Monsieur le Président de l’Assemblée générale ; Majestés ;
Mesdames, Messieurs les Chefs d’Etat et de Gouvernement ;
Monsieur le Secrétaire général ; Mesdames, Messieurs ;
Permettez-moi, tout d’abord, de vous adresser les chaleureuses félicitations de la délégation du Mali pour votre brillante élection en qualité de Président de la 72ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies et saluer le travail remarquable abattu par votre prédécesseur, l’Ambassadeur Peter Thomson.
Qu’il me soit également permis de rendre un vibrant hommage au Secrétaire général de notre Organisation commune, mon cher ami António GUTERRES, pour son leadership, sa vision et son engagement en faveur des valeurs, principes et buts des Nations Unies.
Monsieur le Président ;
Le Mali se réjouit du choix du thème de la présente session, intitulé « Priorité à l’être humain : paix et vie décente pour tous sur une planète préservée ». Ce thème est, à la fois, pertinent et d’une actualité brûlante, dans un monde confronté aux défis multiples posés à la paix, à la sécurité et aux efforts si importants visant l’amélioration des conditions de vie de nos populations.
En effet, la plus haute priorité actuelle de nos efforts communs ne vise-t-elle pas la préservation efficace de notre planète, bien sûr dans notre intérêt bien compris, mais plus urgent encore, dans l’intérêt de nos futures générations.
Face à ces multiples défis qui n’épargnent pas mon pays, le Mali, je n’ai cessé, depuis ma prise de fonction en qualité de Président de la République, de m’investir pour porter rapidement la paix et la sécurité à mon peuple à un niveau acceptable, pour créer les conditions véritables d’une vie décente au bénéfice de toutes les populations maliennes et pour améliorer notre environnement de vie.
C’est ainsi que dès mon élection en 2013, je me suis attelé fermement à la recherche d’une solution politique négociée à la dimension interne de la crise malienne.
De fait, après huit (8) longs mois de négociations âpres et déterminées, les parties maliennes ont signé, en mai/juin 2015, la conclusion de leurs discussions, connue sous le nom de « l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali, issu du processus d’Alger ».
Le premier mérite dudit Accord aura assurément été de ramener immédiatement la confiance entre les parties maliennes. Avec la mise en œuvre de l’Accord, la situation générale du pays a connu des progrès fort appréciables.
Je me permettrai de faire à présent, l’économie de la longue liste des mesures prises et des actions concrètes engagées par le Gouvernement du Mali pour la mise en œuvre diligente de l’Accord de paix, dans le respect strict de la lettre et de l’esprit des engagements que nous avons pris.
A titre d’exemple, je voudrais indiquer qu’à la date d’aujourd’hui, les autorités intérimaires et les collèges transitoires, deux éléments-clés de l’Accord, sont opérationnels dans les cinq régions du nord du Mali.
Dans la même veine, je me réjouis particulièrement de la dynamique actuelle qui vise le retour définitif de l’administration à Kidal. Cette heureuse perspective a été rendue possible grâce aux efforts conduits par les Maliens eux-mêmes, avec la facilitation de la médiation internationale et l’appui de la MINUSMA.
Parallèlement, le Gouvernement, sous mon autorité, travaille à stabiliser la situation sécuritaire dans les régions du centre du pays, qui me préoccupe au plus haut point. Il s’agit d’une situation particulière devenue aigüe et urgente postérieurement aux discussions d’Alger, c’est-à- dire un nouveau front à sécuriser et à pacifier. Ainsi, des mesures importantes ont été prises dont la mise en œuvre est en cours, avec des résultats fort encourageants.
Ces résultats attestent, indubitablement, de la volonté commune des Maliennes et des Maliens d’aller à la paix, de se réconcilier et de recréer les conditions véritables du vivre ensemble.
Nous devons aussi ces résultats au soutien multiforme des hommes et des femmes du système des Nations Unies au Mali. C’est pourquoi, je tiens à saluer le travail remarquable du personnel civil et militaire de la MINUSMA, qui travaille dans des conditions que je sais difficiles, voire souvent périlleuses.
Du haut de cette tribune, permettez-moi d’avoir une pensée pieuse pour toutes les victimes, aussi bien civiles que militaires, victimes nationales et étrangères tombées sur le champ d’honneur au Mali.
La mise en œuvre de l’Accord a connu de nombreux obstacles, qui ont conduit à de longs délais et à la manifestation de multiples formes d’atermoiements ; toutes choses qui ont généré une immense impatience au niveau de l’opinion nationale et de la communauté internationale.
