Les forces armées de la CEDEAO au Mali : Qui a dit, que Diakouma n’est pas Wara ?

14

La force armée de la CEDEAO forte de près de 3300 hommes interviendra bel et bien dans notre pays, ici à Bamako pour sécuriser les institutions, aidées à la reforme de notre armée puis descendre sur le terrain à la rencontre des islamistes de plus en plus menaçants.
 La révélation a  été faîte mardi dernier, à Abidjan par le représentant spécial de Laurent Fabius au Sahel. L’envoyé du chef de la diplomatie française était venu à la rencontre du président Ouattara pour lui faire part de la décision qu’il venait d’arracher aux autorités maliennes. Ce  gros pas en arrière trouve sa raison dans la précision de la menace islamiste depuis l’occupation  samedi dernier de la ville de Douentza
L’occupation de la capitale du Haire, une ville situé à 115 kms de Konna, la nouvelle frontière du Mali depuis les évènements du 22 mars, elle-même distante de 60kms de Sevaré la ville garnison, siège du nouveau PC après le retrait stratégique de Gao, illustre la ferme volonté  des djihadistes de ne plus se limiter à l’occupation des régions du nord mais de tout le reste du Mali. Jusqu’à Kolondieba, une promesse des chefs djihadistes.
Sachant que l’heure n’est plus aux stériles et vains atermoiements, Dioncounda Traoré sans doute sous la dictée des militaires maliens, a fini par se dédire, lui qui disait il y a juste un petit mois que, le Mali ne fera pas appel à l’armée de la CEDEAO.
Quel gâchis ?
Lorsque le cœur parle à la place de la tête donc de l’esprit, le résultat est toujours catastrophique.  Cherchant à anticiper sur ce qui roulait aux allures d’un danger rampant sous nos pieds, la CEDEAO avait vainement tenté depuis plus de trois mois maintenant de ramener nos autorités à la raison, celle de la nécessité de l’intervention militaire ouest africaine dans notre pays. Mais ces dernières, on ne sait par quel calcul machiavélique s’opposeront  de toute leur force, sachant pertinemment qu’elles ne peuvent rien changer à la situation sur le terrain alors que celle- ci s’aggrave de jour en jour, d’heure en heure. Et c’est lorsque, le vrai danger celui qui voit l’ennemi, juste à l’entrée du reste du pays encore libre, qu’on demande à la CEDEAO de faire ce qu’on refusait insolemment.  Maintenant, la question que l’on se pose est celle là : Que va faire Ansardine sachant que, la CEDEAO prépare activement son atterrissage sur Bamako ? Douentza entre les mains des Islamistes et la tardive intervention des forces de la CEDEAO, découlent d’un nationalisme aveugle, nullement défendable, énormément criminel. En attendant, nous sommes devenus la risée des pays membres de la CEDEAO qui, ne cherchaient qu’à aider notre pays. Pauvre Mali !
Sory de Moti

Commentaires via Facebook :

14 COMMENTAIRES

  1. NE PAS SE TROMPER DE COMBAT, LA CEDEAO ÉPAULE LES MALIENS POUR ASSUMER LEUR SOUVERAINETÉ ET LEUR CITOYENNETÉ

    Bonjour,
    Après la lettre envoyée à la CEDEAO par le Président de la République du Mali par Intérim, certains Maliens se posent des questions et ont l’impression que la CEDEAO va leur arracher une partie voire toute leur souveraineté et/ou faire la guerre à leur place.

    Certainement pas, la CEDEAO ne veut pas arracher aux Maliens leur souveraineté, ni faire la guerre à leur place.

    Le Mali appartient aux Maliens, la CEDEAO en est consciente, c’est pourquoi, la CEDEAO a accepté le gouvernement d’union nationale qui a été constitué au Mali sur proposition du Premier Ministre, Cheick Modibo Diarra, et validation du Président, Dioncounda Traoré.

    Concernant la lettre envoyée à la CEDEAO par le Président, compte-tenu de la crise Malienne, après avoir mis en évidence l’urgence d’une action concertée et coordonnée du Mali, de la CEDEAO et de la communauté internationale, elle demande une aide à la CEDEAO dans le cadre du recouvrement des territoires occupés du Nord et de la lutte contre le terrorisme.

