La démocratie malienne traverse actuellement des moments difficiles. Devenu poussif, le système de gestion du pays n’avance plus correctement, en dépit de deux décennies de pratique démocratique : tel un vieux moteur, il fume et peine à gravir la colline. D’une transition de 40 jours ramenée à un an par la CEDEAO à une convention nationale préconisée par le CNRDRE, en passant par les sorties en fanfare du Capitaine Sanogo, nombreuses sont les voix qui s’interrogent ouvertement sur la suite des événements.
Sauver le Mali à tout prix
En fait, c’est la légitimité qui est en train de s’amenuiser comme peau de chagrin. Or la légalité sans un brin de légitimité devient comme une symphonie inachevée, surtout dans un environnement régional aussi mouvant qu’inquiétant. Du reste, dans le contexte malien, il est difficile de ne pas voir une relation de cause à effet entre cette convention nationale « en pointillés » (qui risque de se terminer en queue de poisson) et cette situation de crise que vit aujourd’hui le pays de Soundiata Keïta : blocages politiques, militaires sommés de retourner dans leurs casernes, contestation de l’autorité d’Etat par les putschistes qui estiment qu’il n’y a pas mieux que le Capitaine Sanogo pour diriger la transition… En un mot, la démocratie malienne est essoufflée par les pratiques des putschistes du 22 mars. D’où la nécessité d’une relance pour le bonheur du peuple malien. Les membres du CNRDRE sont aujourd’hui impatients de trouver une porte de sortie de crise : du reste, ils sont devenus si « bizarres » qu’il y a lieu que la CEDEAO les réinterroger : où est-ce qu’ils veulent en venir ?
Le Capitaine Sanogo, lui, devrait patienter avant de savoir s’il peut assurer le contrôle du « bateau » Mali) au-delà de la fin légale de l’année de transition.
Dans tous les cas, le pays risque d’être dans l’impossibilité de retourner à la normale après ce « clash » du CNRDRE qui a provoqué tout ce « bazar ». Et pour ne rien arranger avec la CEDEAO, les putschistes se sont invités au débat en renvoyant le Capitaine Sanogo à ses « choux fades » : l’organisation d’une convention nationale.
Au Capitaine, il manque encore de l’expérience pour être « au top » : ainsi en ont décidé les «sages». Le peuple devra donc se remettre rapidement au travail s’il ne veut pas voir le pays embarqué dans une aventure compromettante.
A l’évidence, les uns et les autres jouent avec le feu. En se gargarisant, comme ils le font, d’une stabilité institutionnelle, les acteurs politiques du pays ont manqué à leur devoir de veille.
En se présentant comme le bon modèle, par opposition à ce qui se fait ailleurs, ils ont oublié l’essentiel: la préservation des acquis de la communauté ouest-africaine. En se focalisant sur les détails (mutisme face au rejet d’une année de transition de Dioncounda par le CNRDRE), ils ont laissé filer l’occasion de parfaire l’intérêt des Maliens.
Et le pays dans tout cela? Apparemment, cela ne semble pas être la principale source d’inquiétude des putschistes. A l’évidence, ces derniers sont plus préoccupés à rallonger leur fin de règne qu’à autre chose.
Mais pour se défendre, le Capitaine Sanogo a ses propres arguments. Préférant répondre aux attaques, il estime qu’il joue un rôle qui dépasse largement le cadre d’un simple chef putschiste.
Des sanctions en vue
En se projetant dans la conscience populaire, notamment au sein des couches les plus vulnérables, les membres du CNRDRE revendiquent leur connexion avec la masse. Ce qui leur permet de s’attirer les faveurs des populations.
Pendant ce temps, enfermé dans une stricte discipline interne d’intervention et de critiques dont il est difficile de se défaire, le CNRDRE offre à l’opinion nationale le sentiment d’un débat « chloroformé ».Il y a même comme un vent d’anachronisme qui plane désormais en l’air, et cela, au regard de la tenue d’une convention nationale qui s’annonce. Contraint de retourner dans les casernes depuis le retour à l’ordre constitutionnel, le président du CNRDRE devrait désormais continuer à libérer le Nord du Mali avec ses hommes. Mais avec son obstination pour la vie politique, un problème de cohérence se pose dans les actions de sortie de crise au Mali. Et le hic, c’est que le Capitaine Sanogo traîne encore le pas. Pour toutes ces raisons, la CEDEAO menace d’imposer de nouvelles sanctions aux putschistes accusés d’empêcher le retour d’un pouvoir civil à Bamako. maliweb.net – Pour la CEDEAO, les militaires qui ont ourdi le coup d’Etat du 22 mars continuent de se mêler d’affaires politiques, malgré leur promesse de se retirer. Ce qui provoque la colère des quinze pays de l’espace. Profitant de la confusion à Bamako, les rebelles touaregs et les islamistes ont pris le contrôle du Nord-Mali. En attendant, la Commission de la CEDEAO précise qu’elle suit de près la situation et ne tolérera pas que certains groupes ou individus prennent la transition malienne en otage.