C’est le lieu d’exprimer notre profonde reconnaissance au Conseil de sécurité pour l’adoption de la résolution 2364 (2017) du 29 juin 2017, renouvelant le mandat de la MINUSMA. De plus, je me réjouis particulièrement de l’adoption, le 05 septembre 2017, de la résolution 2374 (2017) instaurant le cadre juridique d’un régime de sanctions contre les auteurs d’actes entravant la mise en œuvre de l’Accord de paix.
Ces deux résolutions visent la résolution efficace des types de difficultés sous-tendant la mise en œuvre de l’Accord. Elles traduisent également, la détermination ferme de mon Gouvernement de poursuive inlassablement ses efforts politiques et institutionnels pour une conduite ferme et diligente des processus liés à l’effectivité de l’Accord.
Monsieur le Président,
La détérioration de la situation sécuritaire au Mali a eu un impact négatif sur la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation. En effet, l’insécurité au Mali et au Sahel constitue une source de grande préoccupation pour mon pays et pour nos voisins.
Cette situation représente, à tous égards, une menace réelle pour la paix et la sécurité internationales.
Elle est marquée par le terrorisme, l’extrémisme violent et autres formes de crime transnational organisé, y compris les trafics de drogues, d’armes, de personnes…
Ces groupes du crime organisé essaiment dans le Sahel. Ils disposent de moyens financiers, matériels et logistiques importants et représentent de graves défis pour les institutions et organisations opérationnelles individuelles de chacun de nos Etats.
Ils sèment la mort lors de leurs attaques criminelles et asymétriques. Poussant leurs actions dans la conquête d’espaces partiellement soustraits de la souveraineté de nos pays, ils se permettent d’entretenir et d’étendre leurs activités criminelles, menaçant gravement les fondements, voire l’existence même de nos Etats. Aucun pays ne peut, seul, faire face à ces menaces transfrontalières.
C’est tout le sens de la création du G5 Sahel par le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad pour relever ensemble les défis communs liés à la sécurité et au développement de nos pays.
De sa création en février 2014 à nos jours, notre organisation commune, dont j’ai le privilège d’assurer la présidence pour la période 2017-2018, a réalisé des progrès immenses. Elle a notamment mis en place la Force conjointe du G5 Sahel pour lutter contre le terrorisme, le crime transnational organisé et le trafic de migrants.
L’adoption de la résolution 2359 (2017) du Conseil de sécurité est certes une étape importante, mais nous aurions souhaité qu’elle le fût sous le chapitre VII qui lui garantirait un financement prévisible et durable, y compris à travers les Nations Unies, conformément à la décision du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine du 13 avril 2017.
La Force conjointe du G5 Sahel participe de la volonté commune de nos Etats de s’investir ensemble dans la sécurisation et le développement de notre espace commun, avec le soutien de nos partenaires que je salue ici pour leur constante sollicitude à nos côtés. Aujourd’hui, nous travaillons sans relâche à l’opérationnalisation effective et au fonctionnement efficient de cette force, avec l’appui, ô combien apprécié, de pays amis et d’organisations partenaires.
Les premières opérations de la Force conjointe débuteront, nous l’espérons, ce mois d’octobre 2017. Je puis vous assurer que ces opérations seront conduites dans le strict respect des droits de l’homme et du droit international humanitaire. A cet égard, un dispositif civil sera déployé au sein de la Force pour veiller à cette dimension qui nous tient à cœur, car le succès de la Force repose sur l’adhésion pleine et constante de nos populations.
Cependant, je voudrais appeler votre attention sur quelques défis qui jalonnent l’opérationnalisation et le maintien de la Force. Au nombre de ces défis, figure en bonne place la mobilisation du financement intégral de la Force. C’est donc l’occasion pour moi d’inviter tous les pays amis et les organisations internationales partenaires à la Conférence internationale de planification des contributions à la Force, prévue en décembre 2017 à Bruxelles.
Je voudrais donner l’assurance que les ressources allouées à cette Force seront gérées avec une totale transparence. De plus, nous restons ouverts à tout appui de nos partenaires, pouvant aider à assurer une meilleure gestion des ressources de la Force conjointe.
Aussi, voudrais-je inviter les pays amis et les organisations internationales partenaires à soutenir la Force conjointe du G5 Sahel dans les domaines de l’équipement des bataillons, du renforcement des capacités logistiques, ainsi que celui des secteurs de la communication, de l’évacuation médicale d’urgence et de la lutte contre les Engins Explosifs Improvisés (EEI).
