Le Conseil de sécurité autorise le déploiement d’une force internationale au Mali

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20 décembre 2012 – Agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies – qui autorise le recours à la force – le Conseil de sécurité a autorisé jeudi, « pour une période initiale d’un an », le déploiement de la Mission internationale de soutien au Mali sous conduite africaine (MISMA), qui sera notamment chargée d’aider les autorités maliennes à reprendre les zones du nord su pays contrôlées par des groupes armés terroristes et extrémistes. 


Aux termes de cette résolution, présentée par la France et adoptée à l’unanimité de ses quinze membres, le Conseil confie également à la MISMA la tâche d’aider à reconstituer la capacité des Forces de défense et de sécurité maliennes, en étroite coordination avec les autres partenaires internationaux, y compris l’Union européenne.
La MISMA devra « aider les autorités maliennes à reprendre les zones du nord de son territoire qui sont contrôlées par des groupes armés terroristes et extrémistes et à réduire la menace posée par des organisations terroristes, y compris Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) et le MUJAO et les groupes extrémistes y affiliés, en prenant en même temps des mesures susceptibles de réduire les effets des opérations militaires sur la population civile. »
La situation dans le nord du Mali a continué de se détériorer au cours des deux derniers mois, avec la poursuite des violations flagrantes des droits de l’homme et de la destruction de sites culturels et historiques à Tombouctou. Plus de 412.000 personnes ont été contraintes de fuir la région et près de cinq millions au total ont été touchées par le conflit.
L’Union africaine, agissant en étroite coordination avec la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), le Secrétaire général et les autres organisations internationales et partenaires bilatéraux sont priés par le Conseil de sécurité de lui faire rapport « tous les 60 jours » sur le déploiement et les activités de la MISMA, « y compris avant le lancement de l’offensive dans le nord du pays ».
La résolution 2085 comporte également un volet politique appelant Bamako à ouvrir un « dialogue politique pour rétablir pleinement l’ordre constitutionnel », notamment en organisant des élections présidentielles et législatives avant avril 2013. Le Conseil demande à être informé des progrès accompli dans le déroulement de ce processus politique, y compris des négociations entre les autorités maliennes et l’ensemble des parties dans le nord du Mali ayant rompu tout lien avec les organisations terroristes.
Le Conseil tient en outre à être informé tous les deux mois de la formation « effective » des unités militaires et de police, qu’il s’agisse de celles de la MISMA ou de celles des forces maliennes, de l’état de préparation opérationnelle de la Mission et de l’efficacité de sa chaîne de commandement.
Le Conseil de sécurité prie le Secrétaire général « de confirmer à l’avance que l’offensive prévue est à sa satisfaction ».
Il est enfin demandé aux États Membres, y compris à ceux de la région du Sahel, « de fournir des contingents à la MISMA pour lui donner les moyens de s’acquitter de son mandat et […] un appui coordonné, notamment sous la forme de formations militaires, de fourniture de matériel, de renseignement, d’appui logistique ».
Lors d’une réunion au Conseil de sécurité le 5 décembre dernier, le Secrétaire général adjoint aux affaires politiques, Jeffrey Feltman, avait indiqué qu’« une intervention militaire mûrement réfléchie et bien exécutée dans le nord ne devrait être lancée qu’en derniers recours contre des éléments terroristes et criminels et les activités de stabilisation dans les zones reconquises faire l’objet d’une planification. » Une telle intervention doit constituer un aiguillon pour le processus politique, qui doit rester la priorité au Mali, avait-il insisté.
Source ONU.

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7 COMMENTAIRES

  1. Nous disons aux maliens et maliennes fiers honnêtes aimants leur Mali d’être prêts mentalement et physiquement car c’est maintenant que débute la guerre de libération des zones occupées après la déclaration de l’ONU

    Nous disons que le constat qui se dégage de la décision de l’ONU est qu’elle a divisé la poire en deux

    Nous disons que l’ONU a contenté les 2parties avec cependant 1léger penchant pour les commanditaires maîtres (ennemis sous régionaux d’Europe et d’Arabie du Mali et membres aussi de l’ONU) de ces « ramassis de voyous » enfants ingrats égoïstes paresseux impénitents assistés permanents du Mali » » que sont les criminels narcotrafiquants voleurs violeurs tueurs handicapeurs à vie Suppôts de Satan Satan fait humains adeptes et fidèles de Dajal ou l’Antéchrist d’Ansar Eddine et les bandit sans foi ni loi de rebelles touaregs voleurs violeurs tueurs sur des bases raciales tribale de MNLA en demandant à l’exécutif malien de s’asseoir à la même table que ces criminels et voyous chose qu’elle n’a jamais demandé depuis sa création aux « Autres » qui ont poursuivi et mis hors états de nuire les criminels et voyous qui se sont attaqués chaque fois à eux même fussent ils leurs compatriotes

    Nous disons que les contours d’1intervention sous mandat de l’ONU restent flous

    Nous disons que si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons que la sécurité le bien être du citoyen lambda malien doivent primer et si la démocratie signifie l’égalité de tous les citoyens et citoyennes Nous demandons alors à Dioncounda au Django malien au gouvernement de lancer immédiatement des mandats d’arrêts internationaux à l’encontre des responsables d’Acqmi Mujao d’Ansar Eddine MNLA pour crimes contre l’unité la paix crimes de guerre et crimes contre l’humanité

    Nous leur disons pour 1fois dans leur vie de penser honnêtement Mali et abandonner les comportements de la république bananière des tropiques où le citoyen lambda n’est moins qu’un rien où on s’en fiche de la sécurité du bien être du pauvre citoyen lambda et où l’impunité à l’égard de criminels au nom d’1 soit disant dialogue ou réconciliation

