Maliennes, Maliens,
Je sais que depuis des semaines, la nation attend ma parole qu’elle a jugé rare, en raison des péripéties que nous vivons.
L’attente de la nation est légitime, après toutes ces semaines d’écoute, de consultation, d’interaction avec les représentants de nos forces sociales et politiques.
Il était nécessaire de laisser du temps au temps, de laisser se décanter des situations, d’éviter la passion qui est toujours mauvaise conseillère.
Avec ce peuple, envers ce peuple, je ne commettrai jamais le péché de mépris et d’arrogance.
Alors ce soir, le serviteur privilégié que je suis est devant la nation, se tenant devant elle, dans une humilité qui ne sera jamais feinte, mais toujours fier et toujours honoré de se mettre à l’écoute de ses compatriotes, de débattre avec eux du pays que nous avons en partage.
Ce cher Mali que chacune et chacun doit mettre au-dessus de soi !
Ce Mali millénaire et éternel que chacun d’entre nous porte profondément en son cœur, que nous avons, tous et chacun, égale obligation de porter, d’accompagner, de protéger et de faire rayonner !
Ce bateau Mali qui tanguera sans doute mais qui ne chavirera jamais, comme le chantent si bien, nos poètes traditionnels quand ils disent notre glorieuse « geste nationale », en d’autres temps d’épreuves rédhibitoires pour l’Etat, la nation, la démocratie, mais des épreuves qui furent heureusement surmontées.
Cependant, avant d’aller plus en avant, j’aimerais inviter tous nos compatriotes à se joindre à la douleur de la communauté chrétienne qui pleure Notre Dame de Paris.
Elle pleure à juste raison. Le joyau ravagé par le feu avait su traverser le temps, ouvrir les bras au monde entier. Aujourd’hui, il n’appartient plus à une confession. Il est un trésor mondial, un patrimoine de l’humanité et l’humanité saura le restaurer, comme elle le fit hier avec les monuments de Tombouctou, démolis dans un passé récent par la folie destructrice de ceux-là qui ne rendirent pas ce faisant un quelconque service à notre Islam vénéré.
Mes chers compatriotes,
Je vous parle. Je vous parle de nous, de chacun d’entre nous, de chacune d’entre nous, de nous toutes et de nous tous, parce que nous sommes logés à la même enseigne.
Je vous parle de nos angoisses, de nos projets, de nos aspirations, de nos problèmes mais aussi et surtout de nos solutions.
Je commence par dire que j’ai entendu toutes les colères, décodé tous les signaux, compris tous les messages remontant d’un pays dont je ne saurai jamais mésestimer les préoccupations.
Oui. La situation sécuritaire, malgré nos efforts, reste un défi majeur qu’il faut relever, j’en suis conscient, au plus vite, par des réponses durables, pas par des artifices, puisqu’il en va de la continuité de notre pays, d’un pays dont les fondements ont été ébranlés par la crise multiforme de 2012.
C’est le cas au Nord du pays où des flambées de violence viennent hélas rappeler avec récurrence l’impératif de faire en sorte que les acquis fragiles enregistrés depuis 2015 ne soient pas remis en cause.
Que tout le monde prenne sa part dans cette œuvre : l’Etat malien, ses partenaires ainsi que les groupes signataires de l’Accord pour la paix et la réconciliation ! Mais que tout le monde prenne sa part sincèrement, rapidement et effectivement car chaque seconde perdue pour la paix est gagnée par la guerre !
S’agissant du Centre de notre pays, qu’il me soit permis de rappeler la tragédie d’Ogossagou qui le 23 mars dernier a endeuillé la nation et horrifié le monde civilisé.
Mes chers compatriotes,
Les faits révélés ont produit une véritable onde de choc psychologique à travers le pays, et même très rapidement au-delà.
Des images insupportables ont circulé, montrant l’horreur d’une barbarie qui a dévasté ce qui fut une communauté humaine.
Ces images nous renvoient au passé tant de symboles obscurs et accablants que nos âmes affligées s’inquiètent d’un effondrement moral et spirituel.
