Réunion ONU-UA-Cédéao sur une possible intervention militaire au Mali

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ABIDJAN, Une réunion de responsables de l`ONU, de l`Union africaine et de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao) s`est ouverte jeudi à Abidjan pour évoquer une possible intervention militaire au Mali, dont le Nord est occupé depuis plus de deux mois par des groupes armés.

Cette réunion doit examiner notamment s`il est nécessaire “de faire adopter et de mettre en oeuvre par le Conseil de sécurité de l`ONU une résolution” permettant “une intervention militaire pour le dénouement de la crise”, a déclaré le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Daniel Kablan Duncan, dont le pays préside actuellement la Cédéao.

“Nous avons un devoir historique de nous mettre d`accord sur une stratégie commune, d`arrêter les modalités d`action, y compris les mesures militaires, et une feuille de route où le rôle de chacun sera bien défini dans l`esprit des responsabilités partagées”, a affirmé Kadré Désiré Ouédraogo, président de la Commission de la Cédéao.

“Le respect de l`unité et de l`intégrité territoriale du Mali ne peut faire l`objet d`aucune discussion ou négociation”, a souligné de son côté le président de la Commission de l`UA, Jean Ping, déplorant “le renforcement de l`emprise de groupes armés et terroristes” dans le Nord.

“Le parachèvement de la normalisation institutionnelle est crucial” pour permettre de restaurer l`autorité de l`Etat dans le Nord, a-t-il souligné, appelant l`ex-junte installée à Bamako après le putsch du 22 mars, comme les groupes qui la soutiennent, à ne se livrer à aucune “interférence” fragilisant les institutions de transition.

Le représentant de l`ONU pour l`Afrique de l`Ouest, Saïd Djinnit, ainsi que des délégués de l`Algérie et de la Mauritanie, sont également présents à Abidjan, parmi de nombreux participants.

Alors que le Mali s`enfonce dans la partition et que la médiation de la Cédéao piétine, le chef de l`Etat béninois et président en exercice de l`UA, Thomas Boni Yayi, a lancé le 30 mai l`idée d`une saisine du Conseil de sécurité de l`ONU en vue de la création d`une force africaine d`intervention au Mali.

 

Publié le jeudi 7 juin 2012   |  AFP

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17 COMMENTAIRES

  1. C’est vraiment écœurant de constater que les fantoches de la CEDEAO à la solde des intérêts néocoloniaux et occidentaux ne lâchent pas le morceau au Mali qu’ils enfoncent tous les jours dans le délitement politique et territorial.
    La preuve, les dernières déclarations du fantoche Kadré Désiré Ouédraogo président de la Commission de la Cédéao: « L’usage de la force n’est pas la première option. La première option, c’est d’obtenir une résultat via la négociation avec ceux qui ont des revendications légitimes ».
    Question: Qui sont ces acteurs qui ont des revendications légitimes dans la crise malienne et avec lesquels on veut obtenir un résultat?
    On espère que les Maliens savent lire ce que disent et écrivent tous ces chiens de tête acquis à l’assassinat criminel de nos peuples.
    Le même Kadré Désiré Ouédraogo, versus le satrape Compaoré poursuit: « Les chefs d’Etat (de la Cédéao) ont été clairs: si les discussions échouent, l’usage de la force n’est pas exclu et c’est pourquoi ils ont demandé à la Commission de la Cédéao de tenir prête une force pour une intervention au Mali »
    Et quand la CEDEAO indique qu’elle dispose d’une force de 3.000 hommes prête à entrer au Mali, c’est précise-t-il pour « aider le gouvernement intérimaire. Cette force tenterait également de reprendre la partie nord du pays aux mains de groupes touaregs et islamistes ».
    En claire, il s’agit d’une force de protection du gouvernement intérimaire avant tout; une force de vassalisation qui « également tenterait de reprendre la partie Nord ». En somme, une éventualité conditionnelle facile à comprendre dans un commentaire de texte à minima.
    C’est louche et criminel contre la souveraineté du Mali qui ne doit compter que sur ces propres forces. Et on comprend alors les hésitations des uns et des autres face à cette trahison qu’on veut infliger au Mali ; un peuple d’Afrique aux racines historiques profondes.