Parallèlement au volet sécuritaire, le G5 Sahel accorde une grande priorité aux questions de développement, de résilience des populations, de gouvernance et d’emplois décents pour la jeunesse de nos pays respectifs. C’est le lieu d’inviter la Communauté internationale pour un accompagnement soutenu du Programme d’investissements prioritaires (PIP) du G5 Sahel.
Monsieur le Président,
La mise en œuvre des Objectifs du Développement Durable (ODD) demeure une priorité pour le Mali. Dans ce contexte, le Gouvernement a adopté, en 2016, le Cadre stratégique pour la relance économique et le développement durable (CREDD) pour la période 2016- 2018, dont l’objectif global estde promouvoir un développement inclusif et durable en faveur de la réduction de la pauvreté et des inégalités dans un Mali uni et apaisé, en se fondant sur les potentialités et les capacités de résilience, en vue d’atteindre les ODD à l’horizon 2030.
Le cadre macroéconomique de notre pays a été assaini et de nombreux indicateurs montrent des évolutions encourageantes, notamment un taux de croissance économique robuste avec une moyenne annuelle de l’ordre de 6% et une amélioration substantielle du climat des affaires.
Dans un tel contexte favorable, le Mali organisera les 7 et 8 décembre 2017 à Bamako le Forum Invest in Mali et nous invitons les pays amis et les organisations internationales à venir faire le pari du Mali.
Monsieur le Président,
Pays sahélien à vocation agro-sylvo-pastorale, le Mali demeure fortement préoccupé par les changements climatiques, qui constituent l’un des défis majeurs pour la survie et le développement de l’humanité.
C’est pourquoi, je voudrais réaffirmer l’attachement du Mali à la mise en œuvre effective de l’Accord de Paris sur le climat. A cet égard, la Communauté internationale doit rester mobilisée pour sa mise en œuvre afin de préserver l’écosystème pour les générations présentes et futures.
Monsieur le Président ;
Le monde continue de faire face à de nombreux défis de santé publique comme le VIH/Sida, le paludisme, la tuberculose, l’Ebola.
Tout en saluant les progrès dans la lutte contre ces pandémies, il nous faut renforcer la mobilisation internationale pour atteindre les objectifs communs d’éradication de ces maladies.
Il nous faut redoubler d’efforts pour mettre en œuvre notamment la Déclaration politique sur l’élimination du Sida à l’horizon 2030 que nous, dirigeants du monde, avions adoptée à New York, en juin 2016.
S’agissant des questions de migration, le Mali appuie pleinement le processus en cours, au sein de notre organisation commune visant l’adoption, en 2018, d’un pacte mondial pour des migrations sûres, régulières et ordonnées.
Il nous faut trouver collectivement des solutions idoines à la tragédie humaine dans la Méditerranée et dans le désert, qui ne laisse aucune conscience humaine indifférente, avec ces milliers de morts, y compris des femmes et des enfants.
Le Mali, se trouve être à la fois pays de départ, de transit et de destination de migrants. Aussi nous sommes-nous dotés d’une Politique nationale de Migration (PONAM), en vue d’un meilleur encadrement de la migration. Le Mali a également mis en place des mécanismes nationaux pour une meilleure gestion des questions migratoires.
Je salue ici la contribution substantielle de la diaspora malienne au développement économique, scientifique, culturel et social du Mali.
Oui ! Cette diaspora constitue à la fois notre fierté et notre richesse.
Monsieur le Président ;
Le peuple et le Gouvernement du Mali demeurent très attentifs à la situation en Afrique et dans le reste du monde. Ainsi, sommes-nous préoccupés par la situation en Libye qui continue d’impacter négativement la région du Sahel et nous appelons l’ensemble des parties prenantes libyennes à privilégier la recherche de solutions pacifiques en vue du règlement durable de la crise.
Le Mali est également attentif à la situation qui prévaut au Moyen-Orient, en particulier l’impasse dans les négociations du conflit israélo-palestinien.
Le Mali réaffirme son soutien au peuple palestinien frère
dans sa lutte légitime pour recouvrer ses droits inaliénables et appelle à la reprise des négociations, en vue de la solution à deux Etats, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité.
De même, nous sommes inquiets par la montée sans précédent du terrorisme, de l’extrémisme violent et de l’intolérance religieuse dans le monde.