Jour de grande tristesse que ce jour là, qui vit tant de valeurs humaines, jusque là magnifiées et partager, se consumer dans les fumées de la haine et du fanatisme ; vie, sens du sacré, famille, sagesse, tolérance, empathie, cousinage à plaisanterie, fraternité religieuse, tout cela rendu méconnaissable, dans les cendres des tisons humains, d’habitations calcinées, d’une terre devenue inhospitalière.
Ce n’est pas seulement notre drapeau national qui fut en berne, c’est tout le brillant humanisme dont nous étions si fiers !
Dans nos mosquées et dans nos églises, les séances de prières publiques n’ont pas manqué, pour toutes les victimes.
Que toutes ces prières, bonne prières, soient exaucées par le Miséricorde Suprême !
Il nous faut aider notre jeunesse, souvent en perdition, à sortir des chemins de pensée archaïque, des mimétismes politiciens stériles, des impasses des responsabilités malencontreusement assumées ou revendiquées.
Il nous faut conduire cette jeunesse là sur les chemins d’un avenir viable dans un monde où les découvertes et les connaissances de tous ordres explosent et dont elle a besoin de connaître les clés pour y vivre dignement.
Il nous faut aider notre jeunesse à retrouver le sens du sentiment national authentique et non simplement à en rechercher le vernis politique.
Mes chers compatriotes,
Les violences intercommunautaires ne peuvent pas s’ajouter à l’insécurité entretenue par les pseudo djihadistes.
Nous devons faire attention et écouter, dans leur sagesse, nos enfants, stylistes ou musiciens préoccupés par le recul de la convivialité, eux qui nous rappellent, dans le slogan devenu populaire que nous sommes « même père, même mère ». Au nom du sang qui nous unit, au nom du lait que nous avons sucé, au nom des pactes que nous avons noués, nous devons revenir à nos valeurs, revenir à ce que le Mali a été et demeure.
L’Etat pour sa part, n’acceptera pas de dérogation et il sévira avec la même rigueur contre toutes les milices, tous les fauteurs de guerre.
Mes chers compatriotes,
Les événements qui se déroulent au Centre de notre pays ont atteint une dimension inacceptable qui nous interpelle tous. Les mesures nécessaires ont été prises au niveau du Gouvernement pour que des contingents supplémentaires des forces armées et de sécurité soient déployés sur le terrain. Sur notre demande, les partenaires internationaux – la MINUSMA et Barkhane – sont, eux aussi, engagés dans la sécurisation accrue des populations. Dans le même temps, nous poursuivons notre programme de désarmement et d’intégration des éléments armés qui ont fait le choix de renoncer à la violence.
Le sort des populations civiles victimes de violences au Centre de notre pays constitue une tragédie qui interpelle la conscience de la Nation. Aussi, dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Présidentiel d’Urgences Sociales un fonds d’intervention d’un milliard de francs CFA sera mis en place en faveur de nos compatriotes qui du fait de l’insécurité se trouvent aujourd’hui dans une détresse extrême.
Sur mes instructions, le Gouvernement procédera également à un glissement de crédits de douze milliards de francs CFA vers les services sociaux de base dans le cadre du Plan de Sécurisation Intégré des Régions du Centre (PSRIC).
Mes chers compatriotes,
L’enjeu du moment, les défis de l’heure, nos consciences individuelles ainsi que notre responsabilité collective, exigent que nous posions les problèmes, cartes sur table.
C’est pourquoi il me faut insister sur la situation de l’école, la nécessité impérieuse de stabiliser notre système éducatif.
Cette revendication était au cœur du combat des étudiants et des scolaires maliens, ceux de l’intérieur comme de l’extérieur, et à travers plusieurs générations.
Combat légitime s’il en est, car il n’est pas de nation viable sans système éducatif solide.
Hélas, nous devons également déplorer que depuis trois décennies, malgré les efforts entamés se traduisant par un investissement massif en infrastructure, malgré une gestion de plus en plus maîtrisée du flux dans un pays où la poussée démographique est forte, l’école malienne, est loin d’être stabilisée.