Jean Pierre James
CONVENTION
Comprendre les vraies raisons
La désignation d’un président pour mener une transition au Mali reste le point focal de l’actualité nationale voire sous- régionale. Les ténors faiseurs d’actualité tel que la Cedeao ont jeté l’éponge devant un obstacle peu connu mais presque imaginable de chaque citoyen (CNRDRE), et cela aboutit sur une proposition du capitaine Sanogo pour une résolution « à la malienne » qui consiste à tenir un dialogue national par le biais de l’organisation d’une convention nationale. Convention regroupant les forces vives de la nation, c’est-à-dire, les représentants des partis politiques, associations et autres. La dite proposition me reste incomprises pour les raisons suivantes :
1. Que signifie « résolution à la malienne ? » De quel Mali s’agit-il ?
Le terme « résolution à la malienne » nous a été tenu des décennies durant et cela nous mis à l’écart de tout sursaut national, de réalisme face aux défis majeurs qui ce sont posés au peuple malien ; aux maux de ce peuple qui restent ceux de citoyens normaux munis d’une grande volonté de bâtir une nation forte et rayonnante comparable à celle de nos ancêtres.
Rappelons-nous de ce que fut l’axe central de la politique de gestion du nord de l’ancien président; le privilège du dialogue qui se fera « à la malienne ». Et cela nous mena à ce que tout le monde sait : la partition du pays.
Donc de grâce tachons de mettre cette méthode de résolution dans nos lois et textes qui régiront nos pratiques quotidiennes et cela pour éviter qu’une résolution à la malienne (qui en réalité à son contenu) ne soit pas de vains mots au service de ceux-la, qui souillent notre honneur, notre dignité.
A la question de quel Mali s’agit- il ? Je répondrais sûrement, le Mali du sud, tenant pas compte du Mali sous occupation étrangère, avec une population traversant un drame social hors du commun.
2. Les partis politiques et associations, qui sont supposés être des constituants essentielles du peuple malien, hélas ne sont pas représentatifs, pour la simple raison qu’ils sont discrédités aux yeux de la population pour leur gestion du pouvoir depuis Mars 1991. Ce désintéressement de la population amena le CNRDRE à croire à une adhésion du peuple à sa cause.
Donc, se baser sur de telles structures sera une manière de restreindre l’opinion du peuple malien sur le problème national rendu « majeur ».
3. L’idée de la tenue d’une convention dans ces conditions de temps et de représentation peut être considéré comme une démission du CNRDRE de la mission quelle s’est assignée de redressement et de restauration de la démocratie.
Mais si cela s’avérait nécessaire, voire indispensable; il faut faire un retour à la base, au niveau de nos structures administratives pour le choix de représentants.
Au regard de la situation actuelle du Mali; on a l’impression d’être dans deux pays : au sud le Mali, et au nord on ne sait quoi. Mais chose intéressante, toutes les deux parties sont tenues réellement par des hommes armées qui assujettissent la population (majoritaire), avec armes en main, aux pratiques de menaces courantes passant par des tirs de balles en l’air et arrestations arbitraires. Et cette majorité des deux parties se réclament malienne.
Au nord, sont au pouvoir des forces étrangères, et au sud les militaires de l’armée régulière. Chose intéressante, les deux pouvoirs se lancent des menaces mais ne se combattent point; à la limite pour se maintenir, acceptent des échanges dites civilisées, au prix d’une libre circulation de personnes et de biens, surtout d’aides humanitaires. Au Mali du sud, la vie va bon train pendant qu’au nord la population privée de toute liberté, soumise à des pillages, viol et vol par des individus se réclamant d’un islam radical qui ne dit pas son nom.
