En 1960, le Mali accédait à la souveraineté internationale. Plus d’un demi-siècle après, cette souveraineté et l’intégrité du territoire sont plus que jamais menacés. Aujourd’hui, plutôt que d’indépendance, on voit la dépendance : plus de la moitié du territoire malien échappe à l’Etat, les forces étrangères occupent le territoire, la dépendance économique est plus que jamais réelle…. Les pères de l’indépendance doivent se retourner dans leurs tombes.
22 Septembre 1960, le début de l’histoire d’un Mali libre. Le premier président et son équipe, partis de rien, réussissent à jeter les bases d’une vraie indépendance économique. Plusieurs réalisations témoignent du travail effectué en six (6) ans. On notera la création de plusieurs structures qui répondaient aux besoins essentiels de la population : 10 hôpitaux, 300 dispensaires, 45 centres médicaux, 60 maternités, une pharmacie populaire avec des succursales dans toutes les grandes villes et chefs de lieux de cercles et des dépôts dans les arrondissements et les villages. 5 écoles de formation de personnel de la santé, 4 écoles d’enseignement supérieur (ENA, ENSUP, ENI, INA) furent créées. Le 16 décembre 1966 l’inauguration du barrage de Sotuba sur le Niger fera figure de réalisation de prestige.
Pour mieux affirmer la souveraineté nationale, le franc malien fut créé le premier juillet 1962. L’équipe de Modibo Keita entendait rendre aux Maliens la maîtrise de leur destin.
Il importe de souligner que le Président Modibo Keïta ne signait que des accords qui préservaient la souveraineté et les intérêts du Mali. L’œuvre d’édification nationale de Modibo Keita et son action pour la paix, furent récompensées par le Prix Lénine international en 1963.
Sous les présidences successives d’Alpha Oumar Konaré (1992-2002) et d’Amadou Toumani Touré (2002-2012), le Mali s’impose comme une démocratie modèle et sert d’exemple aux autres pays du continent. Mais la démocratie malienne est mise à mal dès le début des années 2010 par des rébellions dans le nord-est du pays où la population touarègue revendique l’autodétermination. La lutte armée des rebelles touaregs se radicalise, à la faveur du déversement dans le pays des armes provenant de la guerre libyenne de 2011. La rébellion bénéficie aussi du soutien des islamistes qui ont infiltré le nord du pays à la faveur du chaos qui y régnait depuis l’affaiblissement du pouvoir central malien.
Le pays vogue aujourd’hui dans une situation sécuritaire généralisée très précaire, une crise économique et financière sans précédent engendrée par une mal gouvernance endémique, un front social qui couve, et une forte demande sociale sans la moindre piste d’offre. Toutes choses qui placent le Mali sous tutelle internationale de la Minusma, du Fmi, de la Banque mondiale…sans espoir d’envisager l’« indépendance » à moyen terme. Un tour d’horizon de la situation d’ensemble du pays donne tout simplement le tournis, car le Mali semble avoir tout perdu ou presque : son intégrité territoriale (sérieusement menacée par un risque élevé de partition avec le cas de Kidal sous protection française), son indépendance économique et financière (compromise par plusieurs signaux sociaux et la dépendance à Bretton Woods); son indépendance politique (mise par l’absence par l’absence d’un Etat fort).
Ce saut dans l’abime est de la responsabilité de Amadou Haya Sanogo, l’ex-putschiste de Kati, qui a accéléré la décadence de l’armée ; mais aussi et surtout de l’actuel de la République, Ibrahim Boubacar Keïta.
Le Mali sous tutelle…
Depuis 2012, la souveraineté et l’intégrité territoriale sont mises à mal. Profitant des bouleversements politiques successifs à Bamako, les événements s’accélèrent dans le nord du pays et dans le Sahel, au centre du pays. De mars à septembre 2012, les villes de Kidal, Gao, Tombouctou et Mopti tombent aux mains des islamistes qui se rapprochent des régions du sud. Peu défendue, Mopti, la capitale du centre du pays, ne tenait qu’à un fil. Le 23 septembre 2012, le Mali et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) s’accordent sur le déploiement d’une force africaine. Le 21 décembre 2012, le Conseil de sécurité des Nations unies autorise par une résolution le déploiement d’une force africaine au Mali. Le 11 janvier 2013, les troupes françaises interviennent en appui de cette force africaine, c’est le début de l’opération Serval.
