de la Norvège. En revanche, ceux de la Chine, de la Tunisie, de l’Inde, du Kenya ou du Gabon ne sont pas acquis.

Source : Jeune Afrique

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11 COMMENTAIRES

  1. La nouvelle arme de destruction massive pour certaines Puissances: ” Le Droit Humain” !!!
    J’en connais des Pays qui ont refusé la mission des Nations Unies si le volet “droit humain” fait parti des missions. Le Volet droit humain: est un terrain de mensonge, de vilipendage, de dénigrement et d’insultes pour le pays qui reçoit la mission des N.U.
    Voyez vous on renforcé pas le mandat de protection des civils mais les “prérogatives de droit humains”, Bordel!

  2. ILS DÉNIGRENT NOS CROYANCES POUR NOUS IMPOSER LES LEURS! ALORS L ESCLAVAGE S EN SUIT AVEC TOUS LES COROLLAIRES

    😎😎KAGAME A ACCEPTÉ DE RECEVOIR DES RÉFUGIERS SYRIENS SOIT DISANT SYRIENS, DES TERRORISTES QUI ONT SÜREMENT COMBATTU POUR L OCCIDENT Y SONT OU SERONT PAR MILLIERS ET, NOUS AURRONS NOS DJIHADISTES AU NORD ET AU CENTRE DE L AFRIQUE! ÇA EN SERAIT FINI POUR NOUS AFRICAINS! COMME FINI POUR BEAUCOUP D AUTRES PEUPLES CHEZ QUI LES ABRAHAMIQUES SONT PASSÉS ET LE GRAND REMPLACEMENT OPÉRÉ😎😎

    https://youtu.be/pU9twR61yHs

  3. ILS DÉNIGRENT NOS CROYANCES POUR NOUS IMPOSER LES LEURS! ALORS L ESCLAVAGE S EN SUIT AVEC TOUS LES COROLLAIRES

    👥👤
    EH OUI KINGUIRANKE! LES DEUX ENEMIS DOIVENT ÊTRE COMBATU AVEC LA MÊME ARDEUR ET LA MÊME CLAIRVOYANCE D ESPRIT DE MÉMOIRE ET RAISON!👤👥

    LE JUDEOCHRISTIANISME EST CATÉGORIQUEMENT LE JUDÉOISLAMISME GÉNOCIDAIRE, INHUMAIN, ESCLAVAGISTE ET PRATIQUANT DU GRAND REMPLACEMENT! AINSI LES NATIVES DES AMÉRIQUES ONT ÉTÉ REMPLACÉS PAR DES JUDEOHEBROPAYEURS HYBRIDES QUI NE SAVENT PLUS D OÙ ILS VIENNENT ET OÙ ILS VONT! ET LES AFRICAINS SONT GÉNOCIDÉS PARTOUT AU NORD ET AU SUD DE LEURS TERRES TANDIS QUE KAGAMÉ PAUL AURRAIT PERDU LA CERVELLE EN FAISANT VENIR AU CENTRE DE L AFRIQUE DES RÉFUGIERS ISLAMISÉS SIRYENS AVEC TOUT CE QU ILS ONT COMME PASSÉ À COMBATTRE LEURS GOUVERNEMENTS ET IL Y AURRA DES DJIHADISTES QUI METTRONT À FWU ET À SANG NOS CONGOS ET NOS TANZANIES KENYA POUR VITE RALIER LEURS FRÈRES ALGÉRIENS MAROCAINS LIBYENS EGYPTIENS TOUS ENVAHISSEURS DE NOTRE CONTINENT EN PLUS DES BOERS QUI SÉVISSENT AU SUD CONTRE NOS ZOULOUS N’KOSSA ET AUTRES NOIRS AUTOCHTONES NOIRS!
    QUFAAROHW!
    😎KAGAMÉ EST SOI FOU OU ENTRE DANS UN COMPLOT CONTRE L AFRIQUE COMME LE SÉNÉGAL ET LA COTE D IVOIRE EN AFRIQUE DE L OUEST!😎

  4. ILS DÉNIGRENT NOS CROYANCES POUR NOUS IMPOSER LES LEURS! ALORS L ESCLAVAGE S EN SUIT AVEC TOUS LES COROLLAIRES

    😎😎😎QU EST CE QUE LA FRANCE APPORTE À L AFRIQUE?😎😎😎
    👤👥👥QU EST CE QUE L AFRIQUE APPORTE À LA FRANCE?👥👥👤
    💀💀💀QU EST CE QUE LE MONDE OCCIDENTAL CACHE AUX AFRICAINS?💀💀💀
    RÉPONSES AU DÉPART : RIEN! TOUT ET MÊME LA SURVIE! L IDENTITÉE FAAROH

    LISEZ! ÉCOUTEZ! DISCUTEZ! INFORMEZ!