Je pense qu’une chose doit être claire pour tous; que le Mali n’appartient à personne et que nul n’est indispensable. Et qu’aujourd’hui les forces ayant usurpé le pouvoir, doivent savoir que la destinée du Mali passe obligatoirement par une mise sur pied, de moyens adéquats pour l’obtention de compromis pour le bonheur du peuple.
Le mali n’a pas besoin d’une convention nationale , sanogo qui demande cette convention , est promu president de cette convention par certains politicards , des mediocres .
Aux uns , aux autres , mettons l’interets du pays au de-la de tout et nous verrons que ce genre de rassemblement , n’est pas a l’heure pour le MALI actuelle dont les 2/3 sont detenus par les bandits qui certains sont des maliens . Hors ce genre de rassemblement , rassemblement car faudrait -il que ce muttin la sache d’abord qu’est ce qu’une convention nationale .
Certains de ces partisans sont tres fort en definissant le rassemblement ou la convention de sanogo .
Il ny a pas lieu de convention sans la demande de la classe politique , la classe politique qui etait present au 26 Mars 1991.
“face à l’incapacité du régime en place pour gérer le nord ,nous avons jugé nécessaire de faire tomber le régime ATT” cher frère demandé a notre brave patriote s’il se souvient encore de cette phrase? si non,souffler le aux oreilles.la parole est sacrée.que Dieu nous donne une meilleure pluviométrie.
Bamako : situation folklorique et frivole.
Si on a empêché ATT de faire les élections à cause de la crise sécuritaire, pourquoi Sanogo se permet de proposer une convention nationale sachant que les 2/3 de la nation sont occupées et que la constitution dit clairement que c’est le président de l’Assemblée nationale qui doit diriger la transition jusqu’à l’élection du nouveau président et que seul un président élu peut remplacer le président de la transition?
Franchement certains maliens sont vraiment des ignorants sur tous les plans.
Le Mali est le seul pays au monde où on peut venir faire un coup d’état et répartir en toute impunité et sans être inquiété. Quelle médiocrité!
Sanogo a mis le Mali à genou, sa propre patrie. Quelle médiocrité.
Il a piétiné notre démocratie, il a craché sur notre constitution, il a bafoué toutes nos institutions démocratiques et malgré cela certains maliens continuent à le soutenir. Qu’on ne s’étonne pas qu’il n’y ait plus de liberté d’opinion au Mali.
Dommage qu’il existe tant d’ignorance au Mali.
Franchement certains maliens exagèrent!
Tout le monde est dégoûté de notre comportement.
En fait il n’y a pas d’unité au Mali.
Pauvre Mali.
un commentaire que je vous popose
Depuis le 22 Mars on assiste sur ce réseau et sur la scène internationale par le biais d’une certaine presse partisane à un tissu de mensonges et de malhonnêteté de la part de personnes qui se sont érigées en défenseur du nord et qui sont contre toute initiative venant des maliens eux mêmes.
Ce groupuscule ne ménage aucun effort pour nous faire croire qu’eux sont démocrates, non opportunistes et soucieux de la libération du nord.
Quelles sont leurs motivations profondes et que cache ses agissements?
Avant le coup de force du 22 Mars ce sont les mêmes personnes qui réclamaient des élections en dépit du fait que l’administration était absente au Nord, avec des centaines de milliers de réfugies et des soldats massacrés à cause l’irresponsabilité de l’Etat et de ces sbires (assemblée nationale, groupuscule, etc..).
Aujourd’hui l’argument qu’ils avancent c’est que cette convention n’est pas représentatif du Mali en feignant d’ignorer la situation exceptionnelle comme ils avaient ignoré la crise avant le 22 Mars.
Lorsque la CEDEAO prend de façon unilatérale des décisions pour le Mali vous applaudissez, lorsqu’on demande aux maliens de se réunir pour recherchez des solutions vous condamner.
Vous méprisez les militaires (vous les avez traité de drogué, de refus de combattre et j’en passe), tout en sachant bien et bel les conditions dans lesquelles cett armée a été défaite, feindre de l’ignorer une fois de plus est de la malhonnêteté. C’est cette même armée que certains de vos élus veulent mettre en conflit avec la CEDEAO en les invitant à venir au nord alors que nul part la CEDEAO n’a manifesté sa volonté de combattre au nord. Et puis pensez vous que les soldats de la CEDEAO vont offrir leurs poitrines aux balles, libérez le nord et l’offrir sur un plateau d’or au Mali et à ses élus du nord qui sirotent tranquillement leur thé?