Souvenons-nous qu’au sortir du Forum national sur l’éducation en 2011, il avait été formulé 490 recommandations, dont 152 sur l’enseignement supérieur, 95 sur l’Enseignement secondaire, 132 sur l’éducation de base et 111 sur l’éthique et la déontologie.
Les moyens à mobiliser pour l’école, apprenants comme enseignants sont lourds, très lourds. Ils sont généralement au- dessus des capacités financières de l’Etat et des enseignants, même si ce secteur mérite tous les égards de la nation, tous les sacrifices possibles.
Pour ma part, il n’est pas question de laisser l’enseignant être le parent pauvre du développement de la nation.
J’ai instruit au gouvernement de trouver alors un point d’équilibre, un terrain d’entente via une négociation intelligente, et ce dans le respect mutuel, dans les limites bien comprises de ce que l’Etat peut consentir tout de suite et ce qu’il ne peut que plus tard.
Les salaires des enseignants grévistes seront débloqués : je m’y suis engagé et ce sera fait Inchallah.
Mes chers compatriotes,
Pour la paix sociale, pour notre capital social, surtout lorsqu’est menacé dans certaines parties de cher territoire, cette paix malienne que nous avons habilement négocié au fil des siècles et des compromis, entre les métiers et les ethnies, j’ai entrepris depuis de longues semaines de rencontrer nos forces politiques et sociales.
J’ai apprécié au plus haut point les échanges et les contributions qui m’ont apporté des éclairages utiles.
La dynamique de l’interaction se poursuit.
Car je n’ai pas d’autre choix, ayant accepté d’être l’héritier de toutes les législatures, étant un acteur de premier plan de l’évolution politique et institutionnelle de notre pays depuis trente ans, comptable du bilan et donc en position de distinguer entre les acquis et les passifs, les grains de beauté et les verrues.
Les pourparlers entrepris connaîtront leur dénouement logique.
Mes chers compatriotes,
Je ne peux cependant pas ignorer le fait que parmi les représentants des forces politiques et sociales rencontrés la semaine dernière figurent des interlocuteurs qui, animés de raisons positives, ont souhaité que se poursuive et s’approfondisse le débat autour des évolutions prises en charge par la révision constitutionnelle. Cela afin de renforcer le consensus populaire autour de la future loi fondamentale.
Mon souhait n’est pas non plus de mettre à la marge d’une entreprise aussi importante pour l’avenir de notre pays les formations politiques et les associations qui souhaitent l’organisation d’un débat national en préalable de la tenue d’un Référendum. Aussi ai-je décidé de confier à un triumvirat la tâche de diriger un cadre de concertation nationale regroupant du 23 au 28 avril 2019 les représentants de toutes les forces politiques et sociales de notre pays.
Les remarques et propositions issues des travaux de ce cadre de concertation seront prises en compte dans l’avant-projet de loi portant révision de la Constitution du 25 février 1992. Celui-ci sera adopté en Conseil des Ministres avant d’être déposé à l’Assemblée Nationale.
Durant toute cette période, j’annulerai tout déplacement hors du pays pour me consacrer entièrement à votre écoute.
Mes chers compatriotes,
L’idée d’un cadre de dialogue plus vaste, plus représentatif, plus inclusif, fait son chemin et emporte mon adhésion.
Le projet aura pour but d’évaluer les forces et les faiblesses de notre démocratie, de notre vécu institutionnel d’une part, et de cerner d’autre part, les opportunités et les menaces du chemin.
Tous les enseignements des processus participatifs initiés dans notre parcours immédiat seront tirés : des concertations régionales et nationales, forum politique- qui ont accompagné les premiers pas de la démocratie malienne, aux Etats généraux de la Décentralisation, aux Assises du Nord, aux Assises nationales organisées sous notre magistère, en passant par le Forum national sur l’Ecole, le Forum sur la lutte contre la Corruption, sous la deuxième décennie de la IIIè République.
Ce ne seront pas alors les données qui manquent. Et si aucune préconisation nouvelle ne doit être ignorée à condition d’être efficiente et pertinente, il ne peut s’agir d’enfoncer des portes ouvertes.