  2. 😆 ➡ ➡ ➡ 👿 💡 💡 🙄 😈 bjrs dans ce jours que nous somme toute les malien de l’etrange soufre a cette cris mais je me demande le gouverdement fait quoi lava si vous ne save pas resolut notre pays il ne ka laisse je ne sais pas si il ya des armee au mali si ou non la population malien n’apas besoin des negosiation entre des rebelle ce que les gent diece nuit jrs je pense cette catatrophe mon dieux il faut libre notre maliba il faut que les armee soit indivisible

  3. Il faut arrêter d’accabler à longueur de forums, la Junte et Sanogo et constater plutôt le spectacle pathétique de chiffonniers auquel les différentes fractions de la bourgeoisie malienne se livre autour du pouvoir et du fameux ordre constitutionnel imposé par les satrapes et les chiens de tête de la CEDEAO.
    Comment se fait-il que les exemples d’autres peuples en luttes hier ne nous inspirent plus aujourd’hui ?
    Je pense aux Vietnamiens qui ont bouté les Français et les américains hors de chez eux. Bien évidemment, leur lutte n’était pas placée à l’époque sous la direction d’une bourgeoisie frelatée et néocoloniale comme c’est le cas actuellement au Mali et dans quasiment toute l’Afrique où la tendance consiste désormais à lancer des Appels à libération et à protection aux criminels de l’Otan ou de l’Africom via l’ONU ou l’UA caporalisée par les mêmes puissances occidentales. C’est dire que l’exemple libyen n’a pas instruit les Maliens, ni l’Afrique.
    Mobilisé sur des bases patriotiques populaires et progressistes, le peuple malien doit-être capable, à l’exemple des Vietnamiens, de mâter des ethno-sécessionnistes et des intégristes wahhabites manipulés par les Occidentaux, le Qatar et l’Arabie Saoudite. Mais tant que les mosquées seront remplies à Bamako derrière la bourgeoisie islamo-intégriste, la lutte contre des coreligionnaires fanatiques au Nord sera vaine. Dans ces conditions, il est peut-être indiqué de passer par l’Otan, l’ONU, la CEDEAO et l’UA pour leur concéder le Nord du pays; car aucune de ces institutions et forces n’ont jamais libéré un peuple, mais bien le contraire.

  4. Il est temps que les Maliens comprennent que la CEDEAO et l’UA n’ont ni diplomatie, ni armée, ni les moyens économiques pour libérer le Mali. Voici deux institutions financées par l’Occident et tenues par des fantoches et des chiens de tête; je veux dire des satrapes au service des Occidentaux et de leurs propres intérêts personnels. Mêmes leurs appels à l’ONU, une institution devenue criminelle contre la paix relève du sabotage futur de l’unité et de l’intégrité du Mali. Si l’ONU qui est caporalisée par les Occidentaux s’invite dans la crise malienne, elle imposera la solution dictée par les mêmes puissances; et les chiens de têtes nègres ne broncheront pas. Mieux, ils mettront la queue entre les jambes comme ils l’ont toujours fait.
    Tout un tas de débilités politiques peinent à comprendre de tels enjeux et soutiennent mordicus le folklore de la transition que leur joue la bourgeoisie malienne inféodée aux pires ennemis de la république et de la patrie, le Mali.
    Pour infos aux patriotes sincères, bien que nous ne partageons pas tout de ce point de vue, suivez et diffusez le lien:
    http://www.alterinfo.net/AZAWAD-VS-MALI-LE-LINGE-SALE-SE-LAVE-DANS-LA-FAMILLE_a77430.html

  5. Les dirigeants politiques françafricains actuels au pouvoir, parce qu’ils régentent des peuples de paysans et de petits bourgeois culturellement aliénés par le néocolonialisme sidèrent toujours par leur manque de vision stratégique et leur inconsistance idéologique.
    On ne crée pas comme ça une force armée de l’UA ou de la CEDEAO sur un claquement de doigt ; et pour quels objectifs communs ? Quand on sait que nombres de crises armées que traverse le continent sont liées aux pratiques criminelles mêmes en interne de nos satrapes locaux ; ces politiciens néocoloniaux qui peuplent les sommets des Etats africains.
    L’UE qui a une longueur d’avance n’a pas encore son armée européenne. Elle s’abrite sous la défense américaine via l’Otan que les Européens critiques et conscients n’acceptent pas.
    Comment peut-on envisager une armée africaine dans un contexte néocolonial prédateur régis par des satrapes locaux qui font plus confiance aux barbouzes occidentaux installés et encasernés autour de leur palais?
    Une armée africaine de l’UA ou de la CEDEAO, avec la permission de l’ONU, les finances de l’ONU, de l’UE et la couverture de l’Otan ou des bases coloniales à domicile, c’est à dire avec l’appui et l’aval des puissances impérialistes qui caporalisent cette même ONU devenue criminelle contre la paix, n’a rien de sérieux comme projet.
    Une armée de l’UA ou de la CEDEAO suppose l’unité réalisée du continent avec un objectif commun, une couleur, une monnaie unique décolonisée, et des institutions intégrées et unifiées. Elle suppose également la rupture définitive avec le néocolonialisme, la bancocratie mondiale, la fermeture de toutes les bases étrangères sur le continent, une politique de l’armement indépendante et une vision stratégique quand à la défense de la souveraineté de l’Afrique.
    On se demande d’ailleurs pourquoi pendant les crises de morcellement de l’Ethiopie, de la Somalie, du Soudan ou pendant les crises congolaises, libérienne, ivoirienne ou l’attaque criminelle de la Libye par l’Otan, cette idée d’une défense indépendante africaine ou sous-régionale n’a pas été avancée.
    C’était par là qu’il fallait commencer; mais qu’a- t- on vu? Les néocoloniaux de l’UA et de la CEDEAO ont minaudé et tourné en rond la queue entre les jambes.
    Il faut être un nègre et menacer les siens par son propre fantôme pour croire à la pertinence d’une défense souveraine africaine financée et équipée jusqu’ici par l’impérialisme occidental. C’est se foutre le doigt dans l’œil et le cul à la fois.
    Aussi dans le cas concret qui nous concerne ici, il est plus correct et conséquent de dire la vérité aux Maliens. C’est à eux seuls et au peuple du Mali débarrassé de sa classe politique néocoloniale pourrie et islamo-intégriste de compter sur ses propres forces ; avec l’aide de pays amis.
    Tout le reste n’est qu’illusion et tromperie contre l’unité et la souveraineté qu’entretiennent les fantoches et les petits bancocrates de la CEDEAO.