Vous savez aussi que nul part dans le monde, des putschistes ne vont risquer leur vie et offrir sur un plateau d’argent le pouvoir à ceux qui ont contribué à leur défaite au nord, feindre de l’ignorer est cynique.
Conclusion
Les révolutions arabes nous montrent qu’un système après vingt ans ne peut ni se remettre en cause ni s’effacer pour un ordre nouveau.
C’est pourquoi au Mali l’ancien ordre disposant de tous les soutiens extérieurs (CEDEAO, RFI,…) est en train de tout mettre en oeuvre pour sa survie au nom d’une pseudo-démocratie.
De mépris en mépris, de cynisme en cynisme ils ne se rendent même pas compte qu’ils sont en train de se faire Hara kiri.
L’histoire nous édifiera.
tt ce ki vx pas la convention sont des ennemi du mali la solution ct o malienne de la trouve et nn la cedao ado ou blais son des chef rebelle donc le capitaine est la bienvenu comme le président de l interime a bah la cedao a bah dioncouda a bah les apatridie a bah impérialisme a bah assoiffe a bah les bandit arme vive le mali la patrie ou la more ns vaincrons
LAISSEZ DJONCOUNDA LA TRANSITION POUR SAUVEZ LA CRISE IL NA PAS DE POUVOIR JUSTE POUR LA TRANSITION C LE PREMIER MINISTRE QUI A LE PLEIN POUVOIR OU ES LE PROBLEME QUEL PAYS COMPLIQUE COMME LE MALI
Nous disons pauvre Afrique escroquée violentée humiliée malade clochardisée martyrisée tyrannisée trompée faussement démocratique par ces lettrés usurpateurs du titre « d’intellectuelles »
Nous disons aux lettrés maliens politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux de penser Mali pour 1fois dans leur vie en laissant de côté leur conception primaire primitive égoïste laxiste clanique de la chose publique
Nous disons ainsi le problème de la présidence par intérim trouvera 1solution Nous disons qu’il suffit de tenir une réunion (avant le 22 date d’expiration de la présidence par intérim) au cours de laquelle seront présents les représentants toutes les tendances confondues de l’armée des partis politiques des sociétés civiles des religieux des femmes et des jeunes Ils choisiront d’un commun accord sinon à la majorité celui qui sera le président par intérim et la durée de son mandat par contre le gouvernement et le 1er ministre aux pleins pouvoirs resteront en place car ils ne sont point concernés par les closes de la constitution
Nous disons si au cours cette réunion il est décidé de maintenir Dioncounda il sera maintenu Mais si la réunion porte son choix sur une autre personne il doit céder la place à cette dernière
Nous disons après quoi ils informeront la CEDEAO et le médiateur des décisions prises Nous disons que pour 1fois ils doivent assumer et ne pas laisser les autres décider à leur place s’ils veulent être respectés
Nous disons toute modification toute décision au sujet de la constitution doit être au préalable soumis au peuple et c’est cela aussi les exigences de la démocratie
Nous disons également que les lettrés des partis politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux de la mouvance présidentielle actuellement appelé « front du refus » pour 1vraie démocratie au Mali peuvent refuser de participer à cette réunion nous disons que c’est leur droit et personne ne les forcera à y participer car nous sommes à l’aube de la vraie démocratie et non dans 1démocratie des tropiques où l’on passe le temps à supplier ou à faire les yeux doux (dont ils sont habitués) pour atteindre ses objectifs
Nous disons si ces lettrés de l’exécutif de ATT du législatif de Diocounda des partis politiques sociétés civiles Hommes en armes et religieux de la mouvance présidentielle aimaient le Mali ils devaient avoir honte de leur gestion chaotique égoïste primaire primitive laxiste incompétente et se faire « petits » et humblement présenter leurs excuses au peuple malien
Nous disons que si la CEDEAO veut réellement aider le Mali elle doit rapidement équiper son armée en matériels adéquats car la mobilisation des hommes en armes à 1coût et qui payera cette facture Nous disons et l’avions toujours dits que les soldats maliens sont prêts à aller en découdre avec les ennemis pourvus qu’ils soient équipés en matériels adéquats
Nous disons que la durée du mandat du président par intérim et du gouvernement du 1er ministre soit de 10mois car le Mali doit sortir rapidement de cette situation d’exception