Il ne pourrait être question de traîner en longueur.
Ce qu’il nous faut, c’est un format qui ne laisse personne sur le quai, qui rassemble les segments les plus divers de notre société.
Ce qu’il nous faut, c’est un consensus solide pour notre avenir politique, institutionnel, social, je devrais dire sociétal.
Qu’Allah me donne les épaules de la charge, qu’il ne me les donne que pour le seul bénéfice du Mali. Pour l’honneur et le bonheur du seul Mali.
Et qu’ensemble, opposition, majorité, sociétés civiles, nous nous donnions-nous la main pour boucher les trous de la jarre, la jarre ne pouvant avoir pour vocation que d’étancher la soif collective.
Or la soif du pays est grande ; soif de paix, soif de décentralisation effective, soif de développement, soif de reconquérir sa place dans le concert des nations, soif d’être de nouveau un centre de rayonnement et d’influence.
Nous en sommes capables. Parce que nous sommes une terre de savants brassages, d’une sagesse populaire qui a irrigué les grandes cultures de notre espace.
Il est à notre portée de construire et de consolider la République dans la démocratie, la construire dans la justice et dans l’équité, dans la prospérité et dans la paix.
Telle était l’ambition des pères fondateurs du Mali.
Et telle, je l’accepte.
Je n’ai pas d’autre agenda que de faire ma part dans la concrétisation des aspirations et des espérances de nos martyrs, de notre peuple.
Je le ferai avec l’opposition et la majorité, je le ferai avec ceux qui ont voté pour moi et ceux qui ont accordé leur suffrage à d’autres, et surtout ceux plus nombreux qui continuent de rester en marge des votes.
Et quel successeur comblé ne serais-je pas de pouvoir conduire l’exercice avec le conseil et l’accompagnement de tous mes prédécesseurs, Moussa Traoré, Alpha Oumar Konaré, Amadou Toumani Touré, Dioncounda Traoré.
Ensemble, nous vaincrons.
Ensemble, aucun obstacle ne nous résistera
Mes chers compatriotes,
Notre pays a la chance de bénéficier de la présence de veilleurs vigilants, impliqués et inlassables. Grâce à eux, nous sommes parvenus jusqu’ici à éviter que les comportements extrêmes ne balaient la pondération bien connue de notre peuple. Il nous faut donc écouter et amplifier les voix qui nous appellent à la raison et surtout à l’unité. C’est ensemble que nous nous préservons, c’est ensemble que nous nous sauverons. Evitons donc d’allumer de nouveaux brasiers en dispersant les braises de la discorde et de l’intransigeance. Ainsi que nous y invite l’hymne national de notre cher pays, « pour le salut public, forgeons le bien commun ».
Vive le Mali, Vive la République,
Que Dieu bénisse le Mali !
@123…
– ON EST MUSULMAN?…ON ACCEPTE LA NULITEE!!..ON EST D ABORDS ANEANTI POUR ETRE ISLAMISE APRES…
– ON A COMME LANGUE OFFICIELLE LA LANGUE D AUTRUI, C EST A DIRE ON A ETE NULIFIE TOUT D ABORDS, SINON QU EST CE QUI FAIT QU UN HOMME NE SACHANT PLUS PARLER UNE LANGUE LA SIENNE DE SURPLUS S ADONNE CORPS ET AME A CELLE D AUTRUI?…LA NULITEE…
CHER 123, LE MALIEN DOIT ETRE AIDE A SE LIBERER DE LA BATARDISE ISLAMIQUE ET CELLE FRANCAISE, LES DEUX EN REALITEE ABRAHAMIQUES…
vous êtes tous nuls, vousi et vos prédécesseurs, personne de vous n’a été à hauteur de mission. je crois, je le pense, le mali a eu les pires et mauvais dirigeants de tous les temps, de 1960 à nos jours.
lorsque ce sont les famille qui dirigent, lorsque ce sont la femme et les enfants qui dirigent, le pays n’avancera jamais.
quel exemple on peut tirer de vous et tous ces présidents, des présidents auquel la nation sacrifie tous ses moyens, qui en abusent.
quand dans un pays, personne ne peut obtenir un service suivant ses compétences, vous nous parlez de vos prédécesseurs.
vous avez été, autant que vous êtes, le problème du mali, avec médiocrité on ne peut plus suicidaire.
https://youtu.be/rdPKoZArR3o
Sacré president! Il nous parle encore de revision constitutionnelle!
