L’ancien premier ministre malien Ibrahim Boubacar Keïta, 68 ans, est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle du 28 juillet, avec 39,2% des voix. Il devance Soumaïla Cissé (19,4%). Les deux hommes s’affronteront lors d’un second tour prévu le 11 août.
Le candidat du plus grand parti malien, l’Alliance pour la démocratie au Mali (Adéma), Dramane Dembélé, arrive en troisème position avec près de 9,6% des voix, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Moussa Sinko Coulibaly. Le quatrième, Modibo Sidibé, un ancien Premier ministre comme Ibrahim Boubacar Keïta, obtient près de 4,9%.
Les 23 autres candidats au premier tour se partagent les voix restantes. Le taux de participation a été de 51,5%, un chiffre exceptionnel pour le Mali où la participation à ce type de scrutin n’avait jamais dépassé 38%.
Des “tendances” portant sur un tiers des bulletins, données mardi par le colonel Moussa Sinko Coulibaly, faisaient état d’une “large avance” d’Ibrahim Boubacar Keïta face à son principal rival Soumaïla Cissé. Il avait laissé entendre qu'”IBK” pourrait l’emporter dès le premier tour, provoquant l’indignation du camp de Soumaïla Cissé.
Le parti de M. Cissé, l’Union pour la République et la démocratie (URD), avait de son côté dénoncé mercredi “un bourrage d’urnes” et affirmé qu’un second tour était “sûr à 100%” entre les deux candidats favoris.
(ats / 02.08.2013 14h24)
CHACUN A SON CHOIX DU PRÉSIDENT POUR SON INTÉRÊT,CHACUN DÉFEND AVEUGLEMENT SON CHOIX POUR SON BONHEUR OR LE VRAIS BONHEUR EST CELUI DE LA NATION ENTIÈRE.ACCEPTONS LUI QUI SERA CHOISI POUR LE BONHEUR DE LA PATRIE.UN POUR TOUS,TOUS POUR UN.CETTE FOIS-CI JE VOTERAIS POUR IBK AU 2EME TOUR INCH’ALLAH.
Dans un pays où les démocrates s’adonnent aux violences verbales, aux injures graves et humiliantes pour se faire entendre; faut-il pas faire recours à la dictature pour amener les démocrates à la raison?
Dans un pays dit démocratique où les soit disant démocrates bafouillent et piétinent les institutions de la république pour proclamer les résultats des élections; faut-il pas faire recours au tyran?
Ce qui s’est passé au MALI pendant ces 72 Heures ne peut et ne saurait être la démocratie car aucun de ses principes n’a été respecté par des assoiffés du pouvoir.
Le FDR dans sa folie guerrière a certainement été auteur de plusieurs excès que l’histoire retiendra au MALI. Quand des intellectuels descendent dans la rue pour revendiquer non pas une victoire électorale mais un second tour aux élections, quelle humiliation pour la nation malienne par le fait de ses fils affamés-politiques!
Mais quand on est incapable de vivre en dehors du système, tout devient permis même la perte de dignité.
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