Nous disons qu’ils auront 4mois pour libérer et unifier le pays car il ne faut pas donner le temps aux ennemis de prendre racines
Nous demandons au 1er ministre aux pleins pouvoirs et au président par intérim ainsi choisi de ne point dialoguer avec les ennemis (le temps de dialogue est toujours long en l’heure actuelle il ne faut pas donner le temps au temps) Nous disons que le temps est de l’or et la priorité est de libérer le plus rapidement le nord du Mali
Nous disons qu’il n’est point question au gouvernement de dialoguer avec 1groupe de bandits de touaregs (au service de leurs maîtres tapis dans l’ombre) dont l’option indépendantiste n’est point celui de la grande majorité des touaregs du Mali par ailleurs les touaregs ne sont ni majoritaire ni les seules ethnies dans ce Nord et ne sont pas non plus historiquement les vrais autochtones de la zone en question et le gouvernement ne doit pas non plus dialoguer avec les faux islamistes suppôts de Satan qui ne sont en fait que des bandits d’algériens en rupture de banc dont la présence au nord du Mali semble faire l’affaire de l’exécutif algérien qui n’aimerait pas les revoir sur son sol
Nous disons qu’ils auront 6mois pour confectionner 1liste électorale fiable crédible acceptée par tous les partis et organiser des élections libres transparentes ouvertes et démocratique Nous pensons que 6mois doivent suffire car il existe déjà 1liste électorale qui demande être corrigé et à mettre à jour
Nous disons qu’il s’agira d’1 gouvernement commando non 1gouvernement normal à qui 1mission spécifique aura été confiée à savoir 1)la reconquête du territoire perdu 2)la confection d’1 fichier électorale crédible accepté par tous les partis politiques 3)la réalisation d’élections libres transparentes ouvertes à tous et démocratiques le tout pour 1durée de 10mois Nous disons en conséquence qu’ils doivent avoir tous 1mental de fer et être sans état d’âme donc pas de place pour le sentiment ou l’humanitaire
Nous disons qu’au lieu de mobiliser de l’argent pour l’achat de nourritures et de médicaments (qui n’arriveront pas aux populations mais que les bandits sans foi ni loi de rebelles touaregs et les faux islamistes Suppôts de Satan vont s’en approprier) mieux vaut utiliser ces fonds à l’achat de matériels pour l’armée
Nous disons qu’ils doivent se concentrer uniquement et uniquement sur la mission que la nation leur a confié car ils seront jugés au résultat et le temps est à la fois leur allié et leur ennemi (si le résultat positif est obtenu en 1temps record ils seront les héros de toute 1nation si le résultat positif traine ou met du temps à se concrétiser ils seront les bannis de toute 1nation) Nous disons que les « ennemis tapis à l’ombre »du Mali qui sont à l’intérieur ou à l’extérieur du Mali joueront de subtilités pour les empêcher de réussir leur mission
Nous disons partout dans le monde quand des personnes ou de groupes de personnes dialoguent avec l’ennemi l’occupant on les appelle des collabos des traites » tel fut le cas du Maréchal Pétain et son gouvernement lorsqu’ils ont accepté de dialoguer avec l’ennemi nazi et furent condamnés à la peine capitale transformée en peine à vie bien que le Maréchal Pétain fut le grand héro de la victoire de France contre l’Allemagne lors de la 1ère guerre mondiale Nous disons alors au président par intérim et au 1er ministre aux pleins pouvoirs de ne pas commettre la même erreur que le maréchal Pétain
Nous disons partout quand 1pays est envahi ou 1partie d’1pays est envahi il est du devoir des gouvernants et des gouvernés de mettre hors d’état de nuire et sans état d’âme les envahisseurs même fussent ils des parents ou compatriotes en service pour des puissances ou états autres que les leur
Nous demandons aux mouvements patriotiques du Gandakhoye et du Gandasho aux hommes et femmes valides des zones occupées de faire de la résistance en portant des coups ciblés sur les personnes et dispositifs militaires des occupants et les affaiblir le maximum possible comme cela s’est passé et se passe partout dans le monde quand 1zone est sous occupation ennemi ( le temps que l’armée soit rééquipée et vient bouter hors du Mali les bras armés « des ennemis tapis dans l’ombre » du Mali)
