Investi depuis plus d’un mois, le président de la Transition, Bah N’daw, et son vice-président n’ont toujours pas déclaré leurs biens devant la Cour suprême, comme l’exige l’article 10 de la charte. Et cela, malgré le cri du cœur du M5 et de l’ex-Premier ministre Moussa Mara.
Désormais en sentinelle, c’est le M5-RFP qui a été le premier à exprimer sa colère. «Le délai de la déclaration des biens a expiré pour certains. Nous les invitions à se soumettre à cette exigence… », ont dénoncé les contestataires d’IBK, opposant de fait de la Transition. C’était lors de leur derrière conférence de presse tenue le jeudi 8 octobre au siège de la CMAS.
Après le M5-RFP, l’ancien Premier ministre Moussa Mara, sur sa page Facebook, a invité à son tour les autorités transitoires, à savoir le Président, le Vice-Président et le Premier ministre à déclarer leurs biens à la Cour suprême conformément à l’article 10 de la Charte de Transition.
Moussa Mara a également rappelé aux autorités concernées leur devoir de déclarer leurs biens conformément à l’article 10 de la Charte de la transition. « Selon l’article 10 de la Charte, le Président, le Vice-Président, le Premier ministre et les ministres de la transition doivent déclarer leurs biens à la Cour suprême », a-t-il écrit sur sa page Facebook. Cet article de la Charte de la transition précise : «Après la cérémonie d’investiture et dans un délai de quarante-huit (48) heures, le Président de la Cour Suprême reçoit publiquement la déclaration écrite des biens du Président et du Vice-président de la Transition. Cette déclaration fait l’objet d’une mise à jour annuelle. Dans un délai maximum d’un (1) mois avant la fin de la transition, il reçoit une seconde déclaration écrite. Celle-ci est publiée au Journal officiel accompagnée des justificatifs éventuels en cas d’augmentation du patrimoine. Cette obligation de déclaration s’applique également à tous les membres des organes de la Transition institués par la présente Charte, à l’entrée et à la fin de leurs fonctions ».
Pour Mara, si ces autorités ont déjà déclaré leurs biens au niveau de la Cour suprême, le Gouvernement, selon lui, doit informer les populations. Dans le cas échéant, il les invite à se soumettre à cet exercice. «Sinon, il devient urgent de procéder à cette action indispensable pour restaurer la confiance entre les citoyens et les élites afin d’engager la refondation du pays », a-t-il indiqué.
Amidou Keita
La charte de la transition : Malgré des cris de cœur « l’article 10 reste violé »
C’ EST UN FAIT FLAGRANT….AVEC DES CONSÉQUENCES TRÈS TRÈS GRAVE…
ILS DOIVENT NOUS FAIRE PARVENIR LEUR DÉCLARATION DE PATRIMOINE, AVANT TOUT…!!!!
TOUTE L” ÉQUIPE DE LA TRANSITION A DÉJÁ VIOLÉ LA LOI, EN CE SUJET…
ALORS QUE SERA LA PUNITION ???
QU’ EST DEVENU LE MALIEN D’ EN HAUT : UN VOLEUR, UN MENTEUR UN TRAITRE, , UN LARBIN CONGÉNITAL, UN SOUS-HOMME, UN MINUS- HABENS,
ALLONS-NOUS ACCEPTER UNE BANDE DE VOLEURS, DE MENTEURS, DE TRAITRES Á LA PLACE D’ UNE AUTRE BANDE DE VOLEURS, DE MENTEURS, DE TRAITRES , DÉTRUIRE DAVANTAAGE LE PAYS..???
NON, NON, ENCORE NON.
NOUS ALLONS DEVOIR APPRENDRE Á ASSASSINER TOUT DIRIGEANT QUI VOLE, MENT OU TRAHIT.
LA SOLUTION SERAIT, SEMBLE T-IL L’ ÉLIMINATION PHYSIQUE ET NETTE DE CETTE RACE DE SOUS-HOMME QUI BOIT LE SANG DES MALIENS.
LA SOLUTION EST DONC BIOLOGIQUE…!!!!
DIGNES MALIENS, ORGANISONS-NOUS…!!!
Á MON TRÈS CHER “FANGA”, QUI EST DE TOUT COEUR UN CROYANT FERVENT DE LA LÉGALITÉ: LE CAS DU MALI A GLISSÉ DANS LA MALÉDICTION-AURDITÉ BIOLOGIQUE, LA SOLUTION NE POURRAIT QUE ÊTRE L’ ÉLIMINATION BIOLOGIQUE DE L’ ÊTRE ATTEINT PAR LE FLÉAU “MALÉDICTION-AURDITÉ BIOLOGIQUE” .
QUI POURRAIT NIER QQUE DES GÈNES BIOLOGIQUES D’ EXPRESSION DU VOL, DU MENSONGE ET DE LA TRAITRISE SE SONT INSTALLÉS AU POUVOIR AU MALI DEPUIS FORT LONGTEMPS..????
DONC AUCUNE SOLUTION AUTRE QUE BIOLOGIQUE: ASSASSINAT CIBLÉ SYSTÉMATIQUE PÉRIODIQUE OU CONTINUEL DES VOLEURS, DES MENTEURS ET DES TRAITTRES
SANEÈ ANI KONTRON…!!!!
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