La justice donne l’impression de vouloir prendre les taureaux par les cornes dans les différentes affaires suites au coup d’Etat du 22 mars. Après l’ouverture d’une information judiciaire contre de hauts gradés de l’armée et de la police la semaine dernière, le procureur du tribunal de première instance de la Commune III a annoncé mardi dernier avoir requis l’ouverture d’une enquête pour tentative d’assassinat sur la personne du président malien de transition Dioncounda Traoré.
Après l’inculpation pour “troubles graves à l’ordre public” et écrouées à la maison d’arrêt de Bamako depuis le 28 mai dernier de trois leaders de l’association pro-junte Yèrè wolo ton, jusqu’où ira donc le procureur Sombé Théra pour arrêter leurs complices repérés aussi bien dans la classe politique qu’au sein de l’armée et de la police ?
Plus de deux semaines après l’agression du président de la transition Dioncounda Traoré, le parquet de la Commune III a décidé mardi dernier de requérir l’ouverture d’une instruction judiciaire. « Au vu des différentes auditions menées jusque-là, nous avons été confortés dans notre impression que Dioncounda Traoré a bien été victime d’une tentative d’assassinat et a subi des coups et blessures volontaires », explique le procureur saisi de l’affaire sur le site de Toujours selon Sombé Théra, les auteurs des faits mais aussi leurs complices sont désormais passibles de la Cour d’assises. D’après lui, le défi du juge d’instruction sera maintenant de retrouver les agresseurs, les éventuels commanditaires et de situer les responsabilités individuelles.
D’après le procureur, les faits ont été “requalifiés”. “Au lieu de +coups et blessures sur la personne du président de la République+”, les prévenus sont maintenant poursuivis pour “troubles graves à l’ordre”, a dit M. Théra, expliquant que cela permettait d’élargir le champ d’investigation.
A ce jour, une soixantaine de personnes ont été entendues mais seulement trois individus dont Boubacar Boré, le président de l’association pro-junte Yèrè wolo ton, ont été placés sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt de Bamako. Ils sont pour l’heure uniquement accusés de troubles graves à l’ordre public. Leurs avocats demandent leur remise en liberté. Le tribunal correctionnel doit se prononcer la semaine prochaine sur leur requête. Mais, on redoute quand même une justice à deux vitesses car les complices des personnes dont certains sont des acteurs politiques et des proches de la junte ont été tout simplement entendus. Donc, jusqu’où ira donc le procureur Sombé Théra pour arrêter leurs complices repérés aussi bien dans la classe politique qu’au sein de l’armée et de la police ? D’ores et déjà, il devra faire avec la pression de la junte qui fait désormais face aux accusations de trahison de ses anciens alliés politiques et de la troupe.
Abdoulaye DIAKITE
Hé ! les Maliens tout le monde connait les commendataires de cette tentative d’assassinat. Mon dieu ! pourquoi le malien aime tourner autour du pot.Monsieur le Ministre de la justice COULIBALY, Monsieur le juge SOMBE THERA, le MALI, l’AFRIQUE et le RESTE DU MONDE vous regarde, ne tergiversez pas, arrêtez nous HAMADOUN AMION GUINDO, YOUNOUS HAMEY DICKO,ROKIA SANOGO, MAITRE GACKOU et envoyer un MANDAT D’ARRET pour cueillir OUMAR MARIKO qui a fuit au Maroc.je vous en pris faites vite avant qu’ils ne prennent tous la fuite comme MARIKO.”Quand le bras a faillit on en puni la tête” les autres ne sont que des bras, la tête c’est OUMAR MARIKO,HAMADOUN AMION GUINDO,YOUNOUS HAMEY DICKO,PR ROKIA SANOGO, MAITRE GAKOU.
Tout intellectuel malien bien renseigné sait q tapo n’a fait q’accuser le parti adverse pour s’en sortir, il n’a rien dit de coherant, sinon q d faire des insultes, j suis decue de son attitude, un grand homme,un homme de droit, doit avoir la serenité et garder son sang froid comme mr guindo l’a fait en debatant bien, tu es un homme de droit donc attends q les enquetes s terminent pour accuser les gens. de source sure, il a appelé Mr guindo à une semaine de l’attaque des berets rouges pour lui dire q’ils ont des milices, des armes et q’ils sont à une guerre civile s’il le faut, malheureusement en disant cela au tel, il y avais un policier dans le bureau de mr guindo qui na tt entendu et c dernier a fait un rapport et a transmis à la justice raison pour laquelle on a interpellé mr tapo à la gendarmerie , son dossier est en cours, raison pour laquelle il fait payer les journalistes en decrediblisant mr guindo et en l’attaquant pour q son dossier n soit plus un obstable ,et il cherche en mm temps l’assemblé nationale pour l’immunité.
Sombé Théra n’ira nulle part… Tout ça c’est pour noyer le poisson dans l’eau… seul le menu fretin sera puni.
Tant que Sombé n’inculpe pas Sanogo… justice n’est pas rendue…
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