Ingérence de la mission de l’ONU au Mali : Le Directeur de la division des droits de l’homme fait les frais de ses agissements déstabilisateurs

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Les premières sanctions relatives à l’affaire dite de la représentante de la Société civile malienne au Conseil de sécurité des Nations Unies sont tombées, le dimanche 5 février 2023. C’est le Directeur de la Division des droits de l’homme de la MINUSMA, Monsieur Guillaume Ngefa-Atondoko Andali qui a été visé par la première sanction.

Au-delà d’être déclaré persona non grata, le gouvernement malien lui a donné dans la nuit du dimanche dernier, un ultimatum de 48 heures pour quitter le territoire national. Selon le gouvernement dans son communiqué, cette mesure fait suite aux agissements déstabilisateurs et subversifs de Monsieur Andali, en violation flagrante des principes et obligations que doivent observer les fonctionnaires des Nations Unies et tout diplomate accrédité au Mali, conformément aux conventions internationales pertinentes.

Le gouvernement a précisé qu’à l’occasion des différentes sessions du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur le Mali, « les actions de Monsieur Andali ont consisté à sélectionner des usurpateurs s’arrogeant le titre de représentant de la société civile malienne, en ignorant les autorités et les institutions nationales ». Outre la sélection de ces individus recrutés pour faire des exposés spécieux, le Gouvernement souligne que Monsieur Andali n’a jamais réussi à prouver les critères objectifs qui lui ont permis d’identifier les représentants de la société civile qu’il a utilisés. « La partialité de Monsieur Andali a été encore plus manifeste, lors du dernier examen du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur le Mali », a déploré le gouvernement.

Des investigations menées, révèle le gouvernement, il ressort que l’offre de dénigrement de Monsieur AndaliI a été rejetée dans un premier temps par un digne enfant du Mali. « C’est par défaut qu’il a réussi à trouver une dame qui a accepté de jouer le rôle d’usurpateur en s’exprimant le 27 janvier 2023 au nom de la société civile malienne », explique-t-il, avant de poursuivre que « la conspiration était d’autant plus grande que l’organisation dont se réclame l’usurpatrice est une Association étrangère non déclarée et ne dispose d’aucun droit d’exercer au Mali ».

À titre de rappel, le gouvernement soutient que ce forfait a été dénoncé respectivement par plusieurs acteurs dont le Conseil National de la Société Civile et la Coordination des Associations et ONG Féminines du Mali (CAFO).

Avant de conclure, le Gouvernement de la Transition dit réitérer sa disponibilité à maintenir le dialogue et poursuivre la coopération avec l’ensemble de ses partenaires, conformément aux 3 principes de SE le Colonel Assimi Goïta, Président de la Transition, Chef de l’État ; qui sont entre autres, le respect de la souveraineté ; le respect des choix stratégiques et des choix de partenaires opérés par le Mali et la prise en compte des intérêts vitaux du Peuple malien dans les décisions prises.

Adama Coulibaly

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2 COMMENTAIRES

  1. Un autre gros negre de service, adieu Guillaume! Le Mali est pour les Maliens et pas les Congolais ou les Nations-Unies impotentes et incompétentes d’ Antonio!

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