    Cette aide concerne principalement le renforcement des moyens logistiques et des capacités antiterroristes, l’appui par une police scientifique pour une guerre électronique, le soutien et l’appui aérien aux forces de défense et sécurité du Mali, la sécurisation et le contrôle des villes conquises, l’acheminement de l’assistance humanitaire et un détachement de liaison avec la MICEMA qui pourrait être déployé au sein du centre de coordination des opérations de sécurisation des institutions de transition du Mali.

    Ainsi, avec ou pas l’usage de la négociation, l’aide souhaitée convient pour une guerre directe que pourrait mener les forces de défense et sécurité du Mali avec une sécurisation des villes conquises faite par la CEDEAO mais aussi pour une guerre informationnelle (guerre électronique axée sur des renseignements vérifiés et sécurisés et sur une police scientifique) telle que je la propose.

    Dans tous les cas, les forces de défense et sécurité du Mali seront devant et piloteront les opérations sur le terrain avec une sécurisation des villes conquises qui sera assurée par la CEDEAO/UA/ONU.

    Alors, que veulent certains Maliens qui s’opposent à cette proposition du Président ou à celle de la CEDEAO ?

    La lettre du Président laisse la liberté de choix au Mali pour l’opérationalisation sur le terrain. C’est donc aux Maliens que revient la lourde tâche de faire le choix entre la guerre directe avec ou sans négociation préalable, la négociation et une guerre informationnelle (plus précise) telles que je les propose ou toute autre combinaison.

    A la manière de ce que dit le Président Obama, aux Américains, c’est, maintenant, aux Maliens de faire le choix définitif pour transformer l’espoir en opportunités pour libérer le Mali, pour le développer durablement et pour générer le bien-être pour tous.

    COMPTE-TENU DE LA SITUATION, LES MALIENS N’ONT PAS LE DROIT DE SE TROMPER DE COMBAT, QUI NE DOIT PAS ÊTRE CONTRE LE PRÉSIDENT OU LE GOUVERNEMENT DE TRANSITION OU CONTRE LA CEDEAO OU LA MÉDIATION.

    LES MALIENS DOIVENT FAIRE LE BON CHOIX POUR PRENDRE EN CHARGE, DANS L’UNITÉ, LEUR PROBLÈME COMMUN.

    Pour ce faire, la participation et l’engagement de tous, ainsi que le fait de prendre leurs responsabilités et assumer leur citoyenneté sont indispensables.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    EXPERT TIC ET GOUVERNANCE
    E-mail: Anasser_AgRhissa@yahoo.fr

  2. Pire qu’une tautologie si nous nous évertuons encore à diagnostiquer les maux de notre pays, le Mali, dont nous nous réclamons sans cesse en évoquant des hommes et des femmes illustres du passé. Les maux sont connus, cernés et ciblés ; seulement, ceux qui devaient ou doivent les éradiquer depuis, se plaisent et en font une source pour parvenir, se maintenir, voire se succéder.
    Il est nécessaire d’avoir une vision claire et proposer des remèdes à court, moyen et long termes aux maux endémiques relatifs à :
    – L’insécurité au Nord du Mali,
    – La Démocratie et l’autorité de l’État,
    – L’école malienne,
    – La santé,
    – L’agriculture et la commercialisation des denrées,
    – Le commerce,
    – La circulation routière et le transport,
    – La sécurité urbaine et interurbaine,
    – La communication : les médias,
    – L’élection présidentielle.
    Nous retiendrons une fois pour toute que l’essor d’un pays, comme le nôtre, repose sur les domaines suivants :