Un an et demi plus tard, cette opération Serval apparait comme un succès militaire : les villes ont été reprises ainsi que le territoire du nord du pays, un dialogue est rétabli avec les différentes composantes Touareg et l’État malien est stabilisé. Mais Al-Qaida au Maghreb islamique procède par des incursions ponctuelles et par des attentats, et des troupes françaises et africaines sont maintenues sur place. Il est décédé de substituer l’opération Barkhane à l’opération Serval, pour sécuriser la bande sahélo-saharienne, avec la mission de lutter contre les groupes djihadistes et d’empêcher la constitution de sanctuaires terroristes.
Ainsi, l’objectif ultime de l’hexagone, qui n’a jamais perdu l’espoir d’occuper le Mali, était atteint. Et un traité de coopération militaire en matière de défense entre le Mali et la France a été ratifié. Modibo Keïta doit se retourner dans sa tombe ! EN plus des troupes françaises, des milliers de soldats étrangers (Casques bleus) ont envahi le Mali. L’aide indispensable de la Mission des Nations Unies au Mali (Minusma) semble destinée à s’installer durablement au Mali. Son départ n’est pas à l’ordre du jour.
Le pire est qu’aujourd’hui encore, rien n’est réglé au nord du Mali. L’accord pour la paix et la réconciliation, issu d’un marathon de négociations à Alger, qui porte l’espoir d’un retour rapide de la paix est dans l’impasse. Plombé par le conflit intercommunautaire opposant Ifoghas et Imghads à Kidal, le processus de mise en œuvre de l’accord est complètement aux arrêts.
Sur une bonne partie du territoire national, la souveraineté de l’Etat est totalement absente. La partition du pays est consommée. Le cas Kidal suffit pour preuve. Certains le disent haut et fort : le Mali a perdu le nord du Mali. En effet, le président Ibrahim Boubacar Kéïta a offert Kidal (une ville remise dans le giron malien par Dioncounda Traoré sous la Transition, avec un gouverneur et une administration complète, plus le drapeau malien qui flotte partout) aux rebelles sur un plateau d’or, en cautionnant la visite de l’ancien Premier ministre Mara du 17 mai 2014, un épisode douloureux qui a couté tant de vies civiles et militaires.
Au-delà de Kidal, c’est la quasi-totalité des régions du nord qui sont sous le contrôle ou la menace des rebelles, terroristes et djihadistes. Ceux-ci étendent leurs tentacules jusqu’au centre et au sud du pays en instaurant une insécurité chronique dans les régions de Ségou, Mopti, Sikasso, Koulikoro, Kayes et dans le District de Bamako. Attaques, attentats et attentats-suicides, pose de mines antichar et antipersonnel, braquages, enlèvements d’animaux, assassinats et autres formes de violences constituent le lot quotidien du vécu des populations.
Le recouvrement de la souveraineté du Mali dépendra de sa capacité à apporter une solution définitive aux problèmes du Nord, à prévenir d’éventuelles nouvelles sources d’instabilité. Ce qui passe incontestablement par la rigueur dans la gestion des affaires publiques et la bonne gouvernance. Or, ce sont encore les plus grands péchés d’Ibrahim Boubacar Kéita qui a fini de plonger le Mali dans l’abîme. Il est le seul responsable de ce qui arrive à son pays aujourd’hui : la CHUTE.
En effet, aussitôt intronisé en septembre 2013, le président IBK installe la famille, les amis, les alliés, les affidés et quelques rares compétences dans les hautes sphères de l’Administration malienne. Les principes de l’Etat unitaire sont foulés au pied. Les ressources humaines de qualité sont mises à l’écart. Avec comme corollaire les détournements des deniers publics, les surfacturations, les malversations à ciel ouvert. La conséquence, c’est la déliquescence de l’appareil d’Etat.
Et à la place du redressement économique attendu pour soulager la souffrance des Maliens (qui se réjouissaient d’être extirpés d’une crise engendrée par le coup d’Etat du 22 mars 2012), le président ouvre une vanne de dépenses qui absorbe les ressources financières qui auraient dû être injectées dans le développement et la gestion du quotidien des Maliens. Cet argent a été alloué à l’achat d’un avion présidentiel (entre 16 et 21 milliards de FCFA selon les sources) et à un contrat d’équipements militaires (entre 69 et 108 milliards de FCFA).