Pour contenir ces menaces mondiales, qui n’épargnent aucun pays et aucune communauté, il nous faut renforcer la coopération internationale et régionale, favoriser un dialogue fécond et permanent entre les civilisations, lutter contre les causes des vulnérabilités qui exposent nos communautés à l’idéologie extrémiste.
Le Mali se réjouit des succès enregistrés dans la lutte contre les organisations terroristes de part le monde et lance un appel à plus de coopération et de coordination dans la lutte contre le terrorisme dans la région du sahel.
Monsieur le Président,
Les réalités et les exigences du monde actuel nous commandent d’adapter la gouvernance mondiale aux défis du moment.
La revitalisation de l’Assemblée générale et la réforme tant attendue du Conseil de sécurité deviennent de plus en plus incontournables, si nous voulons une Organisation des Nations Unies capable de répondre efficacement aux attentes légitimes de toutes les Nations.
Le Mali réaffirme son attachement à la position commune africaine sur la réforme du Conseil de sécurité.
Au demeurant, nous exprimons notre préoccupation face à la tendance à la réduction du budget des opérations de maintien de la paix des Nations Unies, au moment où les défis sécuritaires dans le monde requièrent plutôt un renforcement des moyens et des capacités des missions de paix.
Aussi, voudrais-je réitérer l’appel du Gouvernement du Mali en faveur de la nécessaire adaptation des Opérations de maintien de la paix à l’évolution drastique qu’a connu leur environnement, évolution marquée par de nouvelles menaces liées aux attaques asymétrique.
Comme l’a affirmé le Secrétaire général des Nations Unies, nous sommes d’avis que les opérations de maintien de la paix, pour être efficaces, doivent être dotées de mandats réalistes et réalisables.
Je ne saurais fermer ce chapitre sans saluer la dynamique de renforcement du partenariat stratégique entre l’Union Africaine et l’Organisation des Nations Unies, conformément au Chapitre VIII de la Charte des Nations Unies, eu égard au fait qu’environ 70% des questions traitées par le Conseil de sécurité porte sur les questions africaines.
Monsieur le Président ; Majestés ;
Mesdames, Messieurs les Chefs d’Etat et de Gouvernement
Nous avons la responsabilité collective de faire la paix et d’assurer la sécurité dans le monde.
Nous avons la responsabilité collective de ne laisser personne en marge et de créer les conditions d’un développement inclusif pour nos populations.
Nous avons la responsabilité collective de sauver et de préserver notre environnement et notre planète commune.
Par ma voix, le Mali s’engage à jouer pleinement sa partition dans cette œuvre collective de construction d’un monde meilleur pour tous.
Je vous remercie pour votre aimable attention.
IBK n’interesse plus grand monde,la salle etait presque vide…Il aurait du annuler ou ecourter son intervention pour eviter l’humiliation.
Quelle honte !
Lynx22, SABALI!!!! PEUX-TU NOUS DIRE COMBIEN DE PERSONNES ETAIENT DANS LA SALLE?
CAPI – ROI BOUFFON DE SÉGOU, pourquoi oublies tu d’ajouter que IBK aura et troisième et même un huitième mandat à la tête du MALI ? Tu sais bien que ton DIATIGUI est friand de la flatterie et que nous voulions sa peau aimons des zélés comme toi qui lui font dormir sur ses lauriers ! 😛😛
YUGUBANE’ ou TIEKELEN ( Celles et ceux qui ne savent pas MARAKAKAN, yugubane’ signifie TIEKELEN!) Seul yugu est un homme. WALAY JE SUIS ENTRAIN DE RIRE car le pseudo nous dit beaucoup a’ propos de l’individu. AW KANA DJIGUI ALA, C’EST UN TONTON MARAKA NALOMA!!! Nene’ Soumare’ KA MOGOW, OUCIVILISELEN NI SANBARA BE’ YELE’ YIRIKAN!!!! QUE FAIRE?
WC, JUST SMOKE YOUR SHIT AND SHUT UP!
Che’, avec ton “ils nous trouveronS….” EST-CE QUE JE DOIS TE REPONDRE? C’EST IL LE SUJET ICI ET NON NOUS!!!!! IDIOT, TU REMPLACERAS TA LETTRE S AVEC LA LETTRE T!!!!! Ils nous trouveronT est meilleur!!!! You just don’t know any better!!! Correct your stupid mistake. On parlera du reste apres!!!!