Nous disons au président par intérim et au 1er ministre aux pleins pouvoirs de doter le plus rapidement possible l’armée de matériels adéquats aux fins qu’elle remplit son devoir régalien à savoir bouter hors du Mali les bras armés des « ennemis tapis à l’ombre » du Mali
Nous disons aux soldats maliens de se ressaisir et de faire l’unité l’union au sein de l’armée et d’éviter de tomber dans la division que souhaite les ennemis Nous disons qu’1armée unie et solidaire est 1armée invincible Nous disons que l’armée doit tout faire pour rapidement réunifier le pays
Nous disons que les faux islamistes suppôts de Satan et les bandits sans foi ni loi de rebelles touaregs ne sont point des « foudres »Ils ont pris le dessus sur l’armée que grâce à la complicité d’officiers rebelles chefs des opérations et soldats rebelles « cheval de Troie » au sein de l’armée régulière et de son sous équipement
Nous disons bien évidemment qu’il faudra envoyer dans le nord du pays que des soldats et officiers dignes de confiance Nous disons ainsi avec l’aide de Dieu la victoire sera facile et totale car il n’y aura aucune fuite sur les stratégies adoptées. Ainsi l’armée du Mali retrouvera sa fierté son lustre d’antan Nous disons que le Mali n’a point besoin d1armée étrangère 1fois que les traites en son sein seront mis hors d’état de nuire
Koumba Sacko
garde tes idées pour toi puisqu’elles n’arrangent rien. Vous remplissez des pages pour ne rien dire. Vous voulez qu’on gaspille notre temps et argents pour une conférence qui ne fera que légitimer ceux qui sont entrain de mettre à genou notre pays!
bien parle ma belle bonne annalise
Article 121 de la constitution du 25 Février 1992 :
“Le fondement de tout pouvoir en République du Mali réside dans la constitution”
Cette constitution a été acquise au prix du sang des martyrs de 1991, et est trop précieuse pour se voir piétinée.
En l’absence de psdt de la république élu, la personne la plus légitime pour parler au nom du peuple est le psdt de l’ass Nat. Ceux sont les urnes qui lui confèrent cette légitimité.
Si entre temps, on estime qu’il ne mérite plus notre confiance, on le lui signifiera au prochain suffrage. Il est seul légitime jusqu’à l’élection d’un nouveau psdt de la république (le delais de 40j etant trop court dans la crise que traverse notre pays)
Toute autre disposition est anarchique, et contribue a affaiblir, voir détruire nos institutions.
Aucun pouvoir ne peut etre institue sur la base d’une convention nationale. Il doit puiser sa force dans la constitution.
Écoutez maliens et maliennes!
– Sanogo est une chance pour le Mali en vue d’un réel changement souhaité par la majorité du peuple Malien.
– Ce qui parle de démocratie j’en ai honte à entendre des gros voleurs crié démocratie menacée au Mali. Avec ATT est-ce qu’il y avait la démocratie, le pays était géré par la première dame et la fille chérie du président, et tous les tocards de politiciens se prostituaient pour attirer l’attention de att en vers soi parce qu’ils ont tous cru que c’est att qui allait leur donné le pouvoir alors que seul le Grand Dieu donne le pouvoir. Dieu a sauvé le Mali, parce que le futur président était déjà choisi par att, mais comme je vous l’ai dit en haut que seul Dieu donne le pouvoir, att avait choisi Modibo Sidibé pour cacher son bilan et celui de Alpha.
Est- ce la démocratie, le futur président est connu avant même les élections?
– En 2002, Alpha a attribué la victoire de IBK à att, c’est ce la démocratie?
– Imagez que l’on partait aux élections et que Modibo remportait les élections, qu’est ce qui allait être l’attitude de Soumaila cissé ou de l’adema?
– Donnons la chance à notre pays d’être purifié pour entamer une vraie démocratie
– Je comprend pas l’hypocrisie des usa qui connaissent tous sur le Mali, ils savaient que ce n’allait pas dans notre pays, le pays était géré est ouvert par att aux narcotrafiquants
– Pour la France de Sarkozu c’est une honte, mais c’est regrettable le blanc ne connait pas le vocabulaire honte sinon RFI devrait cesser d’émettre
A Maiga > Faisons avancer les débats c’est mieux que de faire des insultes. Merci d’avance !!!
A tous > Faisons avancer les débats c’est mieux que de faire des insultes. Merci d’avance !!!
Il faut montrer au monde entier que tu as reçu une bonne éducation ne gatte le nom de tes parents chaque commentaire des insultes c’est aberrant réfléchis et donnons un sens au débat !!!
