Gouvernement Abdoulaye Idrissa Maiga ou la défaite annoncée d’IBK en 2018 : Sept probables raisons d’une délacée du Président sortant

14

Les partisans d’IBK qui croyaient qu’il allait changer le fusil  d’épaule, à la veille de ce sixième remaniement, ont fini par déchanter. Ils ont été tellement déçus que beaucoup d’entre eux se prépareraient déjà à lui infliger un revers cuisant en 2018. Le Gouvernement d’Abdoulaye Idrissa Maiga semble loin d’être l’équipe qui sera à même de relever les immenses défis auxquels le pays est confronté. L’équipe sortante qui a été incapable de résoudre les crises socio-sécuritaires a été, contre toute attente,  largement reconduite. Par cet énième remaniement ministériel, IBK aura fini par persuader les caciques de sa propre formation politique qu’il a un autre agenda. Il aura également convaincu les partis de la Convention de la Majorité Présidentielle, CMP, qu’il ne compterait pas sur eux uniquement. Voici sept probables  raisons d’une déroute d’IBK  aux élections Présidentielles  de 2018.

Première raison, le choix du PM. Réputé être intègre et rigoureux, Abdoulaye  Idrissa Maiga serait, pour certains, arrogant et fier. Distant du parti des tisserands, malgré le poste de premier vice-président qu’il occupe, il aura de la peine à mobiliser le RPM autour d’IBK. A son impopularité au sein du RPM,  il faudrait ajouter  sa rivalité avec Bocari Tréta et aussi et surtout la sortie du gouvernement de trois caciques, à savoir, Ousmane Koné, Mahamane Baby et Mme Sangaré Oumou Ba. Le mécontentement au sein des tisserands démobiliserait les militants du parti aux prochaines élections et hypothéquerait les chances de réélection d’IBK en 2018.

Deuxième raison, la marginalisation  des partis  de la CMP

Une bonne partie des formations de la CMP se dit aujourd’hui trahie, à commencer par le RPM, d’où d’ailleurs la sortie peu habituelle d’un journal très proche du pouvoir, qui ne se prive plus de tirer à boulets rouges sur le régime qu’il a pourtant  défendu bec et ongle. Ensuite l’ADEMA, la deuxième force politique de la CMP. Certains caciques de l’ADEMA ont vu d’un mauvais œil le renforcement de la tendance des ex membres du MIRIA qui compte aujourd’hui deux sur les trois ou quatre ministres du parti. Quid des autres membres de la CMP qui ont vu leur parti soit, mis à la porte comme le CNID de Me Mountaga Tall, soit   privé de portefeuilles ministériels ou réduit à  leur simple expression.

Troisième raison, la non-participation de la CMA au gouvernement

Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, la Coordination des Mouvements de l’Azawad, CMA, est un acteur incontournable pour la paix et la stabilité au Mali. Son refus de participer au gouvernement, non seulement, ne faciliterait pas le retour de la paix et de la stabilité au septentrion, mais aussi et surtout, ne serait pas du goût des partenaires, comme la MINUSMA  et les capitales occidentales. L’espoir de la gestion de la crise du nord étant l’une des raisons du plébiscite d’IBK en 2013, sa non-résolution compromettrait ses chances de rempiler en 2018.

Quatrième raison, le retour de Tiéman Hubert Coulibaly

Beaucoup sont les maliens qui s’interrogent sur les raisons du retour de Tiéman Hubert Coulibaly au gouvernement. Chassé comme un mal propre après le cinglant revers infligé aux Forces Armées Maliennes à Nampala en juillet 2016, il vient de signer son retour de la plus belle des manières avec un ministère régalien, celui de l’Administration territoriale. Ce retour est interprété, par bon nombre de Maliens, comme un mépris au peuple et aurait fini par convaincre les derniers partisans d’IBK, que ce dernier est illisible.

Cinquième raison, le scepticisme des partenaires sociaux.