Il n’a tjrs pas compris!
Pour les concertations nationales, la présidence doit être confiée à une personnalité qui n’est pas comptable de la gestion des 18 années de la démocratie pour des raisons d’être comptable juge et partie et qui n’aurait qu’un seul objectif : empêcher la vérité d’être dites sur la réalité calamiteuse de la gestion du pays de l’ère démocratique.
Comme on dit au Mali: ” Bô-Tira Kara-la ”
Le président, qui a la prétention de dire que sa parole ” oiseuse” est attendue par les maliens, a raté une occasion: celle de se taire.
Il n’aurait rien dit, on aurait le même résultat.
Voilà un homme dont la parole est désormais démonétisée. Sans aucune valeur. Un homme qui ne croit pas un seul mot des discours qu’il s’applique régulièrement à déverser sur les ses compatriotes comme on déverse des détritus dans un dépotoir.
En passant, on constate qu’il n’a rien dit de la disparition du journaliste Touré. Un sujet soigneusement évité par ceux qui construisent ses discours creux.
Cette disparition restera une tâche indélébile sur son mandat.
1- Le Philosophe Clément ROSSET a fait une réflexion sur l’Argument du Bourreau qui a amené à débattre du thème sur l’amour du présent, du réel que NIETZSCHE appelle “l’Amor Fati”. C’est à dire que l’on veuille ou pas il faut aimer le réel sous toutes ses formes et même quand ce réel n’est pas aimable. Autrement dit, même si le régime de M IBK est plus que détestable pouvant même conduire le Mali sur les traces du Rwanda ou même d’Ausschwitz pour quoi pas, il faut l’accepter. . . ! ! ! !
2- L’objection à cette voie semble banale rien que simplement dans une perspective purement interprétative: Qu’est ce qui est reproché finalement à M IBK et à son regime, si tenter qu’il y a un ou des reproches : Sécurité, Santé, Education, Alimentation. . . Et que propose le régime comme réponse: Une révision constitutionnelle comme impératif catégorique dans une logique de la Morale Kantienne, c’est à dire une révision considérée comme l’horizont indispensable, un fin nécessaire à valeur universelle______________________________________!
3- . . . . Des Marches interdites, presses musélées et corrompus. . . le tout dans une technique comme forme suprême de cynisme démocratique. Une technique dite raisonnement hypothétique selon toujours KANT repris par Max Weber / Theodor Adorno et Max Horkheimer comme raison instrumentale par opposition à la raison objective du genre “…si vous Maliens vous me donner tel ou tel objectif, alors moi IBK je vais réfléchir et vous dirai quels moyens il faut utiliser…”, exactement comme ce bon technicien de la medécine qui empoisonnera tel monsieur largement et rapidement mieux d’ailleurs que de le soignez!
4- Voilà, Acceptons le projet de constitution, Rejetons la motion de censure, Arrêtons les marches et en ce moment tout ira mieux. La révision comme instrument à utiliser à M IBK pour réaliser telle ou telle fin, mais aucun droit ni moyen de réflexion sur cet instrument qui doit déterminer ces fins……………..!Donc l’objection la plus simple pour le peuple face à un tel bourreau, c’est de rien attendre de lui qu’il fabrique avec sa révision une nouvelle idole. . .!
“…des concertations régionales et nationales, forum politique- qui ont accompagné les premiers pas de la démocratie malienne, aux Etats généraux de la Décentralisation, aux Assises du Nord, aux Assises nationales organisées sous notre magistère, en passant par le Forum national sur l’Ecole, le Forum sur la lutte contre la Corruption, sous la deuxième décennie de la IIIè République.
Ce ne seront pas alors les données qui manquent….” ET POURTANT TU OUBLIES LE PLUS IMPORTANT!