*** ??????? sais tu combien de milliards le Mali a perdu depuis le coup d`état ???// tout les ONG et projet non gouvernementaux on tout fermée leur portes
Et sais tu combien de personne on perdu les boulots depuis le coup d`état Capitaidu ++++ ????
ARRÊTER D’INSULTER LES GENS SVP, CHACUN A LE DROIT DE DIRE SON POINT DE VU, UNE CHOSE EST SÛRE SI QUELQU’UN SEMBLE CORROMPU PARMI VOUS DEUX, C4EST BIEN TOI MAIGA, LE NORD ÉTAIT PRIS DEPUIS LA SIGNATURE DE L’ACCORD D’ALGER EN 2006.
L’HEURE N’EST PLUS A L’ACCUSATION, PENSONS A L’AVENIR DU MALI, CELA EN TOUT CAS EST UNE LEÇON POUR LA CLASSE POLITIQUE, SI ELLE AVAIT JOUE PLEINEMENT SON RÔLE, LE MALI N4ALLAIT PAS CONNAITRE DES TELLES SITUATIONS.
et combien de milliard que att a bouffe oci donc ct sanogo ki mie le mali o genous
soit sage mon type pour celui qui se respecte il ne parle pas ainsi à son prochain. Nous avons le droit de nous critiquer et non de s’insulter.
La solution à cette crise ne serait que Malienne. Soyons patient et optimiste. Ne pensez pas que la CEDAO va envoyer des militaire au nord pour se faire tuer et une guerre se prépare donnons le temps au temps et on vera. A bas les politique qui ne pnese qu’à leur propre interet. Vive le Mali
Le manque de considération pour les institutions est véritablement un réellement un problème pour le MALI aujourd’hui. Un premier ministre soit-disant savant de la nasa (à vérifier) et un professeur de mathématique Président de la République allant discuter avec un bidasse de merde sans parcours ni militaire, ni intellectuel et encore moins politique ou social. Franchement Diarra et Traoré, si vous n’avez pas de respect pour votre nom, Respectez au moins les institutions étatiques que vous représentez aujourd’hui. Réfléchissez un peu et trouvez un seul pays digne où une chose pareille pourrait se produire.
on na die que on va mettre no ego de cote pour que le mali avance ct
Faut-il féliciter le CNRDRE ET LA COPAM?
Nous soutenons le CNRDRE et la COPAM pour leurs mains propres et voici quelques raisons:
1. Le Président capitaine Hamadou Aaya SANOGHO : Après un concours d’entré réussi à la « PRITANE » militaire de Kati, il poursuit son cycle jusqu’au BAC où malheureusement il échoua à prés plusieurs tentatives et se voie ainsi la porte de « «l’EMIA » verrouillée au nez. Orgueilleux, il décida de réintégré l’armée comme « madame, monsieur, tout le monde », cette fois ci et avec le soutien du Général KAFOUGOUNA l’objectif est atteint. Sous l’œil vigilant de ce dernier, Il gravie ainsi des échelons petit à petit (un sac à dos, comme on l’appelle) jusqu’à se faire une place dans l’armée malgré ses ennuis avec l’alcool. Le paroxysme sera atteint le jour où on l’autorise d’aller suivre les études aux USA , il inséra le nom de certain comme membre de sa famille et les venda des visa à 2 millions de francs………
2. Son premier ministre Dr Oumarou Marico : Etudiant félon selon Me TAPO, il n’a jamais pu terminer son cycle à l’Ecole de Médecine. Etudiant ennuyant et brouillant, il fut renvoyé à l’exil de façon intelligente par le Prof Haliou Nouhoumou Diallo (en l’octroyant un diplôme et bourse d’étude) à l’extérieur. Comme à l’extérieur ses ennuis étaient sans effet (sur sa terre d’accueil), il retourna au Mali sans autre diplôme mais conserve qu’à même son titre de médecin généraliste …….
3. Son Ministre de la communication younnouss Amèye Dicko : Ancien ministre sous Alfa Oumarou KONARE, il acheta les anciennes groupes électrogènes à la place des neufs pour le compte de l’ECICA et de l’ENI qui n’ont jamais pu démarrer. (demander aux ancien élèves et étudiants de 96-98). Comme ne suffisait pas, il acheta à nouveau des vieux Bus qui devront transporter les étudiants (pour rappel, ses BUS de couleur jaunes étaient garés dans la cour de l’IUG de Bamako) qui demeurent clouer au sol…….