La première réaction des syndicats, qu’ils soient de la santé ou de l’éducation, après la composition du gouvernement  a été circonspecte. Ils ont été plus sceptiques encore quand ils ont vu figurer dans ce gouvernement des anciennes têtes qui avaient atteint leur seuil d’incompétence et de nouveaux visages qui n’en demeurent pas moins médiocres parce que déjà vus ailleurs. Comme pour dire que les partenaires sociaux ne s’attendent pas à de miracles de la part de ce gouvernement qui peine à redonner de l’espoir.

Sixième raison, la grogne sociale qui ne faiblit pas

Considéré avant sa formation comme le gouvernement de la dernière chance, l’équipe Abdoulaye Idrissa Maiga a été perçue comme la montagne qui aurait accouché d’une maigre souris, brisant ainsi l’ultime espoir des derniers partisans d’IBK. Malgré les gestes d’apaisement du nouveau PM à l’endroit des syndicalistes, on ne constate aucun fléchissement dans la détermination des grévistes à poursuivre leur mouvement.

Septième raison, le scepticisme des partenaires financiers et de la communauté internationale

Formé au lendemain de la Conférence d’Entente Nationale, le Gouvernement d’Abdoulaye Idrissa Maiga devrait, en principe, amener les partenaires à espérer la mise en place d’une équipe à même de s’atteler à la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation. Cependant, le refus de la CMA de figurer dans cet attelage gouvernemental pourrait amener plus d’un partenaire à douter des chances réelles d’une sortie de crise à court moyen terme.

En somme, le gouvernement d’Abdoulaye Idrissa Maiga, n’ayant pas obtenu l’adhésion d’un grand nombre de citoyens,  roule désormais sur des œufs. Sa réussite peut relever du miracle, compte tenu de sa configuration et du contexte sociopolitique  dont il a hérité.

 Youssouf Sissoko

youssouf@journalinfosept.com

Commentaires via Facebook :

14 COMMENTAIRES

  1. Ah oui ! avec Poulo , plus de foot ball au Mali. La FIFA s’en fiche de la mouvance presidentielle . Poulo peut alors gerer a sa guise les autres sports.

  2. Une seule raison pour la victoire de IBK : le tripatouillage électoral!!!!!!!!!!!!!!! ce n’est pas pour rien qu’il a placé Tieman à l’administration territorial!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! En toute logique IBK ne devrait même pas avoir 30% des sondages, mais il passera haut-les-mains avec sa bande de voleurs!!!!!!!!!!!!!!

  3. En 2108 ou je ne sais quand IBK remportera les elections là nous sommes contraints.Maintenant retour de hubert tieman ne veut rien dire ou bien le retien de poulo ah maliens; il n’est pas mieux de prier dieu pour un mali meillleur.Ibk est le premier malien patriote.nous nous sommes des gueulards autres maliens.Moins Ibk lui propose des solutions pour un mali de lendemain et nous rien des critiques et c sont ces critiques qui nous menent en arriere . Arretons ces critiques et suggerons des solutions.