Ces fonds détournés de leur vraie destination ont installé une crise financière et économique sans précédent. Les Maliens triment. Et paradoxalement, ils semblent accepter leur sort. Personne ne joue sa partition pour sortir le pays de cette mauvaise passe.
En effet, les Maliens de tous les bords donnent l’impression de croiser les bras et de laisser le destin suivre son cours. C’est le cas notamment de la société civile, considérée comme complice majeure dans la gestion catastrophique du président Ibrahim Boubacar Kéita. Cette société civile courtise le pouvoir, le caresse dans le sens du poil même quand il ne le faut pas. Quand ça va, elle est toujours au chevet de l’Etat ; mais quand ça chauffe, elle devient muette comme carpe. Elle a poussé le bouchon jusqu’à effectuer des missions à l’extérieur (faire des promenades de santé ?) pour le compte de l’Etat, des missions vides de tout contenu. Le pays est laissé à son sort. D’ailleurs, peut-il en être autrement si l’on sait qu’avant la présidentielle de juillet 2013, des leaders des organisations de la société civile ont affiché ouvertement leur soutien au candidat du Rassemblement pour le Mali.
(L’Aube 922 du jeudi 21 septembre 2017)
Cet article démontre la nature même du pays,
Vous dites que le pays est occupé par des forces extérieures, c’est de la faute de qui?
Vous dites que la avait comme objectif ultime d’occuper le Mali mais qu’avons nous fait pour empêcher cela?
Maliens quand on vote pour des gens parce qu’ils nous promettent de sauver notre âme dans l’au delà, quand on vote pour des personnes parce qu’ils nous ont offert des miettes …. il ne faut pas s’étonner des suites ,
C’est bien beau d’écrire des articles pour exacerber les haines mais il est plus difficile d’écrire un article pour donner la force au peuple, leur donner envie de construire leur pays, …
Rarement j’ai vu une analyse aussi pertinente, sans complaisance ni passion comme cet article de l’aube. Le seul bémol est qu’il n’est pas signé, comment peut-on publier un article aussi important que celui-ci sans le signer ? De quoi avez-vous peur ?
Maintenant que Ba N’daou a ete’ choisi pour diriger la transition, il faut le soutenir pour reussir sa mission. Il est un officier superieur qui a occupe’ le poste de ministre de la defense!
METTEZ TOUTES LES PETITES AMBITIONS PERSONNELLES A’ COTE’ ET SUPPORTEZ LE PRESIDENT BA N’DAOU POUR LA REUSSITE DE SA MISSION!!!!
PRESIDENT BA N’DAOU, A VOUS MES FELICITATIONS! JE VOUS SOUHAITE UNE BONNE REUSSITE DANS VOTRE MISSION!!!
VIVE LE MALI!
VIVE LE VAILLANT PEUPLE MALIEN!!!!
IL N ‘ Y AURA PLUS DE SANCTION DE LA CEDEAO CONTRE LE MALI!!!!!!!!!!!!!!! UNE EXCELLENTE CHOSE!!!!!!!!! MAINTENANT LE MALI PEUT RETROUVER SA PLACE AU SEIN DE LA CEDEAO ET DE L’UA! NE PERDONS JAMAIS DE VUE CE QUI EST IMPORTANT POUR NOTRE FASO, A’ SAVOIR LA PAIX, LA SECURITE’, L’UNITE’ ET LE DEVELOPPEMENT!
LE MALI NE TOMBERA JAMAIS!!!!!
MALI MUST MOVE ON!!!!!!
I AM THE HAPPIEST MAN ON EARTH TODAY. I HAD SOME SERIOUS CONCERNS ABOUT THE SANCTIONS. NOW, THAT I KNOW THEY WILL BE LIFTED, I AM VERY HAPPY!!!!!
Cet ex colonel qu’on qualifie d’intègre avait été bousculé et mis à la porte par IBK sur la récommandation de son fils Karim Keita (ex honorable President des la Commision Défense de la défunte AN) à cause de son Opposition à une affaire juteuse de procuration de matériels de guerre, un marché qui devait béneficier un opérateur ami de la Famille d’Abord.
Anyway , MBah Daoua est un militaire à la retraite.Il est marqué RED (RETIRED ARMED AND DANGEROUS) comme leur mentor General Moussa Sinko Coulibaly.