Mossad, tu sais bien que vous attaquez le President IBK a’ cause de votre ethnocentrisme!!!!!! C’EST BIEN MON TONTON DE VALEUR ATT QUI A CONDUIT LE MALI DROIT AU MUR!!!!! Mon epouse Fanta idiote est assise sur son milliard et elle refuse toujours de m’envoyer ma part!!!! C’EST FACILE D’ATTAQUER KARIM KEITA MAIS N’OUBLIEZ PAS VOS PROPRES FORFAITS ET LES FORFAITS COMMIS PAR VOS ENFANTS!!!!
YUGU NIENGO, HARI SINI IBK PARLERA A’ PARTIR DE LA TRIBUNE DE L’ONU! NI OMA DIYA AW YE’, VOUS POUVEZ ECLATER!!!!!! TOO BAD FOR YOU S’IL N’EST NI IBRAHIM BOUBACAR BA NI IBRAHIM BOUBACAR DIALLO NI IBRAHIM BOUBACAR MAGUIRAKA NI IBRAHIM BOUBACAR DIAWARA NI IBRAHIM BOUBACAR BARRY NI IBRAHIM BOUBACAR TALL NI IBRAHIM BOUBACAR SOW!!!!!! WALAY JE SUIS ENTRAIN DE RIRE!!!!!!!! IL EST NE’ KEITA ET IL RESTERA KEITA JUSQU’A’ SA MORT!!!! VOTRE ETHNOCENTRISME VA VOUS DETRUIRE!!!! ESPECE DE NIENGOW!!!!! IBK AIME LE MALI ET TOUTES LES ETHNIES DU MALI. IL EST EN MISSION POUR LE MALI! A’ L’ONU, IL PARLE AU NOM DU MALI!!! MAIS VOUS ETES TELLEMENT ETHNOCENTRISTES ET FRANCHEMENT IDIOTS QUE VOUS NE SAVEZ PAS COMMENT DEFENDRE LES INTERETS SUPERIEURS DU MALI!!!!
ALLAH KA AW SON HAKILI GNOUMAN NA!!!!
Tu peux corriger mes fautes dans les langues des Toubabs mais pour traduire mon nom en Bambara il faudra que tu maîtrises le Bambara et le Soninké. Ainsi je verrai un SOURANKOMÉ accomplir ce que ma grand-mère paternelle n’a pas pu faire toute sa vie, parler correctement le Soninké ou le Bambara. 😀😀😀😀😀😀
Trouves un autre sens à yugubané car TIÉKÉLÉN n’est pas correct.
Yugu, je suis entrain de rire!!!! Je maitrise parfaitement Bamanankan!!!
Que signifie yugubane’? Yagare’ signifie femme. yugu/yigo signifie homme. Bane’ signifie 1. la traduction de yugubane’ est bien TIEKELEN!
yugu, la vieille parlait quelle langue? C’est parce que tu es tetu et tu refuses de suivre les conseils de la vieille, qu’elle a eu l’impression qu’elle ne parlait pas ta langue!!!
Pour te calmer, je donne a’ Ibrahim Boubacar un nom de famille Maraca ou foula! IBRAHIM BOUBACAR SOW pour les amis halpular. IBRAHIM BOUBACAR DIAWARA POUR MES TONONS MARAKAW!
Je me demande pourquoi notre Mande Massa n’a pas été invité par le President US Donald Trumpump à son luncheon avec ses pairs africains.
TRUMP n’est pas stupide au point d’inviter un Chef d’etat clochard à la table des leaders Africains.
Tu peux dire ce que tu veux MAIS IBK EST LE PRESIDENT DU MALI!!!
IBK peut tricher en 2018. Mais ils nous trouverons sur leur chemin. Nous le ferons partir par tous les moyens et ce sera la libération totale du Mali, une victoire sur la pègre nationale. Lui et sa famille d’abord subiront le même sort que Mobutu du Congo. Un exil au Maroc…
IBK pourrait entrer dans l’histoire et dans le coeur des maliens et des africains en générale, si il renonçait à se présenter pour se concentrer sa santé et jouir encore du peu de temps qui lui reste.
Mais bon toi et moi, on sait tous qu’il va préférer aller se faire humilier à la présentielle de 2018!