  4. Tous les indicateurs sont au rouge pour I.B.K. Il n’a pas su gérer les problèmes pour lesquels il a été élu. Il s’y est très mal pris dans le problème du nord. Son refus d’associer les acteurs politico-sociaux au règlement de la crise du Nord lui restera comme un cailloux dans la chaussure. I.B.K n’est pas à la hauteur, on s’en est rendu compte trop tard. Comme le dit l’adage, c’est à l’œuvre qu’on juge le maçon. On ne gouverne pas un pays de cette manière. Il devait être un rassembleur, il a plutôt divisé en croyant pouvoir réussir tout seul, là où il avait besoin du concours de tous les fils du pays. Dès l’entame des négociations d’Alger, on a vu venir la faille. Accorder autant de privilèges aux rebelles était une erreur. S’il avait écouté les autres acteurs de la vie politique Malienne, beaucoup de choses auraient pu être évitées. Mais il a engagé l’avenir du Mali dans sans l’avis des Maliens au nom desquels il dit s’être engagé. Ce qui est une faute grave, puisque le Président qui lui succédera n’aura d’autres choix, que de revenir sur certains détails pourtant très importants des accords. Ce qui ouvre la porte inéluctablement à de nouvelles hostilités. Aussi, il n’a pas pris la mesure de la crise sociale dont l’ampleur a été minimisée. I.B.K n’a pas tenu la promesse de lutter efficacement contre la corruption qui a jalonnée les quatre premières années de son mandat, ce qui est plus grave, c’est de la faute même de ses proches et de son clan. L’immixtion de la famille dans les affaires de l’état a affecté plus d’un Malien. Les marchés de gré à gré qui se sont succédé ont fait le reste. Le manque d’équipement des soldats, le détournement de leurs primes par les Officiers, autant de fautes qui n’ont pas eut l’écho qu’attendaient les militaires de la part du pouvoir. I.B.K, après quatre ans d’exercice du pouvoir, n’a pas encore mis en exécution un seul de ses projets de campagne. Quel bilan va t-il présenter aux Maliens pour acquérir de nouveau leur confiance? C’est là que le bas blesse, ne pas avoir de bilan est une forme de démission. Tous les alliés ne sont venus au gouvernement, que pour se faire des fonds politiques en prévision des élections à venir. C’est son nombrilisme qui l’a tué. Il a placé la barre là où il ne pouvait pas l’atteindre lui même. A sa place, un homme politique averti ne se représenterait pas. Mais connaissant l’homme, c’est la bouche ensanglantée qu’il renoncera à se présenter comme disent les Maliens. Son goût immodéré du pouvoir va le perdre. On ne peut juger des qualités et des capacités de son nouveau Premier Ministre pour l’instant, mais en le nommant, il s’y est pris trop tard. Nul ne peut comprendre l’attitude du Président de n’avoir pas confié la Primature à un homme issu des rangs de son parti. C’est du jamais vu pour un Président jouissant du bénéfice de la majorité. Aucune raison ne justifie cette attitude aussi suicidaire et plein d’amateurisme. Que ses larbins se rassurent, I.B.K n’est pas défendable, son bilan encore moins. Sur quels critères se basent-ils, pour donner I.B.K gagnant aux prochaines élections dès le premier tour? Plutôt que de faire la fine bouche, ils feraient mieux de convaincre le Président de désister au profit d’un autre cadre du parti pour les prochaines présidentielles. Même cette perspective ne garantie pas une victoire au M.P.R, car l’échec est collectif. Ils se sont laissé marcher sur les pieds par un Président qui n’avait aucune considération pour ses camarades de parti. Le choix des Premiers Ministres étrangers au parti en est la preuve la plus évidente. Il ne leur fait pas confiance pour les avoir fréquenté depuis longtemps. Et c’est ce qui l’a perdu! Le trop de magouilles terni l’image de n’importe quel pouvoir.

  5. Mon Système Éducatif me blèse; oui. Il me condamne à ne pas être patriote, tellement que je suis enfoui dans son théorème. C’est vrai, parce que, quand mon esprit, ma conscience à commencer à murir, j’ai commencé aussi au profit des pays avancés ou développés à délaisser mes valeurs et coutumes, mon histoire qui me géographiait. Oui, c’est principalement quand je suis arrivé au lycée et en même temps quand mon esprit commençait à être ouvert qu’on m’orientait au fur et à mesure vers ces pays développés et enviables dans ses histoires. La mienne parce que j’en ai aussi une , que j’apprenais pour éviter le fouet du tant la main; je la boudais et pour dire la vérité, je ne l’avais jamais comprise, donc rien retenu, de mon histoire, de moi. Mon système éducatif veut ça, il a voulu ça! Et depuis lors, c’est être développé comme mon esprit, même au prix de ma Nation. Je suis plus puissant qu’une arme, c’est ma pensée développée qui veut ça. Et ceux qui n’ont rien dans la tête, les esprits fermés, les limités, parlent du patriotisme, je suis Patriote pour mon du lycée; celui que mon système éducatif m’a donné. J’ai encore envie de l’être plus!!!

