La cérémonie d’ouverture était présidée par la représentante de la directrice nationale de la promotion de la femme, Cissé Moussokoro Sékou Soulaké, en présence de la directrice de l’Aprofem, Traoré Awa Aly Traoré ; du représentant de l’Ambassade des Etats-Unis, Andrew Scheineson et du maire de la Commune V, Boubacar Condé.
Selon la directrice de l’Ong Aprofem, Traoré Awa Aly Traoré, depuis sa création en 1992, sa structure a été de tous les combats en faveur du bien-être de la femme sur le plan économique, politique et socio-culturel. Elle dira que conformément à la lettre et à l’esprit des Résolutions du Conseil de sécurité de l’Onu relatives aux femmes, à la paix et à la sécurité, les femmes doivent jouer un rôle actif dans le processus de réconciliation.
Pour la représentante de la directrice nationale de la promotion de la femme, Cissé Moussokoro Sékou Soulaké, cette journée symbolise l’engagement des femmes à s’impliquer et à être actrices à part entière du processus de paix et de réconciliation dans notre pays. Elle a indiqué que les femmes du Mali disent non à l’esprit séparatiste et à la violence.
Le représentant de l’Ambassade des Etats-Unis, Andrew Scheineson, s’est dit fier du partenariat de son pays avec Aprofem, tout en reconnaissant le rôle de la femme dans la recherche de la paix et de la réconciliation.
Pour sa part, le maire de la Commune V, Boubacar Condé, a exhorté l’Aprofem et ses partenaires à œuvrer pour que la Résolution 1325 du Conseil de sécurité de l’Onu et l’accord de paix et de réconciliation soient plus partagés, au-delà de cette journée, afin que les populations puissent se les approprier.
Diango COULIBALY