La menace de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) de mettre le Mali sous embargo, s’est matérialisée le lundi 02 Avril dernier. Une autre menace plus importante, celle des maliens eux-mêmes, s’en est ajoutée. Il s’agit notamment de la cherté de la vie et la flambée du prix des denrées de première nécessité.
En marge de cette mesure prise par l’instance suprême de l’Organisation Ouest-africaine (CEDEAO), qui est de suspendre le Mali sur tous les plans (diplomatiques, économiques et financiers), une partie de la population de notre pays sanctionne l’autre par la montée du prix des denrées de première nécessité. Notre chère patrie qui souffre déjà de crises intérieures (politique et territoriale) mais aussi extérieures par la fermeture de toutes les frontières terrestres et aériennes avec des pays voisins de la sous-région, a plus que jamais besoin d’unité nationale. La fraternité, l’entraide et la solidarité doivent être des principes pour tous les fils du pays. L’augmentation anarchique du prix de certains produits, comme l’essence, le gasoil, le riz, le lait, le sucre…, à laquelle se livrent certains commerçants, ne fera qu’aggraver cette crise. C’est ensemble et dans l’union que nous pourrons surmonter cette situation.
GAOUSSOU YAH TOURE.
Commentaires via Facebook :
Unissons nous et arrêtons de faire partis prix, Sanogo ou pas le mal y était déjà. Vous croyez vraiment aux aides proposés par la CDEAO, l’ONU et la France qui a toujours voulu la création de l’AZAWAD. Ou ils étaient tous pendant la guerre du Rwanda, venir prendre les siens et laissé les pauvres dans la main de leurs bourreaux.Pourquoi ils n’ont pas vite agit quand ATT était au pouvoir. Dieu sauve le Mali par la grâce du prophète Mohamed(PSL). Amin !
Ouvre les yeux. À défaut d’aide de la CEDEAO, les frontières et les sanctions seront immédiatement levées. Au moins le malien moyen pourra souffler un peu. À condition que ce Sanogo dégage bien sûr.
Dans cette galère, inutile d’envisager la récupération du nord.
Au lieu de douter si tel ou tel va nous aider ou pas, mettons les devant les faits. En ce moment tu pourras dire s’ils valent quelque chose ou pas. A l’heure actuelle, aucun élément concret ne te permet d’affirmer cela.
Gaoussou, comme tous les souteneurs de la junte tu te trompes de coupable et responsable. Si la junte quitte aujourd’hui, il y a plus de problème. C’est simple faut aller le dire à capitaine sanogo qui comme un gamin mal elevé met tout un pays à genou de honte et de desespoir. Les commerçants ont toujours agi comme cela même pendant le mois de ramadan! Rien de nouveau c’est la loi de l’économie la rareté crée la cherté!
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