    En valeur absolue, les exportations françaises augmentent, passant de 6,3 milliards de dollars en 1990, à 7,7 milliards en 2000 et à 17,5 milliards en 2011. En 2019, 😎LES EXPORTATIONS DE BIENS DE LA FRANCE EN PROVENANCE D AFRIQUE (les exportations de biens de la France en provenance d’Afrique) 😎pesaient 25,9 milliards d’euros, et les importations 26,2 milliards d’euros! SACHANT QU AUCUNE COMPAGNIE AFRICAINE DONT LE PROPRIETAIRE EST AFRICAIN N IMPORTE EN FRANCE, IL SAGIT D IMPORTATIONS EN FRANCE DE L AFRIQUE PAR DES COMPAGNIES FRANÇAISES QUI NE PAIENT RIEN À L AFRIQUE!

    😎LA SUISSE ACHÈTE 80% DE L OR DU MALI, ET CAUSE DES TROUBLES PARTOUT SUR LE CONTINENT POUR ACHETER LES RESSOURCES À VIL PRIX! VOILÀ POURQUOI, L ENFANT SUR TA PHOTO A LE VENTRE ET MAL NOURRI! YATARA FAATOH, TU VAS REFLECHIR UN BEAU JOUR! LIBÈRES TOI DES AG MOISES!😎
    REGARDEZ! REFLECHISSEZ! TRANSMETTEZ!

    👤👤👤👤NE MANQUEZ PAS CETTE VIDÉO!👤👤👤👤
    https://m.youtube.com/watch?v=_CDVC6qybL4

  5. Isibaebi, TU NOUS PARLES DES BALAYEURS DE RUE,DES GARDIENS DE NUIT, ET DES TRAVAILLEURS DE RUE, SOYONS SERIEUX, NOUS ALLONS PAS RESTES DANS L’ESCLAVAGE DE LA MAUDITE FRANCE! ALLONS NOUS LIBERER DE LA SERVITUDE!

  6. Evitez surtout les insultes.Beaucoup de travailleurs maliens
    travaillent en France et envoient de l´argent a leurs familles au pays.
    La France n´est pas une ennemie du mali.
    Vos ennemis sont ceux qui veulent vous prendre votre pays au nom de leur religion.

    • NOS ENNEMIS SONT CEUX QUI VEULENT NOUS PRENDRE NOTRE PAYS AU NOM DE LEUR RELIGION MAIS AUSSI LA MAUDITE FRANCE QUI NOUS A RECOLONISE DEPUIS 1968.

  7. ILS DÉNIGRENT NOS CROYANCES POUR NOUS IMPOSER LES LEURS! ALORS L ESCLAVAGE S EN SUIT AVEC TOUS LES COROLLAIRES

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    Crise sanitaire et sécuritaire au centre du Mali : Les enfants happés par la mendicité et autres pires formes de travail
    Par Aujourd’hui-Mali – 11 Juin 20221

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    La fermeture de milliers d’écoles, combinée aux contraintes de la Covid-19 et de la crise sécuritaire, a contraint plusieurs milliers d’enfants à quitter le système scolaire pour atterrir dans l’impitoyable sphère du travail. Parfois au profit des écoles coraniques, parfois en direction de la rue. Une situation, qui va à contre-courant de toutes les conventions des droits des enfants ratifiées par le Mali et qui met à nu la fragilité d’un système éducatif en difficulté pour s’adapter à des contraintes nouvelles.
    Oumou Diallo, 13 ans. Elève en 6e année fondamentale, elle se rêvait infirmière pour le bonheur de sa pauvre mère. La Covid-19 et l’insécurité dans son Farako natal vont décider autrement. Elle devra quitter l’école “pour se chercher”.

    Comme Oumou, ils sont des milliers d’enfants au centre du Mali affectés par la pandémie et/ou l’insécurité endémique. Des milliers d’écoles ont fermé, des milliers de familles ont dû quitter leur terroir.

