Le Mali vit après le coup d’Etat du 22 mars dernier une situation exceptionnelle. Le pouvoir est partagé entre un président intérimaire de fait et une junte aux aguets qui dicte sa loi.
Jamais un pouvoir n’a été aussi partagé au Mali. Le putsch du 22 mars 2012 a conduit le pays à une période trouble. Pour la première fois, le pays est mis sous embargo par la CEDEAO, pour exiger le retour à l’ordre constitutionnel normal. Et c’est chose faite avec la nomination de Dioncounda Traoré comme Président de la République par intérim pour une période de 40 jours. Ce dernier investi, les maliens s’attendaient au fonctionnement normal des institutions. C’est mal connaître les putschistes. Ces derniers n’ont rien enlevé à leur ardeur. Ils sont présents et agissent de leur plein gré. Multipliant à zéro le pouvoir du Président intérimaire. Le CNRDRE poursuit sa chasse à l’homme sans consulter qui que ce soit. Il arrête les hommes politiques, les officiers supérieurs. Leurs agissements créent la panique chez les populations. On a peur de se promener dans la ville. Les soldats patrouillent avec les fusils en bandoulière.
Et Dioncounda est confiné au rôle d’un chef de fait sans pouvoir décisionnel. Une situation qui a amené la léthargie dans les actions de lutte contre la rébellion. Car on ne sait qui de Dioncounda Traoré et du président du CNRDRE commande. C’est une confusion qui inquiète les Maliens et les font désormais douter de leur sort et surtout de la capacité de libérer leur pays des mains des bandes armées qui ont même réussi à faire du Nord, un no man’s land des bandes terroristes africaines. Au lieu de s’intéresser à l’essentiel, les responsables de la transition en sont à mener une guerre de leadership. De positionnement. C’est là qu’on se trompe de combat. La priorité devait être la libération des Régions du Nord sous emprise des rebelles. Les autorités ont-elles compris cette urgence ?
Hassane Kanambaye
SANOGO ce moque du mali et des maliens ce qui le préoccupe c’est le poste de la présidence c’est tout.
nous n’avons rien bénéfié du tout et si nous ne faisons pas attention, le Mali sortira perdant. il faut reconnaitre qu’il ne peut pas avoir deux commandement dans un même bateau. Pr Dioncounda etant sous l’emprise de ces millitaires, il ne peut en aucun cas exercer sa mission comme on lui a confié. pour le bon deroulement des processus, ces millitaires doivent demissionner.
nous n’avons rien bénéfié du tout et nous ne faisons pas attention, le Mali sortira perdant. il faut reconnaitre qu’il ne peut pas avoir deux commandement dans un même bateau. Pr Dioncounda etant sous l’emprise de ces millitaires, il ne peut en aucun cas exercer sa mission comme on lui a confié. pour le bon deroulement des processus, ces millitaires doivent demissionner.
Peuple du Mali, patriotes du Mali, vous êtes prévenus ! La CEDEAO fantoche qui n’a pas les moyens de ses expéditions militaires néocoloniales, s’apprête à vous envoyer des mercenaires grâce à des financements alloués par les USA, l’Union Européenne et la France. Coût de l’opération: on parle de 577 Millions de dollars. Une rondelette somme qui fera l’affaire des entrepreneurs de guerres privées, ces loueurs de mercenaires violeurs en plus des éléments frelatés de la classe politique malienne qu’intéressent de tels financements extérieurs. C’est la solution idéale si le Mali attend son intégrité, son unité et son indépendance de ses prédateurs: USA, UE, France et tous les satrapes de la CEDEAO en plus de la bourgeoisie compradore et islamo-intégriste du Mali même. Non seulement, ils ne vous libèreront pas, mais en plus vous occuperont durablement et vous imposeront la partition du pays en plus des frais et impôts de guerre à payer.
Peuple du Mali, refuse le folklore que tes pires ennemis t’imposent. Ne te laisse pas amuser par l’excitant folklore de la transition démocratique et de l’ordre constitutionnel avec ses élections sans l’autre moitié du pays! C’est le plus sûr moyen de la partition d’office du pays. Elle en découlera.
Les mêmes forces qui ont réussi la partition de l’URSS, de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye, de l’Éthiopie, de la Somalie, du Soudan, sont à l’œuvre au Mali, avec la complicité de certains de ses fils et filles et des satrapes de la CEDEAO. Plus que jamais, il faut en être conscient. L’histoire nous l’enseigne.
Joseph Ki-Zerbo a dit: « N’an lara, anw sara! » Et c’est au Mali patriote d’être debout ; et maintenant, face à la rébellion touareg!
Blaise impose son gouvernement à Bamako
Qui l’aurait cru, Ouagadougou qui impose son ordre politique à Bamako. Les deux pays se sont affrontés par deux fois sur le terrain militaire autour d’une bande de terre. La dernière fois, en décembre 1985, un certain capitaine Compaoré était au front avec ses hommes de Pô pour repousser l’avancée des troupes maliennes du général Moussa Traoré. Vingt-sept ans après, c’est le même Compaoré qui aura les pleins pouvoirs à Bamako pour diriger la transition. L’homme qu’il a trouvé pour confier ces pouvoirs, c’est le gendre du général malien. Mais ce n’est pas tout, il a mis dans le gouvernement d’autres hommes plus fidèles pour piloter le processus de négociation avec les rebelles du Nord.
Si on continue de jaser sur la réalité du retour à l’ordre constitutionnel au Mali, il n’y a en revanche aucun doute sur le règne de l’ordre Compaoré à Bamako. Le chef de l’Etat burkinabè impose ses hommes et son agenda à l’Etat piteux du Mali. Avec la transition, Blaise Compaoré est devenu le véritable nouveau président du Mali. En effet, le nouveau maitre de Bamako n’est ni Diancounda Traoré ni Modibo Diarra. Ce n’est pas non plus le capitaine Sanogo, mais l’homme du palais de Kosyam, le lieu où se décide ces dernières années le sort de certains pays ouest-africains. Blaise Compaoré gouverne la partie sud du Mali et est écouté des autorités de fait du Nord Mali.On a vu son chef d’état-major particulier Gilbert Dienderé parler à Tombouctou avec les chef de Ansar dine. On avait l’impression que ce sont de vieux copains qui se retrouvent après des jours d’absence. La libération des deux otages européennes n’auraient alors servi que de prétexte pour se retrouver. Comment le président burkinabè a-t-il pu s’imposer aussi facilement ?
Il faut aller chercher la réponse à cette interrogation dans son fabuleux réseau de relations obligées qui essaime toute l’Afrique, particulièrement la région ouest-africaine. Réseau tissé depuis la période de la révolution. Dans la situation actuelle du Mali, le réseau s’est imposé en trois étapes.
SOURCE: Faso.net
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capitaine Sanogo a crée des desordres dans ce pays et continu à mettre en péril le devenir de ce beau pays.jamais jamais, on veut plus un millitaire à la tête de ce pays.s’il pretend être un bon patriote, une seule chose. M. Sanogo, avec tout le respect que le peuple te doit, prend ton arme et aller te battre contre ces rebelles si tu veux sortir par la grande porte sinon ta place n’est le fauteuille présidentielle.
Personnellement, Sanogo m’emnerve,il entrain de plonger le Mali dans le Chao, et certaine personne continu de l’appuyer. Je prie tous les jours le bon Dieu, qu’on nous debarrasse de tout ce qui veut troubler le Mali. 😥 😥 😥 😥 😥
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