La question est maintenant est de savoir s’il ne sera pas une pilule amère à avaler pour la CEDEAO qui a peur des hommes à kakis.😄😄😄
L’école devrait être obligatoire gratuite pour tous les enfants jusqu’à 16 ans ,
Il faut absolument former le citoyen de demain,
A L’ENDROIT OU’ NOUS SOMMES AUJOURD’HUI, PLUS DE 800 ECOLES MALIENNES SONT FERME’ES A’ CAUSES DE L’INSTABILITE’ AU NORD ET AU CENTRE! EN D’AUTRES TERMES, 2 MILLIONS ENFANTS MALIENS NE PEUVENT PAS ALLER A’ L’ECOLE! C’EST BIEN CELA ET LA SECURITE’ QUI SONT LES DEUX PRINCIPALES PRIORITE’S DE NOTRE FASO! LES POLITICIENS IMBECILES SONT ENTRAIN DE SE BATTRE POUR DES POSTES POLITIQUES A’ BAMAKO!
Partie1 Points A l`Ordre du Jour Durant la Transition
#Nous exigeons la dissoulution du partie RPM pour GESTION MAFIEUSE DU PAYS et tous les parties qui se sont coalisés avec Lui aux dernières legislatives.
#Nous demandons A L`ADEMA PASJ de nous ENLEVER LA TOUR DE L`AFRIQUE qui étouffe TOUT BAMAKO AVEC SES BOUCHONS AFIN que la transition la remplace PAR UN ECHCANGEUR MULTIPLE/UNE TOUR QUI EST DE L`ARGENT JETTE PAR LA FENETRE.
#Nous exigeons que tous les vehicules de d’état soient au park aux services après la descente de travail (exception quelques vehs de la presidence )comme le font les organismes internationnaux.
#Nous exigeons l`arrêt des bons de carburant une vraie hémorageie pour le trésor publique.
#Nous exigeons l`arret des reformes de vehicules de l`etat qui est devenu un vrai vol orgnise des biens de l`etat A profit.
# Nous exigeons que tous les concours d`acces A la fonction publique et y compris l`EMIA . soient geré jusqu`aux resultats sur appel d`offre A un cabinet étranger international en ressources humaines/les termes de refs seront fait par les ministers en charge.
#Nous exigeons que toutes les bourses données par les pays etrangers soient gerees par les ambassades de ces pays sur le sol Malien /en recevant les resultats des examens du Mali.
#Nous exigeons l`arret des subventions de l`etat aux parties politiques/une nouvelle charte des parties politiques /un vrai commerce organisé
cher Le Roi Biton de Segou
SI LES AUTRES PAYS DE LA petite cedeao ne veulent pas avancer le MALI FERA CHEMIN SEUL ………..
CELA NE DATE PAS D`UAJOURDHUI LA FEDERAION DU MALI S`ETENDAIT JUSQU`A L`ATLANTIQUE MAIS LE FRANCAIS SENGOR LA FAIT ECLATER
ET AUJOURDHUI LES petits CHEFS D`ETAT DE la petite cedeao prenent en OTAGE LEURS POPULATIONS DANS UNE MONAIE D`ECLAVAGE LE FRANCS CFA AU SERVICE DE LA france
LE MALI DONNERA L`EXEMPLE ET SERA REJOIGNIS PAR LES AUTRES PLUS TARD ET LA NOUS SERONS UNE VRAIE FEDERATIONDES PEUPLES ET NON UNE FEDERATION DE petits chefs d`etats A LA SOLDE LA FRANCE.
Le Mali est un grand pays compose’ d’un grand peuple! Inchallah il surmontera le probleme auquel il est confronte’ EN CE MOMENT. LE MALI N’A PAS ECHOUE’ ET IL N’ECHOUERA PAS!!!!C’EST UNE PETITE CLASSE POLITICO-INTELLECTUELLE QUI TIENT A’ PRENDRE NOTRE FASO EN OTAGE. LE MALI NE SERA NI PRIS EN OTAGE NI SEPARE’ DE SES VOISINS!!! LE MALI NE SERA PAS ISOLE’! IL RESTERA UN MEMBRE DE LA CEDEAO, DE L’UNION AFRICAINE ET DE L’ONU!!!!
VIVE LE MALI!
VIVE LE VAILLANT PEUPLE MALIEN!!!!