    Nous disons si selon la formule sacrée du Président Abraham Lincoln « la démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » Nous disons à Dioncounda au Django malien au gouvernement et aux députés de penser 1fois honnêtement au Mali qui les a tant donné et laisser de côté leurs comportements de la démocratie bananière des tropiques dont ils sont si friands et encouragés en cela par leur soit disant amis les « Autres » et de voter dès cette semaine 1loi interdisant les élections présidentielles et législatives tant que le pays n’est pas unifié

    Nous disons des élections excluant les 2/3 du pays ne sont point démocratiquess et elles seraient en fait 1partition malicieuse satanique du pays en 2 car les 2/3 ou des individus issus des 2/3 peuvent ne pas reconnaitre le président élu contester sa légitimité et déclarer leur autonomie et c’est leur droit car ils ont été exclus sans leur avis(car le droit de vote est sacré en démocratie et aucune autorité n’a le droit et ne peut oter ce droit à des citoyens honnêtes lambda quelqu’en soit la raison)

  2. MALI: QUELS CRITÈRES ET CONTRAINTES POUR GAGNER LA GUERRE DANS L’UNITÉ ?

    Bonjour,
    La nouvelle résolution 2085 de l’ONU, adoptée le 20 décembre 2012, à l’unanimité, comprend deux volets, réconciliation politique et militaire, qui doivent être menés parallèlement.

    Le volet RÉCONCILIATION POLITIQUE doit:

    (1) via le dialogue politique, rétablir l’ordre constitutionnel à travers les élections présidentielles et législatives avant avril 2013,

    (2) engager des négociations entre les autorités de transition du Mali et les groupes présents au Nord Mali et n’acceptant pas le terrorisme, essentiellement les groupes Touaregs, comme le spécifie la résolution.

    Le volet MILITAIRE avec deux étapes:

    – parallèlement à la réconciliation politique, la préparation de l’armée Malienne et des troupes de la force internationale pour être prêtes à reconquérir le Nord Mali,

    – déploiement de la force internationale MISMA (Mission Internationale de Soutien au MAli) après accord du conseil de sécurité de l’ONU s’il juge l’état de préparation suffisant à partir de certains critères (entraînement suffisant, efficacité du commandement, équipement et adaptation au terrain).

    Compte-tenu du temps nécessaire à la préparation de cette force mondiale et pour des raisons climatiques, des responsables de l’ONU et des diplomates estiment que le déploiement de cette force MISMA ne peut démarrer avant l’automne 2013.

    DONC, CETTE RÉSOLUTION 2085, DE L’ONU, DONNE, IMPLICITEMENT, LA PRIORITÉ AUX ÉLECTIONS AVANT LA LIBÉRATION DU NORD MALI.

    C’est dommage, une partie de la population Malienne sera dans l’impossibilité de participer à ces élections.

    POUR QUE LES ÉLECTIONS AIENT LIEU APRÈS LA LIBÉRATION DU NORD MALI, IL SERA IMPÉRATIF DE LE LIBÉRER AVANT AVRIL 2013.

    Est-ce possible ?

    DIFFICILE, compte-tenu de la complexité de la situation et de l’état de préparation de l’armée du Mali ET celui de la force internationale de soutien, sauf si les forces de défense et de sécurité du Mali et les Maliens s’engagent SEULS, le plus rapidement possible, pour cette libération. Dans ce cas, les conditions sont-elles réunies pour que la libération du Nord Mali, dans l’unité, soit effective ?

    Compte-tenu de la complexité de la situation (guerre exigeant de la précision car pouvant se dérouler en ville avec la population mélangée avec les terroristes des fois sans qu’elle le sache, extensions et renforts régionaux et internationaux possibles), IL EST PRUDENT, COMME L’EXIGE LES CRITÈRES POSÉS PAR L’ONU, que l’état de préparation des forces de défense et de sécurité du Mali et de la force internationale de soutien soit vraiment satisfaisant avant d’envisager la guerre contre les terroristes.

    L’exigence d’une guerre précise, ciblée et de courte durée milite, comme je l’ai proposé dans ma solution de sortie durable de la crise du Mali, pour une guerre informationnelle d’intelligence collective ou guerre stratégique de renseignements sur les terroristes.

    UNE TELLE GUERRE EXIGE L’ENGAGEMENT DE TOUS LES MALIENS EN FRONT UNI ET CELUI DES PARTENAIRES RÉGIONAUX ET INTERNATIONAUX.

    ELLE EXIGE AUSSI UNE DURÉE CONSÉQUENTE POUR DES INFORMATIONS (CORRÉLÉES/SÉCURISÉES) FIABLES SUR LES TERRORISTES.

    Ce qui constitue d’autres contraintes indispensables dont l’ONU n’a pas parlé.

    Finalement, pour gagner la guerre contre les terroristes et assurer la réconciliation nationale, dans l’unité, les Maliens doivent les préparer avec précaution.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC et Gouvernance

  3. Sanogo a bénéficié de la démocratie américaine et malienne
    Mais représente aujourd’hui un destructeur et obstacles de cette même démocratie

    Nous le disons également haut et fort tous ceux d prêt ou de loin rejettent
    La reconquête du pays sont indignent and are not patriot (bis)
    Abas tous ces connards bientôt Mali même n’existerai plus

    • Le Mali existera toujours tant que la terre planète existera! Ne plaise aux ennemis de notre patrie! 😆

    • Tu sais quoi … Cela a fait 52 ans et continuera a jamais les noirs depuis l’empire du Mali controle l’etat Malien et ils y resteront en tete! A tout raciste de chercher ailleurs>>

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