  6. Les gars Sanogo a eu ce qu il voulait
    je me demande qu est ce qu on attend pour libérer les nordistes de cette occupation
    les ratés n iront nul part
    ces sont de profiteurs de situation

  7. Bonne meditation sur cet article

    Affairisme dans la crise malienne : Comment la Cia a fait plier Ouattara / La vérité sur le limogeage de Bictogo / Tout sur les Frci arrêtés au Mali
    Source : Le Temps : Dernière Mise à jour : 07/06/2012 (Auteur : )
    Lu : 2683 fois

    Si l’un des réseaux mafieux organisés par le pouvoir a un genou à terre, l’autre cherche tant bien que mal à garder ses repères dans la sphère politique ivoirienne. Le réseau ouattaraiste qui a le genou à terre, est celui d’Adama Bictogo. Tout son malheur est parti de la crise malienne. Lors des négociations dans la crise malienne, Adama Bictogo fait un très bon rapprochement entre lui et la junte du capitaine Sanogo. C’est ainsi que l’homme fort de Bamako lui signifie son souci financier pour s’approvisionner en armements, en vue de faire face à la rébellion. Adama Bictogo lui propose un réseau moyennant diamants et métaux. Sanogo accepte de faire ce deal en clando, avec Bictogo qui arrive même à liquider quelques quantités de pierres. Sanogo s’active alors à s’armer. C’est en ce moment que la pression internationale s’intensifie sur la junte. Entre temps, la Cia suit de près ce deal entre Bictogo et la junte. Cette «Agence» déjà très déçue du pouvoir ivoirien, avec la vente du «diamant de sang ivoirien», fait un rapport accablant sur ce régime. Abidjan est alors dans leur viseur. La Cia saisit donc le Nigéria. C’est la vraie raison du voyage inattendu de Goodluck à Abidjan après la chute de Sarkozy. Chemin faisant, la communauté internationale fait plier la junte par des pressions diverses. Ouattara voulant profiter de la situation, engage une action militaire avec les Frci. Au cours de l’offensive au Mali, un chef de guerre et pas des moindres, et plus d’une centaine d’éléments sont pris sur le théâtre des opérations. Ouattara négocie assidument la libération de cet homme qui est l’un de ses proches les plus directs. Beaucoup de moyens sont donnés à Adama Bictogo, pour les faire libérer. Le capitaine Sanogo profite de son avantage et exige au pouvoir ivoirien plusieurs choses. Abidjan mouillée jusqu’au coup, dans cette affaire cède, pour obtenir la libération de ses hommes en oubliant définitivement l’option militaire. Comme acte bonne foi, le pouvoir exige du capitaine Sanogo la libération du chef de guerre. Les autres devraient être libérés après la signature des derniers accords. Après la signature des accords dans lesquels le capitaine Sanogo obtient gain de cause, ce dernier refuse de libérer les autres prisonniers qu’il détient encore comme preuves. Abidjan qui ne comprenant plus rien, s’informe pour cerner la motivation de la junte à ne plus tenir parole. C’est là que le régime découvre qu’Adama Bictogo n’a pas donné tous les moyens qui ont été dégagés pour le capitaine Sanogo. Dès lors, la présidence ivoirienne se saisit de cette situation et fait un semblant de limogeage avec un faux alibi. Qui à la réalité, n’est qu’une action de charme pour contenter les Usa et la communauté internationale. C’est en ce moment que le réseau Hamed Bakayoko se positionne, en activant ses relations dans la presse et accable son rival. La réaction d’Adama Bictogo ne s’est pas fait attendre. Il donne des éléments précis sur des virements que feraient Hamed Bakayoko verse sur un compte offshore, en Europe depuis huit mois. Et Adama Bictogoa a juré d’avoir la tête de Hamed Bakayoko.

