Dans notre société, il y’a un adage qui dit que le cachotier et l’ambitieux, ne se séparent jamais, parce que leur union est basée sur les coups bas. Tel semble être la raison des nombreuses visites d’IBK à Paris, à chaque fois que « la calebasse frotte la louche » dans notre Maliba. Il a suffi que l’imprudent Paul FOLMSBEE, l’actuel Ambassadeur des USA sorte de sa réserve pour ordonner au Gouvernement de « mettre fin à tout lien avec le GATIA, une milice armée qui ne contribue pas à ramener la paix dans le Nord du Mali ». Le Mali qui autrefois, était cité parmi les meilleurs élèves de la démocratie en Afrique.
Depuis 2012, le Mali peine à être un Etat souverain. L’insécurité généralisée fait que la souveraineté du pays souffre des actes de certains de ses partenaires sur la scène internationale ; notamment la France et la communauté internationale. Depuis le dimanche 20 Octobre 2016 le Président IBK a couru pour aller se confier encore à François HOLLANDE, à la suite de la mise en garde proférée par l’actuel Ambassadeur des USA au Mali. Dans la capitale Française IBK a eu un entretien dont le but était de cracher la vérité au Président Français .En effet, IBK a mis le peuple Malien de côté dans la résolution de cette crise pour faire confiance les yeux fermés à son ami HOLLANDE, pensant que ce dernier, à la faveur de la longue amitié tissée au sein de l’international socialiste allait le sauver et en même temps sauver le Mali. Bien qu’IBK ait accepté que la France à l’insu du peuple malien exploite les ressources du Nord pour rembourser les coûts de l’opération serval et accepter qu’elle enfouisse les déchets nucléaires dans la zone de Tessalit, la France souhaite contre son avis maintenir et à son corps défendant le Mali dans cette situation .Pour IBK il est temps de taper du poing sur la table au risque d’une rupture voir d’une dislocation de l’amitié.
Le langage de la vérité à François Hollande était attendue par les maliens depuis belle lurette.
Enfin IBK se réveille pour sauver le Mali. La scène qu’a devienne qui pourra les nouveaux engagements de la France montrent qu’IBK a craché ses quatre vérités à HOLLANDE. Le résultat ne s’est pas fait attendre, HOLLANDE accepte désormais d’accompagner le redéploiement de l’Etat (administration et armée) sur l’ensemble du territoire .L’autre engagement de HOLLANDE est sa volonté de faire participer les forces Françaises aux patrouilles mixtes dans les régions du Nord. Nous nous posons la question de savoir si HOLLANDE va-t-il enfin lier les actes à la parole ? En tout cas, il est grand temps !
La Rédaction
Au Mali, on ne finit jamais de créer des problèmes, les inventer tout simplement. On peut ne pas aimer IBK, mais aller jusqu’à dire qu’il a livré le nord du Mali aux français pour y loger des déchets toxiques relève d’une désinformation pure et d’une méchanceté sans égal.
C’est faux et archi faux. L’auteur de ces écrits mérite d’être poursuivit pas la justice, car aucune des lignes qu’il a écrite dans ce article n’est proche de la vérité. La France fait partie des premiers pays au monde à lutter contre le transfert des déchets nucléaires et toxiques vers les pays Africains. Depuis quelques semaines, des entreprises européennes sont dans le collimateur de la justice pour avoir tenté d’envoyer des déchets vers l’Afrique. Le Mali, en sa qualité d’ami de la France, fait parti des pays sur lesquels Paris veille le plus, compte tenu, non seulement de la présence de ses troupes dans la zone, mais aussi, l’importance que revêt le sahel pour les pays européens. Cette partie du monde est la dernière où la France acceptera que se développent de telles activités. Aussi, la lecture de l’Ambassadeur des U.S.A de la crise malienne n’est pas la même que Paris. En plus, l’Ambassadeur parle pour lui même. Ces propos ne reflètent pas la position du gouvernement Américain sur la situation au Mali. A ne pas confondre. L’Ambassadeur a fait un constat qui n’engage que lui, pas son pays. La gouvernance I.B.K est très décriée par les Américains, qui ne comprennent pas l’obstination du Président de refuser d’ouvrir les concertations nationales. Si les Américains n’ont pas encore parlé, ça ne saura tarder. Les U.S.A sont très déçus du Président Malien à cause de la mal gouvernance. I.B.K ne peut pas venir taper du poing sur la table devant Hollande. Il n’en a ni le courage, ni le droit. Pour qui se prend I.B.K pour prendre un tel risque? Depuis quelques jours, Paris a compris, que si les Français ne participent pas aux patrouilles, il se posera d’énormes problèmes dans le démarrage du projet. La France s’est donc proposé d’y prendre part, à cause de la faiblesse des famas, mais aussi, pour prévenir d’éventuelles frictions entre certains groupes armés sur le terrain. I.B.K a tout intérêt à revoir sa gouvernance, et à lutter contre la corruption. Il se pourrait que Hollande ne soit plus là, et le prochain Président ne sera pas son ami, et ne prendra pas de gants. Le Président doit faire très attention. Si les nouvelles autorités Françaises s’installent, ils ne feront aucun cadeau à I.B.K, et ne le ménageront pas. Toutes ses dérives seront sanctionnées sans aucune modération. Paris le léchera probablement, si les nouveaux venus découvrent qu’il a bénéficié des faveurs indues. Et là, ce serait la descente aux enfers pour le frère de Tomi. De grâce, que la rédaction du carrefour veille sur la qualité des articles qu’elle publie. C’est pas sérieux de laisser un plumiste inculte rédiger et publier des ragots comme l’article présentement en ligne.
La subite décision de la France d imposer sa participation dans les patrouilles mixtes n est il pas le seul moyen d amener le gatia à lever son blocus de la zone contrôlée par le mnla?
Depuis combien de temps cette nécessité d appliquer les accords d alger s imposait?Aucun des parrains n à lève le petit doigt pour dénoncer l attitude du mnla,hcua et autres groupes rebelles.
Certainement. La patrouille intime ra au gatia de lever le blocus des zones mnla et pourra recourir à la manière forte pour faire plier le gatia.
Voilà l intérêt réel pour les patrouilles.
Mr Le rédacteur, on est pas encore au 20 octobre. En plus vous racontez des bêtises.
Vous vous rendez compte de la gravité de vos écrits. Le président a accepter que des déchets nucléaires soient enfouis dans la zone de Tessalit, en territoire Malien.
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