S’il essaye de renoncer ses enfants vont le tuer. Quelqu’un m’a dit que rien que pour couvrir les gaffes de Karim il serait obligé de se présenter et de tout faire pour ne pas quitter. 😀😀. S’il jouissait de toutes ses facultés mentales, il allait savoir que la meilleure manière de protéger sa famille est de renoncer. Car dans ce cas, le peuple prêt à en découdre avec lui et sa famille verra en toute poursuite judiciaire une chasse aux sorcières. Tout le monde sait que son état mental ne lui permet pas de d’avoir une telle vision. 😀😀😀😀😀😀
Je suis d’accord avec toi: il va se présenter pour couvrir les conneries de sa familles d’abord… et de lui-même avec ses surfacturations et co…
Quelle tristesse…
Si au moins Nous avions un dirigeant assez honnete et son gouvernement aussi avec tout son gang, peut que Nous allions voir le bout du tunnel. Aussi pour les autres dirigeants imperialists, semeurs de chaos a travers le monde entier…
Helas………
yugubané: “Moi je ne lirai pas ce discours, aux Nations Unies les gens profitent de l’intervention des gens comme Ladji BOURAMA et semblables pour faire une sieste ou prendre un peu d’air dehors. Personne n’écoute leur babillages !! ”
C’est exactement ce que je disais l’autre jour!
Tout le monde s’en fout de ce que le président du mali pense ou dit à cette tribune!!!
Mais notre vieux vautour vicieux voleur ventru est un psychotique: il voit le monde comme dans son esprit tordu!!!
Nettoie d’abord ton pays sale!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C’est plus important que d’aller pleurer et barbouiller la langue française devant les autres dirigeants de l’humanité, qui ont un mépris très profond pour l’homme noir, parce ce même homme noir ne se respecte pas et ne se fait pas respecter, au lieu de parler ta propre langue, le mandé (le bambara) la langue du mali!!!!!!!!!!!!!!
La Tribune des Maîtres du monde: à tout Seigneur,tout honneur.
The US President Donald Trump wants to turn the world upside down by blowing the whistle.
We are close to the doomsday.
“…Discours du président de la république SEM IBK à la tribune de la 72ème session de l’Assemblée Générale des Nations Unies…” ou “…La touche visible de Soumeylou Boubèye…” d’après un billet de l’hebdomadaire Le Témoin
Moi je ne lirai pas ce discours, aux Nations Unies les gens profitent de l’intervention des gens comme Ladji BOURAMA et semblables pour faire une sieste ou prendre un peu d’air dehors. Personne n’écoute leur babillages !! 😀😀😀😀😀😀😀
ESPECE DE NIENGO! DITES CE QUE VOUS VOULEZ, IBK AURA UN AUTRE MANDAT!!!
1- C’est cela votre problème M BITON DE SEGOU! Vous n’arrivez pas jusque là à capter qu’il ne s’agit point de la personne d’IBK, mais de la fonction présidentielle, c’est à dire qu’il a choisi cette fonction et porte en lui une politique, une politique qui fut pendant 4 ans violente et brutale pour les gens les plus modestes…
2- Cette politique a mis des millions de Maliens dans une précarité extrême, envoie des innoncents soit dans les bras des prédicateurs radicaux ou sur le sable ou la mer et puis il s’en vient nous raconter devant l’ONU que le terrorisme c’est la pire des choses. Donc à un moment donné il faudrait que cet Président et l’ONU nous expliquent à qui profite réellement ces crimes au Sahel…
3- M IBK a alors intérêt à s’adresser aux Maliens de manière audible et accessible par une Alimentation suffisante pour tous, une Santé pour tous et une Education pour tous sans nécessairement passer par des histoires de G5, de Minusma, de Barkhane qui ne mangent pas de pain…
Capi that’s an inconvenient truth U just said.
Compte tenu des circonstances polito-ecomico.et sociales.Avec la complicité tacite de la communauté réligieuse et des liens avec les G.Familles Fondatrices de Bamako, il sera très difficile de déboulonner le Mande Massa des Keita et Coulibaly.(rire).
Connais-tu un Bamakois ou un Malien (en general) qui se reconnait en ces familles dites fondatrices ? Quant aux religieux, aucun d’entre eux ne fait l’unanimité. IBK même le sait mais ils lui sont utiles pour masquer ce qu’il sait faire le mieux: le hold-up électoral comme en 1997 ! Avec moins de 20% de voix IBK sera proclamé vainqueur car tout a été mis en place pour cela. De l’autre côté aussi, tout a été mis en place pour le lui faire payer au prix fort sa malhonnêteté et son entêtement.
Mon ami, ne te fais même pas de quartiers pour cela, IBK PARTIRA D’UNE MANIÈRE OU DE L’AUTRE et ce jour-là ton ami CAPI-ROI BOUFFON DE SÉGOU deviendra le flagorneur du nouveau Prince des lieu. 😀😀😀😀😀
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