    Une correspondance particulière
    de K.S

  8. Je tiens à dire à mes compatriotes et au reste du monde qu’il ne peut y avoir de dialogue avec les bandits armés au nord Mali pour les booter hors du Mali. Ces bandits ne connaissent que le langage de la violence, donc il faut qu’ils soient violentés pour comprendre qu’il ya une autre vérité autre que la leur. Je demande à l’ONU, l’UE, à l’UA, à la CEDEAO qu’elles ne viennent pas nous dire qu’il ya différences entre les groupes islamistes et les criminels, racistes, brigands du mlna. Pour retrouver la paix il faut les mettre dans le sac. Il ne faut pas aussi que le PM se trompe s’il veut durer à son poste, le Mali seul ne pourra pas chasser ces voleurs car le Mali seul ne sera pas prêt à faire la guerre avant la disparition totale de la génération de sanogo de l’armée…

  9. Comme les miltaires ne veulent pas aller se battre et ils veulent non plus mourrir. Ils peuvent cas meme renoncer a deux mois de leur salaires pour permettre au peuple malien de recruter des mercenaires pour recuperer le nord du Mali.

  10. MOUSSA AG ,salut , ………Mais qu’est ce qui se passe sur MW ? On n’est plus censuré quand on parle de l’interplanétaire Zao , Ancien combattant en Kaki qui n’arrive pas à faire entrer les pintades au gite pour ” kacause qui sé pa ” moduler le KIAKIAKIAKIA correctement ? ? ? ? ? ? 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 kiakiakiakiakia ZAO ! KIAKIAKIAKIAKIA ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Faut s’entrainer ! ! ! ! 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  11. CEUX QUI NE VOIENT QUE DU DIABLE DANS LA CDEAO DOIVENT AVOIR HONTE ET VONT AVOIR HONTE….

    VOUS NE FAITES RIEN….VOUS N’ALLEZ RIEN FAIRE….ET VOUS NE VOULEZ PAS D’AIDE PENDANT QUE VOTRE MAISON BRULE….ET NOS ENFANTS SONT ENTRAIN DE MOURIR TOUS LES JOURS….

    C’EST AU DELA DE L’IDIOTIE….C’EST UN CRIME QUE NOUS SOMMES ENTRAIN DE COMMETTRE AVEC NOS BETISES….NOS FRERES ET SOEURS DU NORD DOIVENT NOUS EN VOULOIR A MORT POUR LES AVOIR ABANDONNE A LEUR SORT…..

    C’EST BEAU DE DIRE “NOUS PENSONS A VOUS”…MAIS LES ACTIONS NE SUIVENT PAS….

    Moussa Ag, qui supplie le PM de DEMANDER ET ACCEPTER L’AIDE EXTERIEUR POUR NOUS SORTIR DE CETTE MERDE….

    • Mon cher,

      Du moment ou ce n’est plus la securite du Mali seul qui est menacee, le Mali n’aura meme plus l’option de refuser une aide. Crois-moi le Mali peut refuser l’aide si elle vient de la CEDEAO mais il n’a pas le choix quand les Nation Unies le demandent et Sanogo ne sera meme pas consulte. Aussi fier que je suis de mon pays, on ne fait pas le poids devant les Nations Unies et autres.

    • Mais et si ZAO avait peur des PINTADES ? t’as pensé à çà , toi , MOUSSA AG ? 😆 😆 😆 😆 😆 😆

      • 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
        Mais un ANCIEN COMBATTANT COMME ZAO NE PEUT PAS AVOIR PEUR DES PINTADES…BON IL S’EST QUAND MEME TROMPE DE PANTALON LA DERNIERE FOIS QU’IL S’ADRESSAIT A EUX…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

        VAS Y ZAO….FAIS RENTRER LES PINTADES….C’EST PAS AUSSI DIFFICILE QUE CA ….TU N’AS QU’A DIRE…. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 kiakiakiakiakia ZAO !

        Moussa Ag, qui pense que les pintades de Kati intimide notre ANCIEN COMBATTANT ZAO DIARRA 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

  12. Comme disait un article sur ce site ” tout le monde est pret sauf le Mali”… Pauvre de nous, on dirait qu’on est aussi limité que notre hero de Kati 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆 Vous avez interet à donner au nordiste leur region au lieu de vous balader avec un baton à Bamko. 😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆

    • APEMA , le problème c’est ZAO qui n’arrive pas à rassembler les pintades ……. 😆 😆 😆 😆 (je vois que tu commences à retrouver le moral , NE LE REPERDS PAS ! )

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