C’est ” UNE PETITE CLASSE POLITICO INTELLECTUELLE..” frileuse et conventionnelle qui a mis ce pays dans cette merde.Le Mali ne peut pas se passer de la CEDEAO voire la communauté internationale qui constitue, à travers l’aide bi et multilatérale, cette “vache à lait”-cash cow- pour l’économie et la sécurité nationale. Face aux multiples défis, il faudra en finir avec la comédie politique au Mali.
C’est le bon temps de jauger l’état d’âme de la “démocratie ” malienne au délà des discours politiques mieleux.
I agree!
QU`ILS SE TAISENT TOUS CEUX QUI N`ETAENT PAS SUR LA PLACE DE L`INDEPENDENCE AU MOINS DURANT TOUTE LA TRANSITION QU`ILS SE TAISENNNNNNNNNT
Les régimes civiques ont échoués total, c’est ça que le peuple n’a plus confiancé des civils .
Please let us stop focusing on ancestors who did not do enough?
That is promoting mediocrity plus genocide. Any past leader that accomplishments failed to result to Malians throughout nation having perpetual world class modern living failed plus was mediocre at best. Mediocre leadership do not build great nations or world class modern living nations. Mali is unequivocal evidence of that being fact. Malian leaders leadership thus choices of how to govern plus develop nation have been focused on them or their group maintaining power. Thereof essential acts of development that could have been carried out in steps plus stages plus produced greater wealth, widespread advance education plus widespread upgrade in living conditions went undone plus left Malian with security needs that today are bring exploited by foreigners with ECOWAS now seeking in most aggressive manner to do same.
We must immediately focus at work smart youthful leaders like those of CNSP who seek to immediately secure plus educate all of Mali. It is elderly in specific Old Men who have failed thus we should not allow their poetic speech to further mislead us. Nor should we allow those who follow ways Old Men to lead being they would only continue to fail as Old Men have done. We should seek if we desire to survive plus upgrade living conditions work smart youthful leaders that are practical plus consider how to fulfill goal by way in Malians best interest with that best interest being focused at security with wealth.
Work smart Mali.
Henry Author Price Jr aka Kankan
#Moussa Traore / UDPM /23 longues années de galère / Échec Total
#Amadou Toumani Toure / CTSP /transition avec les espoirs en attente.
#Alpha Oumar Konare /ADEMA PASJ /Un historien et pourtant toutes ses actions prouvent autre chose
Il ne fait que des monuments inutiles lorsque les Maliens ont besoins de ponts ,de routes et d`échangeurs /cas de la tour de l`Afrique /de l argent jeté par la fenêtre /cette tour avec ses bouchons qui étouffe tout Bamako.
Pire il brûle les armes du pays au nom de quel paix?
pire il refuse de lutter contre la corruption et pourtant qui était son créneau avant son arrivée au pouvoir /A la fin de son mandat il fait du spectacle faisant semblant de lutter contre la corruption avec quelques arrestations sans saisir leurs milliards détournés ,ces gens seront libérés plus tard et mènent la belle vie avec l`argent volé au détriment des populations en souffrance
#Amadou Toumani Toure / MAJORITE PRESIDENTIELLE /Gros travailleur mais refuse de mettre fin a la corruption et pourtant c`etait un des points phare de la révolution de mars 1991/ il manque d`initiative Alors /la france avec la complicité de certains fils du pays s`empare du pays pour voler l`or et certains miner-eaux rares au nord Mali /l`or est un élément sacré /ces gens seront maudits par la malédiction de l`or tôt ou tard.
#Amadou Aya /CNDRE
Les populations espèrent mais aucune action de leur part pire ils pillent les banques du pays soif d`argent..
#Ndioncounda /transition
Monte au pouvoir mais aucune action notable sur les attentes des populations /toujours le statu-quo…les gens continuent de piller les ressources du pays en toute impunité aucune lutte contre la corruption beaucoup plus de milliardaires encore et encore……
#IBk /RPM /Une gestion clanique familiale pitoyable toujours des milliardaires sur les ressources de l`état. un vrai partage de gâteau au détriment des populations
pire /l`armée n as pas le droit de faire des actions offensive sans la france /pendant ce temps la france et certains fils du pays volent l`or et les ressources rares du pays au nord Mali.
Il est chassé du pouvoir par les populations en colère et des militaires de bonne volonté……….
Comments are closed.