    – L’unité répondant à la devise de notre nation : Un Peuple – Un But – Une Foi ;
    – L’appel de notre hymne national qui en dit plus ;
    – L’autosuffisance alimentaire par le développement de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche
    – L’éducation avec une politique éducative qui débouche sur l’emploi des meilleurs, voire une façon de cultiver l’excellence dont on parle tant ;
    – La santé par le développement des centres et surtout le recrutement des médecins, infirmiers et autres techniciens ;
    – La sécurité de l’intégrité territoriale, de la société civile, par le recrutement et la formation militaire avec les moyens adéquats.
    Le combat à engager illico presto consiste à dépêcher les moyens logistiques, l’armement nécessaire, les hommes sur les terrains des opérations avec les mesures d’accompagnements.
    – Ne plus négocier la paix avec les touaregs rebelles appelés à tort bandits armés. Une rébellion ne se négocie pas, elle se mate.
    – Ramener, le plus vite que possible, les officiers connus de tous avec l’armement nécessaire et les hommes valeureux pour juguler cette crise.
    – Arrêter de distribuer l’argent du contribuable malien aux apatrides, aux revenants, aux barbares.
    – Récupérer les armes et les engins de ces revenants qui d’ailleurs ne sont pas tous des maliens.
    – Favoriser le retour et la sécurité des réfugies maliens non impliqués dans la rébellion du nord.
    – Restaurer rapidement l’autorité de l’État à tous les niveaux ;
    – Rencontrer les différents syndicats des travailleurs du Mali, leur expliquer et les inviter à surseoir à tout mouvement pouvant freiner la marche vers la restauration de l’autorité de l’État ;
    – Lutter contre l’incivisme, l’absentéisme, la gabegie, la corruption, la vénalité dans tous les secteurs étatiques et économiques, en prenant des sanctions conséquentes et pas des moindres ;
    – Procéder à la vérification des Attestations, des Brevets, des Certificats et des Diplômes scolaires dans tous les services et au sein des Forces Armées et de Sécurité ;
    – Arrêter la distribution de galons au sein des Forces Armées et de Sécurité ;
    – Arrêter le favoritisme, le népotisme lors des recrutements dans l’armée, à la police, à la gendarmerie etc.
    – Décider de l’existence d’une seule Fonction Publique de l’État qui gère tous les travailleurs ;
    – Favoriser et promouvoir le recrutement des jeunes dans le secteur privé et par les privés qui doivent les inscrire à l’Institut de Prévoyance sociale (INPS) ;
    – Amener tous ceux qui ont dilapidé les biens de l’État, à payer ;
    – – Revoir la pertinence du nouveau découpage administratif par rapport à l’existant

  3. Je ne vois pas le rapport entre le titre “Qui dit que diakouma n’est pas Wara” et le contenu de l’article.

  4. 1. C’est drôle certaines argumentations. Prétendre que l’arrivée de troupes étrangères serait toujours un échec n’est qu’une vue de l’esprit. Toute activité humaine a sûrement des inconvénients, mais n’est pas forcément un échec : et la France de 1945 ? Et contre le dictateur Kaddafi ? Contre le dictateur Idi Amin Dada ? Et les actions communes contre les terroristes du Seigneur ? Et au Liberia ? Et en Sierra Leone ? Et en RCI ? Depuis plus de 50 ans d’indépendance, la CEDEAO n’est jamais venue régler les questions de sécurité du Mali. Si l’armée malienne peut libérer le pays seule, elle n’a qu’à le faire. Sinon, elle n’a pas à poser des conditions à ceux qu’elle quémande. Que les militaires maliens cessent de prendre leurs compatriotes pour des bébés. En tout cas, ces soldats saisis de peur panique à la vue de barbus (ce sont des faits et cela dure depuis plus de 5 mois), ne peuvent pas continuer à s’opposer à l’arrivée des troupes de la CEDEAO et continuer à se barricader à Bamako en compromettant le développement et la sécurité du Mali, de ses voisins, voire du monde. PARCE QUE CETTE ARMEE A COMME SOUCI ESSENTIEL DE PRESERVER SON POUVOIR ARBITRAIRE DES ARMES QU’ELLE EXERCE SUR LES POPULATIONS DU SUD MALI, TYRANNIE QUE L’ARRIVEE DE TROUPES ETRANGERES MENACERAIT. Tous les jours, depuis 5 mois maintenant, de la part des militaires maliens, les faits sont: salaires gratuits, alcools, drogues, filles, grosses cylindrées, vols, saccages des biens de l’Etat, arrestations arbitraires (même de marabouts sous prétexte qu’ils étaient le marabout de tel béret rouge ou de tel dignitaire d’ATT!!!), coups de bottes, de crosses et de marteaux infligés au civils désarmés du Sud Mali, opposition avec insulte du Président traité d’irresponsable sur RFI. Au même instant au Nord Mali, ce sont: vols, viols, enlèvements, flagellations, profanations, assassinats et trafics en tout genre (cigarettes, armes, drogues, humains…). Que d’entreprises qui ferment avec son corollaire de jeunes en chômage qui iront probablement grossir le rang des bandits armés, que mort du tourisme, que nomades notamment de touaregs à l’exil, que sautereaux qui pointent à l’horizon, que choléra à Gao. Est-ce cela la fierté malienne, l’orgueil malien, le nationalisme/chauvinisme malien ? IL NE FAUT PAS CONFONDRE FIERTE ET COUARDISE ! IL EST GRAND TEMPS QUE LES MALIENS REALISENT QUE L’ARMEE ACTUELLE DU MALI EST LE VRAI ENNEMI DU MALI. CETTE ARMEE EST L’ALLIE LOGIQUE DES BANDITS DU NORD : TOUS DEUX FONT SUBIR LES MEMES ABUS SUR LES POPULATIONS ET L’ECONOMIE DU MALI.
    2. Mais tristement, ATTENDANT STOIQUEMENT LES REACTIONS DE LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE, LES PARTIS POLITIQUES ET AUTRES ACTEURS CONSCIENTS ne font pratiquement rien pour défendre la nation en danger : des communiqués laconiques des partis politiques, quelques tressautements du COREN, des stades remplis par le HCI pour prier pour la paix. VOUS NE POUVEZ PAS ENTRER DANS UN GOUVERNEMENT ET NE PAS ETRE COMPTABLE DE SES RESULTATS. C’est pourquoi le gouvernement est obligé de REAGIR face à l’inertie des militaires, ou DE DEMISSIONNER. MAIS AUCUNE PROTESTATION VIGOUREUSE COORDONNEE DES ACTEURS CONSCIENTS DE LA SOCIETE PAR DES MARCHES DE MASSE, DES SITTINGS DE MASSE, DES GREVES NATIONALES, DES JOURNEES DE VILLE MORTE, CONTRE L’OPPOSITION STERILE DE L’ARMEE MALIENNE.
    3. Quant aux brigades d’autodéfense qui font leur travail GRATUITEMENT, bien sûr qu’il ne faut pas encourager les milices anarchiques, ELLES DOIVENT SIMPLEMENT ETRE ENCADREES PAR L’ARMEE, mais SUREMENT PAS ËTRE DETRUITES. TOUTES LES ARMEES DE LA CEDEAO REUNIES NE POURRONT PAS PROTEGER TOUS LES VILLAGES ET VILLES DE LA LIGNE DE FRONT. Seules les brigades d’autodéfense, utilisées avec succès par l’armée malienne dans un passé récent au Nord, pourront se protéger du harcèlement par les bandits armés de villages et villes dégarnis…