    A Ségou, la crise sécuritaire et la Covid-19 ont semé l’hécatombe dans le système éducatif classique. Mariama Konaté, 13 ans, élève au Centre d’animation pédagogique (Cap), en a été témoin avant d’en être une des victimes. “J’ai trop souffert avec cette histoire de la Covid-19. Ma mère n’a pas été à l’école et on n’a pas de télé chez nous. Chaque jour, je devais lui expliquer que je dois suivre les cours à la télé pendant les mois que nous avons passés à la maison au début de la pandémie. Mais, elle me demandait d’aller au marché acheter les condiments, de l’aider à faire le ménage. Le fait de me voir à la maison signifiait à ses yeux que je n’avais rien à faire. Finalement, à la reprise, le même scénario a continué. Aujourd’hui, c’est moi-même qui suis découragée par cette situation car on a dû déménager lorsque nos écoles ont été fermées”.

    Les enfants, des bras utiles pour leurs familles

    Le double impact sécuritaire et sanitaire a causé la fermeture des écoles de l’enseignement classique. Des enseignants en ont été chassés tandis que des élèves ont été redirigés vers les écoles coraniques. Les classes ainsi réquisitionnées ont servi à regrouper des élèves pour apprentissage de l’arabe. Au final, un nombre important d’enfants ont fini dans les rues de Ségou au moment où d’autres étaient contraints de travailler pour subvenir aux besoins de leurs familles.

    Pourtant, les deux conventions fondamentales n°138 et n°182 de l’OIT l’Organisation internationale du travail relatives au travail des enfants stipulent que tous les pays membres de l’OIT ont l’obligation de respecter, promouvoir et réaliser l’abolition du travail des enfants, même s’ils n’ont pas ratifié les conventions en question.

    L’Organisation internationale du travail (OIT) définit le travail infantile comme “un travail qui est mentalement, physiquement ou moralement dangereux et nuisible aux enfants ; et/ou interfère avec leur scolarité en les privant de l’opportunité d’aller à l’école ; les obligeant à quitter l’école prématurément ou exigeant d’eux de tenter de combiner la fréquentation scolaire avec un travail excessivement lourd et long”.

    Malgré les textes ou traités, le travail des enfants continue d’exister et prend un formant ou une dimension plus grande. Ceci parce que le travail des enfants est une question extrêmement compliquée surtout au Mali dans sa situation actuelle.

    Dans un passage du même document de l’OIT, les enfants de 12 à 17 ans ne doivent pas travailler plus de 6 h par jour. Ce qui n’est pas le cas de ces jeunes comme Mariama Konaté, originaire de Farako. Beaucoup d’autres enfants ont vécu cette malheureuse expérience. De même que, à un autre niveau, Doumbia Brehima, conseiller d’orientation du Cap de Farako, logé dans un bureau dans l’enceinte de l’Académie de Ségou depuis quelques temps.

    “Dans la Commune de Farako, il existait 102 écoles avant les fermetures. Aujourd’hui, ce sont uniquement les 28 écoles coraniques qui continuent de dispenser les cours. Toutes les 74 écoles classiques sont fermées depuis le 13 décembre 2019”, affirme notre interlocuteur.

    L’administration scolaire de Farako chiffre à 10 000 le nombre d’enfants ainsi privés de cours. A la date du 4 mai 2022, 3000 enfants ont été recensés et transférés dans d’autres écoles. Le reste est introuvable. Pendant que d’autres s’attachent à régulariser la situation des enfants, certains parents tentent de tirer profit de cette situation en faisant travailler leurs enfants. “J’ai dû contraindre mes deux derniers enfants à abandonner l’école faute de moyens. Les activités sont à l’arrêt depuis 2019. Je n’ai d’autre choix que de demander aux enfants de me soutenir ces temps-ci. On arrive à peine à trouver de quoi se mettre sous la dent. Ma fille, je l’ai envoyée à Bamako pour travailler comme aide-ménagère. Le petit, lui, sert comme manœuvre sur des chantiers”, confie Moussa Kané, les larmes aux yeux. Pour ce vieux cultivateur, les enfants doivent se rendre utiles pour la famille.

    Système scolaire déstabilisé

    En touchant le Mali à partir du 18 mars 2020, le coronavirus a déstabilisé tous les secteurs d’activité. Mais c’est le système éducatif qui semble en avoir le plus souffert avec la fermeture des portes dès l’apparition du premier cas de la maladie. Aujourd’hui encore, l’école se conjugue avec la Covid-19.