4. Son Ministre des Finances Blaize SANGARE : Ancien délinquant financier, après avoir mis en genou la caisse des retraité, il retrouve sa liberté provisoire qu’après le paiement d’une caution. …..
5. Amion Guido du CODEM est la main magique de ses frères qui ne veulent pas se faire voir.
6. (la suite viendra).
merci beaucoup, on se connait dans ce pays. et vite la suite.
😆 😆 😆 😆 😆 😆 😆
Et précises nous un peu le point 5 qui est un peu flou pour moi.
Vraiment bravo a toi ,on attend le reste.
Que le bon Dieu sauve le Mali .
walaye j sais pa prkoi ils sont parti voir se vaurien et ses bandes de cloun; commnt il peut penser a organiser une convention nationnal et k les 2/3 du pays est occupé par des rebelles. kils nous foutre la paix et laisser notre transition
Comment un président de la république un premier ministre et un médiateur se déplace pour aller à Kati à la rencontre de ses bandits. C’est grave pour le Mali. Nos soi-disant démocrates on oublier la notion de démocratie et ne font que des querelles de personne et de positionnement rien pour le Mali le grand Mali, tu n’a plus de fille et de fils qui se soucié de toi.
Quelle convention, on va choisir notre président à l’issue d’une convention ? En plus le pays est partage ? Comment réfléchisse ses Hommes politique ?
Vous savez dans la recheche de solution, on accepte tout, même que les plus hautes autorités se déplacent pour aller voir un vaurien qui ne sait plus quoi faire. En fait, le problème, c’est qu’il ne peut plus sortir de Kati. Surtout, avec tous militaires qu’il a humiliés dans la nature. Le pauvre garçon a même peur de son ombre au point que Kati est devenu sa prison à ciel ouvert. Donc, comprenez.
arreter d’etre despetits gens. Dans la vie tu ne réussira jamias car la haine et l’égoisme bouffe ton coeur et refléchi en homme peteit et tu restera petit tte la vie si tu ne change pas. Un grand tjrs visité à un petit ce n’est pas bassesse. L’exemple est celui du prophète Mouhamed si tu est musulman
La crise politique actuelle n’est pas un produit de l’imagination ; c’est une réalité elle se manifeste au travers d’un certain nombre de points réels (1). Elle révèle l’existence de deux directions ou centres politiques : l’un légitime et l’autre légal (2).
Pour en sortir, il est impératif non seulement de s’y intéresser en attirant l’attention de toutes les parties, mais encore d’en proposer quelques pistes des solutions efficaces
Sachant, qu’il n’existe pas des solutions militaires aux problèmes qui sont à l’origine de la crise malienne , toutes fois nous soulignons le caractère fragile de la paix au mali ,réfléchissons ensemble et trouver le plus rapidement possible .
CONVENTION SUR LE NORD?
Le Capi aura a FAIRE UN SECOND COUP D’ETAT dans quelques jours…
C’EST FACILE DE FUIR SON DEVOIR DIFFICILE AUQUEL ON A PRETTE SERMENT POUR SE CREER DE NOUVELLES RESPONSABILITES FACILES SOUS LE CLIM A BAMAKO….
ce n’est certainement pas ce que le contribuable malien attendait en retour quand son argent etait investi pour te loger, te nourrir, t’eduquer, te former, ….
Tu dis par rapport au NORD “il vaut mieux ne pas danser que de mal danser…” FANFARON, ON PLUTOT L’IMPRESSION QUE TU AS LAISSER TOMBER LA DANSE POUR LE POUVOIR, L’ARGENT, LE BEURRE, LE CLIMATISEUR A BAMAKO
BANDE DE FROUSSARDS!
HONTE A VOUS ET A CEUX QUI VOUS SUIVENT POUR AVOIR ABANDONNER DES CIVILS A LEUR SORT AU NORD ET ABANDONNER LES 2/3 DU PAYS…ces civils essaient de danser le mieux qu’il peuvent pendant que vous vous fanfaronner a Bamako en parlant de convention et yari yara….ON PARLE DE VIE OU DE MORT POUR NOS FRERES ET SOEURS…
AU FRONT OU AU DIABLE!
Moussa Ag, qui trouvera toujours le moyen de s’exprimer meme avec la censure deliberee ou unintentionelle de maliweb
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