  5. Notre vrai problème, c’est Sanogo et sa bande de cons congénitaux. Ils ont commis des choses terribles après le coup d’Etat et ils vont devoir tôt ou tard en répondre devant une juridiction. Du coup, ils se sont barricadés à Kati. Je prie pour que la CEDEAO bombarde le QG de Sanogo et même tout la camp SOUNDJATA, un camp qui n’honore plus le nom qu’il porte.
    Il faut que nous soyons acerbes et sans concession pour les ennemis du Mali. Ceux qui s’opposent à la venue de la CEDEAO ne pourront rien faire pour l’empêcher. Si la CEDEAO a pris tout ce temps, c’est pour nous respecter et s’inscrire dans une certaine légalité. Maintenant, c’est chose faite. Vivement le déploiement. Par ailleurs, je suis d’accord qu’il ne faut surtout pas remettre ces armes à Sanogo et compagnie. Tout ce qu’ils savent en faire, c’est de nous terroriser dans ce qui reste du Mali. Sinon, depuis le 22 mars, quelles actions concrètes ont-ils fait pour libérer le pays ? GANDA IZO a au moins osé aller s’installer à Douentza avant d’en être délogé par le MUJAO. Notre armée qui a bien plus de moins aurait y déplacé sa ligne de front. Mais non, elle a laissé le champ libre au MUJAO. Et puis, chose curieuse, quand Sanogo, le PM et leurs alliés parlent de nos armes bloquées par la CEDEAO, ils oublient toujours de mentionner que c’est ATT qui a commandé ces armes en procédure d’irgence en juillet dernier avant le coup d’Etat idiot du 22 mars. Sanogo, le PM et leurs alliés font comme si ce sont ces armes qui vont nous faire gangner la guerre alors qu’une guerre est avant tout une affaire d’hommes engagés pour leur partie, pour une cause. Ce que nous ne semblons plus avoir.