  6. Je me contenterais de prier pour notre Mali ,car j’ai plus espoir après tout ce qui se dessine. Que Dieu sauve le bateau Mali.

  7. Franchement monsieur le journaleux arrêtez de mettre de l’huile sur le fameux le retour de Tieman signifie que Dieu retabli toujours la vérité à vrai dire les attaques se sont multipliées et il y a eu des centaines de morts après son départ de là défenses cela veut dire que le problème de l’armée n’est pas une question d’hommes mais de système et pour que cela change seul IBK est responsable et non le ministre!!!! Désolé mais c’est la pure vérité ….. Arrêtez avec vos analyses à la con vous êtes payé pour écrire des torchons

  8. 9ème raison, la santé de ce grand Malade IBK ne le permet pas d’être capable de continuer à berner le peuple. Il ne nous dirigera jamais en homme impotent comme celui de l’Algérie. Observez le bien ! Il marche à peine comme s’il a besoin de béquilles aujourd’hui pour se déplacer. Je doute s’il se pourrait se présenter aux élections 2018 parce qu’il sait qu’il a déjà déçu ses électeurs de tout bord. Ceux qui étaient et les nouveaux venus au gouvernement veulent finaliser leurs chantiers, allez vérifiez !

    • Ne vous enfaîtes pas. ce n’est pas le Mali? Même si tous les maliens votent contre IBK, il sera président. C’est le système et notre passivité qui le veulent ainsi.

  9. TOUS les jours IBK-IBK et IBK on ira élection que le meilleur qui gagnera vive la république vive le MALI .

  10. Nous sommes encore loin de 2018. Peut être qu’il pourrait remanier plusieurs autres fois encore son gouvernement . Une chose est sûre , le changement qu’attendait le peuple n’est pas opéré. Le nouveau PM, AIM n’est pas l’homme de la situation compte tenu des crises sociales que le pays connais. Le Rassemblement Pour le Mali (RPM), dont AIM est issu (1er vice President) de son comité directeur ne peut pas mobiliser son propre parti à fortiori les partis de la mouvance présidentielle . Certes le RPM a fait des alliances avec plusieurs partis politiques, pas par conviction politique, mais pour des intérêts personnels. Généralement ces partis politiques sont représentés dans le gouvernement par les Présidents qui au lieu de s’occuper du parti, se soucient d’eux mêmes . Le renvoi du gouvernement de 3 Ministres RPM, sous prétexte qu’ils sont mis en mission du parti pour la campagne présidentielle en 2018. Imaginez , un OUSMANE KONE face à Kalfa SANAGA a Sikasso pour battre campagne ! Même s’il était Minustre, alors qu’il est réduit au strict minimum . Le retour de Tieman Hubert COULIBALY, à la tête du département chargé d’organiser l’élection présidentielle . Alors tout le monde sait que cet homme n’a aucune espertise, aucune compétence , rien de tout. Le maintien de Housseyni Amion GUINDO, avec de la grogne au sein de sa propre formation politique, pourrait-il mobiliser ses troupes ? La mise à la touche de la CMA, est un véritable handicap , face à cette situation, il serait impossible d’organiser dans cette partie du territoire l’élection présidentielle , alors qu’IBK y tient à la mise en œuvre de l’accord de paix d’Alger, mémé nous savons qu’il n’est pas possible. Le front social, tient à ses droits. Le gouvernement en place parviendra t-il à les résoudre ? Si le RPM s’est imposé que le PM soit issu de ses rangs, IBK lui même sait qu’il n’ y a pas de cadre RPM pouvant porter cette veste. Alors pourquoi il n’a pas continuer avec sa méthode , en choisissant un homme capable de mobiliser tous autour de sa candidature, y compris les partenaires techniques et financiers? Un Soumeylou Boubeye MAIGA serait l’homme de la situation même s’il n’est pas du RPM. Il est l’un des premiers hommes politiques qui à rallié IBK immédiatement après le Premier tour. Au Mali, aucun parti politique seul ne peut gagner l’élection présidentielle . En faisant l’historique de la démocratie au Mali, de 1991 à nos jours, je dirai sans risque de me tromper, que le pays à ete géré par le même parti politique à savoir l’ADEMA-PASJ. Dans lequel parti politique on trouvait: Pr Mamadou Lamine TRAORÉ, Pr Dioncounda TRAORÉ, Pr Mohamedoun DICKO, IBK, OUSMANE SY, Mme SY Kadiatou SOW, Soumaila CISSE , Soumeylou B. MAIGA , Bocari TRETA et autres. Exiger la nomination d’un PM issu du RPM est une ingratitude a l’égard de celles et ceux qui ont contribue à l’élection d’IBK en 2013.