    Cette cohabitation a consisté en la mise en place, par le ministère de l’Education, de nouvelles méthodes d’apprentissage des cours préparés et présentés à la radio, à la télé ou sur des plateformes numériques comme Zoom. Certes, ces innovations sont destinées à contourner l’impact de la crise sanitaire. Mais, en même temps, elles en excluent les enfants de familles démunies, laissant aussi en rade les élèves moyens qui trainaient déjà des difficultés d’assimilation.

    Si les cours ont repris quelques mois plus tard, ce fut avec de nouvelles règles dites sanitaires : port du masque obligatoire, lavage de mains avec du gel hydro-alcoolique ou du savon, distanciation physique… A l’époque, le gouvernement avait procédé à des distributions massives de masques et de kits de lavage de mains dans les écoles et nombreuses structures publiques.

    Des modules ont été conçus pour sensibiliser les enfants sur les ravages d’un nouveau virus à travers le monde entier. Et donc de les appeler à observer des comportements nouveaux qu’ils devaient intégrer et pratiquer pour se protéger et protéger les autres. A cette situation déjà compliquée, est venue se greffer une crise sécuritaire de plus en plus incontrôlable à cause de la multiplication des attaques à Ségou et alentours. Cette insécurité a eu comme conséquence la fermeture de 74 écoles à Farako, situé à 20 kilomètres de la ville de Ségou, juste derrière le fleuve.

    Lacunes et dysfonctionnements

    La pandémie à coronavirus a dévoilé toute la fragilité du système scolaire malien et son incapacité à la réactivité, encore moins à s’adapter.

    “On dispensait les cours par téléphone, radio ou télé pour éviter les regroupements. Il faut reconnaître que ces méthodes ne permettaient pas à tous les enfants d’apprendre. Car beaucoup ne sont pas à même de réunir les conditions pour ce faire. Donc, on ne peut pas vraiment dire que ces méthodes étaient adaptées car ce ne sont pas toutes les familles qui disposent de téléviseurs ou de téléphones chez elles”, reconnaît Cheick Diarra, directeur adjoint du Centre d’animation pédagogique de Ségou.

    En plus de cette difficulté d’adaptation, l’école a dû affronter également ses propres dysfonctionnements à l’épreuve de la pandémie et des violences. Un phénomène qui donne des certitudes à Aïcha Cissé Coulibaly, enseignante à Ségou.

    “Il est difficile, voire impossible de changer le système scolaire malien. Aucune chance que les autorités arrivent à l’adapter au contexte. Et la fermeture des écoles en période de Covid-19 a bouleversé les enfants vu le retard sur le calendrier scolaire”, assène Mme Coulibaly. Mais pour le professeur d’université J. C. K. il ne faudrait pas aller vite en besogne. “Je ne sais vraiment pas s’il faut changer de système scolaire car au Mali il y a en général une banalisation de la pandémie en plus de la situation sécuritaire. A l’intérieur du pays, les gens se comportent comme s’il ne s’était rien passé. Il ne faut pas multiplier des mesures qu’on ne peut pas appliquer ou faire appliquer. Le système n’est pas lié à la Covid-19, mais aux réalités de l’évolution du marché de l’emploi”, soutient l’universitaire.

    Toutefois, avance Assétou Founè Samaké, étudiante à l’Université de Ségou, on ne peut laisser le système se perpétuer sans réagir. “Il est nécessaire aujourd’hui de revoir ou de repenser le système scolaire parce que la saignée ne s’arrête pas. Il est impératif de mettre les enfants et adolescents à l’abri des soubresauts et des dysfonctionnements. Beaucoup d’entre eux ont abandonné l’école. Et ce qui est dommage et inquiétant, c’est que tous ces enfants travaillent ou s’occupent de sorte à amener quelque chose en famille”.

    Les élèves, les grands perdants

    Le drame de l’école va sans doute se poursuivre avec les impacts de la pandémie et des violences. Une perspective que redoute Cheick Diarra.

    “La crise sécuritaire a fait beaucoup de déplacés. Les enfants de ces déplacés sont accompagnés par des ONG comme Educo, Terre des Hommes, Adra… qui, souvent, nous viennent avec la liste de ces enfants pour leur réinsertion. Nous n’avons pas de mécanisme en tant que tel pour les recenser. Il y a toutes sortes de catégories parmi ces enfants. Certains ont l’âge d’aller à l’école mais ne le sont pas, d’autres sont inscrits mais ont abandonné les classes”, se désole le directeur adjoint du Cap de Ségou.