  6. Le problème du Mali est bien connu, il s’agit du lâche coup d’état du 22 Mars 2012 et surtout la nomination de Cheick Oumar DIARRA comme premier Ministre et depuis les choses se sont empirées.
    Les Américains savent très bien qui sont le capitaine SANOGO et le Premier Ministre, tous deux sont friands de l’alcool et des fesses, voila pourquoi le mali s’effondre car leurs attitudes ne sont pas compatibles avec les religions maliennes. En cela il faut regretter le soutien de Mohamedou DICKO du HCI à ces deux farfelus.
    Tenez vous bien, Le capitaine SANOGO à été renvoyé du prytanée militaire pour insuffisance de niveau, le lieutenant KONARE a échoué à son brevet de para , quant à l’adjudant Seyba DIARRA il a été renvoyé du régiment para pour indiscipline, voila les trois soulards qui veulent diriger notre armée; Mais que non non et non .Mais dans les jours à venir la donne va changer car le Capitaine SANOGO sera poursuivi par la CPI

  7. A la CEDEAO : Ne débloquer pas les armes avant d’être sûrs de les sécuriser sinon elles iront aux mains des rebelles qu’elles sont censées abattre.

  8. ÇA VA CHAUFFÉ….PUISQUE LES SOLDATS RATÉS ONT PLUS PEUR DE LA CDEAO QUE DES TERRORISTES…

    BON…EN MON OPINION … LE PM ET BEAUCOUP D’AUTRE OUBLIENT NOTRE RÉALITÉ …
    VOILÀ… MÊME SI ON OUBLIAIT LA CDEAO…IL SERAIT TRÈS DIFFICILE DE SAUVER LES SOLDATS RATÉS ET SAUVER LE MALI EN MÊME TEMPS…

    ET CELA EST SIMPLEMENT PARCEQUE…PERSONNE … À PART VRAIMENT LE PM…N’A CACHÉ LEUR ANTIPATHIE TOTALE POUR NOS FANFARONS DE PUTCHISTES OPPORTUNISTES QUI ONT FAIT UN COUP D’ÉTAT IRRÉFLÉCHI AVEC DES CONSÉQUENCES CATASTROPHIQUES …AVANT DE SE CRÉER DE NOUVELLES RESPONSABILITÉS À BAMAKO…

    QUE CE SOIT À TORD OU A RAISON…C’EST UNE RÉALITÉ QUE CEUX QUI VEULENT ET PEUVENT NOUS AIDER N’AIME PAS LA TÊTE DE NOS FANFARONS DU CNDR…ÇA C’EST UNE RÉALITÉ……..JE NE VAIS PAS PERDRE MON TEMPS À RÉPONDRE À CEUX QUI VONT PROBABLEMENT DIRE QUE LES FANFARONS ONT LE SUPPORT DU PEUPLE … DE COPAM…OU CECI OU CELA…ILS RÊVENT EN PERCEVANT LEUR VISION ET DÉSIRES COMME CELLE DU PEUPLE…

    DONC … REVENANT À NOS CHAMAUX… NOUS AVONS DEUX CHOIX…SOIT ON DIT MERDE À TOUT LE MONDE EN DISANT QU’ON N’A PAS BESOIN D’AIDE…OU ON DEMANDE L’AIDE MAIS AVEC SES RISQUES…
    LA PREMIÈRE OPTION …ON L’A TENTÉ N’EST PAS INTELLIGENTE…PUISQU’ON A FUIT …ON N’A PAS D’ARMES NI D’ARMÉE DIGNE DE CE NOM (JUSQU’À PREUVE DU CONTRAIRE)… LE PAYS EST OCCUPÉ ET CONTINUE D’ETRE OCCUPÉ …LE PAYS EST PAUVRE ET SURTOUT ENCLAVÉ … DONC ON A BESOIN D’AIDE ET PAS JUSTE UNE PETITE AIDE…

    LA DEUXIÈME OPTION…QU’ON VEUT TENTÉ MAINTENANT…A SES RISQUES … Y INCLUS LA FIN DU POUVOIR DES FANFARONS…QUE JE CONSIDÈRE PERSONNELLEMENT COMME UN GROS BÉNÉFICE …MAIS JE NE VEUX CERTAINEMENT PAS VOIR UN AFFRONTEMENT ARMÉ ENTRE LES FANFARONS DE KATI ET LES TROUPES CDEAO…ET CELA N’EST PAS A ÉCARTER AVEC NOS FANFARONS QUAND LEUR DOS SERA AU MUR…

    ON LES A TOUS VU DÉFENDRE PLUS FAROUCHEMENT LE CHEF FANFARON…QUE NOS PAUVRES FRÈRES ET SŒURS DU NORD ET LE TERRITOIRE NATIONAL…ET ÇA C’ÉTAIT QUAND ILS N’AVAIENT PAS D’ARMES…IMAGINEZ SEULEMENT L’AFFRONTEMENT AVEC LES BÉRETS ROUGES S’ILS AVAIENT L’ARSENAL NATIONAL QU’ILS ONT LAISSÉ CADEAU AU APATRIDES TERRORISTES DE BARBUS AUX PIEDS NUS….
    BON TROP SUR LA TANGENTE…