    • IBK en 2018 ! sa défaite est prévisible . Ceux qui sont conviés au tour du plat commun, ne sont pas capables de permettre le renouvellement du plat. Les membres du gvt sortant majoritairement reconduits. Ont -ils enregistré des résultats ? Pourront -ils battre campagne au sein de leur propre formation politique ? A l’intérieur du pays ? Certes plus d’une quarante de partis politiques sont aujourd’hui de la mouvante présidentielle , l’élection présidentielle a lieu à la base, celles ou ceux qui ont represente cette base dans le gouvernement ou dans d’autres structures , ont ils fait la restitution de la gestion du pouvoir à leurs militants? Les préoccupations de ces militants ont elles été prises en compte ? Depuis 4 ans qu’ils sont aux affaires , quel bilan pourront ils présenté au peuple malien ? Les promesses de campagne d’IBK ont elles été exécuté à hauteur de souhait ? Quel est le sentiment qui anime le peuple ? Partant d’un seul exemple: l’ADEMA-PASJ qui est une véritable machine électorale , à ses représentants dans les hautes sphères de l’Etat, son President est le Pr Tiemoko SANGARE, membre du gouvernement (Ministre des Mines), peut -il mobiliser sa troupe autour de la candidature d’IBK en 2018? Les remous au sein du RPM, seront ils endigués, pour permettre AIM de contrôler la troupe ? Quelle position Bocari TRETA et ses fidèles adopteront en 2018? Seront ils sincères avec IBK? La réponse à ces questions , vous permettra de deviner les résultats de l’élection présidentielle de 2018.

      • 2018, l’annee de l’election presidentielle, pourrait reserver d’autres surprises egalement . Certains partis politiques peuvent s’eclater en deux voir trois micro partis, pour la conquete d’interets personnels. Meme le RPM n’est pas a l’abri d’un tel eclatement. Quant a l’ADEMA-PASJ, ce parti accepte toutes sortes de compromis pourvu que ces dirigeants soient au pouvoir. Personne ne peut predire ce qui va se passer en 2018 au tour de l’élection présidentielle . Déjà avec la nomination d’AIM, au RPM, il y a deja des mecontents, vont ils s’assoir et regarder? L’avenir nous en dira plus. En 2002 et 2007, AOK a signe l’acte de deces de l’ADMA-PASJ, en portant son choix sur ATT , candidat Independant avec le soutien de certains barons du parti. On connait la suite ! Cette trahison occasionna le depart d’IBK et Soumaila CISSE avec des cadres et militants de l’ADEMA pour creer le RPM le MIRIA et l’URD. En fait l’ADEMA n’est pas un parti politique au sens meme du mot. Elle est une association structuree avec des groupes . Avec les moyens , ou la direction du vent peut amener les cadres et militants de cette association a deposer armes et bagages devant la porte de n’importe quel parti politique , mais a condition que le dit parti accepte ses conditions . En un mot l’ADEMA-PASJ est le “parti mercenaire “.

  11. 8e raison :le fait de garder toujours ce clochard de “pouloh “à la tête du ministère des sports .le football malien est mort !!!

Comments are closed.