    Pour les élèves du Mali, une vie scolaire avec le couple infernal Covid-19-insécurité est loin d’être l’idéal pour performer dans les études.

    En effet, selon Mme Koné, spécialiste des questions d’éducation, l’élève malien a suivi moins de 40 % du quantum horaire auquel il devait bénéficier.

    “Les enfants étaient prédisposés à s’amuser à la maison. Mais si celle-ci se transforme en lieu d’apprentissage, il y a forcément problème. En plus, il faut reconnaître que les enfants utilisaient le téléphone pour jouer ou faire des photos et non comme support didactique. Les parents de leur côté, dès qu’ils voient les enfants à la maison, c’est pour leur trouver des courses à faire”, explique Lamine Coulibaly, sociologue.

    “La fermeture des classes, c’était déjà une punition pour les enfants de devoir rester à la maison sans rien faire“, ajoute-t-il. “Si les épidémies et pandémies précédentes ont occasionné des changements, la Covid-19 a eu des conséquences dramatiques sur l’éducation de façon générale. Ce qui se répercute considérablement sur les enfants qui produisaient déjà de très faibles résultats scolaires”.

    Aminata Agaly Yattara

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    1 commentaire

    ILS DÉNIGRENT NOS CROYANCES POUR NOUS IMPOSER LES LEURS! ALORS L ESCLAVAGE S EN SUIT AVEC TOUS LES COROLLAIRES 11 Juin 2022 at 10:00
    Qu’est-ce que la France apporte à l’Afrique ?
    En valeur absolue, les exportations françaises augmentent, passant de 6,3 milliards de dollars en 1990, à 7,7 milliards en 2000 et à 17,5 milliards en 2011. En 2019, 😎LES EXPORTATIONS DE BIENS DE LA FRANCE EN PROVENANCE D AFRIQUE (les exportations de biens de la France en provenance d’Afrique) 😎pesaient 25,9 milliards d’euros, et les importations 26,2 milliards d’euros! SACHANT QU AUCUNE COMPAGNIE AFRICAINE DONT LE PROPRIETAIRE EST AFRICAIN N IMPORTE EN FRANCE, IL SAGIT D IMPORTATIONS EN FRANCE DE L AFRIQUE PAR DES COMPAGNIES FRANÇAISES QUI NE PAIENT RIEN À L AFRIQUE!

    😎LA SUISSE ACHÈTE 80% DE L OR DU MALI, ET CAUSE DES TROUBLES PARTOUT SUR LE CONTINENT POUR ACHETER LES RESSOURCES À VIL PRIX! 😎
    REGARDEZ! REFLECHISSEZ! TRANSMETTEZ!
    https://m.youtube.com/watch?v=_CDVC6qybL4

    😎LES MALIENS DOIVENT ÊTRE PRÊTS À SE BATTRE ARMES EN MAINS CONTRE LA PRESENCE FRANÇAISE OU TOUTES AUTRES INDÉSIRÉES PAR NOTRE PEUPLE ET NOTRE ARMÉE NATIONALE! NOUS NE VOULONS PAS DES FRANÇAIS NI L ONU DE MINUSMA INUTILE ET UTILE COLLABORATRICE À LA DESTRUCTION !😎

  8. @Que la maudite France nous laisse en paix, nous disons haut et clair bon débarras sans regret, que meurt la maudite France pour que vive un Mali fort and une Afrique libre, souveraine, prospére et indépendante!

  9. Whatever UN decision will be is for most part out of Mali control. Therefore Mali should now plus post UN decision give focus to practical Greater Good approach to perception, planning plus actions in Mali plus Sahel. We must position ourselves to keep security plus upgrading living conditions under total circumstance moving forward at pace far beyond merciless unstoppable accelerating Global Warming. We need consider if longer UN stay approved will UN invoke unneeded human rights actions that hinder to Malians government reestablishment of needed security. If no or yes what steps must we be prepared to take to continue productively moving Mali toward comfortable world class modern living conditions under merciless unstoppable accelerating Global Warming with ECOWAS sanctions in effect. That take planning of feasible steps plus stages actions but I am confident we able to do it .
    Henry Author Price Jr aka Kankan

  10. Que la maudite France nous laisse en paix, nous disons bon débarras sans regret, que meut la maudite France pour que vive une Afrique libre, souveraine, prospére et indépendante!

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