    LA DEUXIÈME OPTION EST VRAIMENT NOTRE SEULE OPTION…ET LE RISQUE EST MINIME COMPARE AU BÉNÉFICE … SURTOUT SI NOUS PRENONS LE DEVANT EN PLAIDANT NOTRE CAUSE DEVANT L’ONU …AU LIEU DE TOUT LAISSER À LA CDEAO ET A LA FRANCE …
    NOUS AVONS BESOIN D’AIDE MAINTENANT PLUS QUE JAMAIS…CAR NOUS AVONS DONNÉ TOUT LE TEMPS DU MONDE À CES TERRORISTES ET LE FRUIT SERA TRES TRES AMÈRE …
    SŒURS ET FRÈRES MALIENS…

    NOUS NE DEVONS PAS SACRIFIER NOTRE PAYS POUR SIMPLEMENT PROREGER QUELQUES FANFARONS … DONT LE SEUL ACCOMPLISSEMENT À ÉTÉ DE COUPER LA TÊTE DU SERPENT QUI SE DÉFENDAIT CONTRE L’ATTAQUE FÉROCE DES ÉPERVIERS … UN SERPENT QUI N’ÉTAIT MÊME PAS VENIMINEUX…QUELLE BÊTISES…MÊME UN POUSSIN AURAIT PU AVALER LE SERPENT AVANT QU’IL NE POUSSE UNE NOUVELLE TÊTE…BANDE DE RETARDÉS…

    LE VRAI PROBLÈME DU MALI EST TOUJOURS LE MÊME …
    SANOGO NE PEUT PAS QUITTER…SANOGO NE PEUT PAS NON PLUS RESTER….

    ET LA RAISON N’EST PAS LE COUP D’ÉTAT … MAIS PLUSTOT CE QUI S’EST PASSÉ APRÈS LE COUP D’ÉTAT … SINON ILS ONT ÉTÉ AMNISTIÉ … MAIS SANS VRAI ALLIÉS… LA CPI EST UNE POSSIBILITÉ …
    DONC LE POUVOIR ET BAMAKO EST LA SEULE GARANTIE QU’ILS ONT…ET LA LUTTE CONTINUE…

    Moussa Ag, QUI EST SÛRE QUE LES FANFARONS VONT TOUS FAIRE POUR NE PAS SE RETROUVER PIÉGER…MÊME SI LE MALI EN ENTIER DOIT DISPARAÎTRE … QUELLE HONTE…

    • “…MAIS JE NE VEUX CERTAINEMENT PAS VOIR UN AFFRONTEMENT ARMÉ ENTRE LES FANFARONS DE KATI ET LES TROUPES CDEAO…ET CELA N’EST PAS A ÉCARTER AVEC NOS FANFARONS QUAND LEUR DOS SERA AU MUR…”
      Ne t’en fais meme pas Moussa Ag car cela ne risque pas d’arriver. Dos au mur ou pas, ces soldats indignes ne mourront pour personne sur cette planete. Si tu vois qu’ils ont resiste autant contre les BR, c’est parcequ’ils savaient que leur nombre etait de loin superieur a celui des berets rouges. Et en plus, ils savaient les BR desarmes donc incapables de ripostes serieuses. Mais avec les soldats de la CEDEAO, c’est une autre paire de manches.
      J’ai meme honte de le dire, mais apres que le MUJAO soit rentre a Douentza avec moins de 10 pick-ups s’il te plait, imagine-toi que certains laches ont quitte leurs postes de Sevare pour non pas Segou mais sont a Bamako. Je t’assure que c’est simplement une question d’effectif sinon il y a longtemps que ces rats seraient a Bamako. Mais je suis certain que cela ne saurait tarder.
      Pour finir, je dirais que ta preoccupation de voir un affrontement entre les fuyards de Kati et la CEDEAO n’est qu’un leurre de ton imagination. Ces laches ne vont se battre pour personne. T’as deja oublie leur slogan: NI SARA MALI KOLA, FOUYITA. Ca veut tout dire.
      Quelle honte!!!!

    • g n rien dire encore les amis car vs avez tout di si vraiman tous les maliens reflichessaient coe vs et mw on allai pa y arriver la. a sak g li Moussa Ag sa m guerri koi

Comments are closed.