L’ACCORD D’ALGER DOIT ETRE REMIT EN QUESTION: C’EST A DIRE, RELU, DISCUTE ET PRENDRE CE QUI EST BIEN POUR LE MALI ET LE RESTE A JETER A LA POUBELLE.
“…Aussi ai-je décidé de confier à un triumvirat la tâche de diriger un cadre de concertation nationale regroupant du 23 au 28 avril 2019…”
T’ES MALADE? TU PENSES QU’UN DIALOGUE NATIONALE CONSISTE A FAIRE UNE ASSEMBLE AVEC DES GENS RAMASSES DANS LA RUE? NON IL FAUT PRENDRE LE TEMPS DE L’ORGANISER AVEC SERIEUX….SINON….. RIEN
Ainsi que nous y invite l’hymne national de notre cher pays, « pour le salut public, forgeons le bien commun ». Dans quelle partie de l’hymne national du Mali il y a cette phrase? Ou bine y a-t-il un nouvel hymne que nous allons découvrir avec la nouvelle Constitution?
Au Mali en ce moment on a peu besoin de discours ou de promesses, mais d’actes concrets en lien direct avec les préoccupations de l’heure. Nous ne sommes vraiment pas sortis du gouffre, bien que l’espoir soit encore permis. je n’ai pas été deçu par ce discours parce que je n’attendais rien de concret. Un français classique dont on a peu besoin. J’aurais preferé, en lieu et place du français classique, un discours en bambara ou dans une autre langue nationale qui touche les vrais problèmes du pays, avec des propositions de solutions plus convainquantes. Nous sommes encore loin du bout du tunnel. Que Dieu sauve le Mali.
Tout ça pour ça.M. Le président, nous attendons des actes et non des paroles.Nous avons depassé ce seuil; place à l’action concrete.Vive le Mali
On n’a que faire de ces discours aux aires de poésie et creux………………………… Qu’il redescende sur terre et produise des résultats!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’est tout ce qu’on lui demande!!!!!!!!!!!!!!
El Hajj tu as tout a fait raison et mon equipe l’Ajax a gagne!
! ! ! ! ! ! ! ! ! !. . . . . . .De la Com, rien que de la Com. . . . . . ! ! ! ! ! ! ! !
1- “. . . . . . Discours fade à tel point que l’on a cru que M IBK inventait le “fadisme”, c’est-à-dire on écoute, on attend la fin, enfin, peut-être il y aura-t-il quelque chose. . . .. . ! Mais on découvre qu’au bout de tout ce temps là a été un immense discours apolitique, une dictée par coeur, un conte digne des savanes africaines paradoxalement écrit dans les lamentations le Lamartine ou de Baudelaire.. . .!
2- Il n’ a pas été question de politique. Finalement c’est un serpent sans venin. M IBK, c’est un constrictor presque souriant, on le voit prendre sa proie et serrer fort, “serrer fort les Maliens”. Ces pauvres Maliens qui sont là qui ont été choisis: il envoie les Dames chez le coiffeur, les Garçon ont acheté une chemise neuve et il leur donne l’impression que ce sera le moment de leur vie et puis les questions sur la Nation apportent peu. . . .!
3- M IBK ne répond jamais malheureusement aux questions que ces Garçons et ces Dames lui posent, il a juste précisé finalement qu’il avait un certain nombre de choses à dire, qu’il le dirait quelque soit les questions. A un moment donné les mères de famille qui ont perdu leurs fils, leurs époux aux fronts se posent des questions extrêmement intéressantes à la Tertulienne, mais plutôt à la Simone de Beauvoir, elles disent ” Pourquoi nos fils soldats meurent avant même d’être aux fronts ? Pourquoi on tue des bébés avant même leur naissance? Pourquoi finalement c’est le rasage et la brûlure partout? “Questions intéressantes !
4- Et le “Président de la Rép.” ne répond pas évidemment, il débite son discours, il avait des choses à dire, il a pris des chiffres, il serait un bon président pour tout le monde, il connait ses dossiers, il connait ses chiffres, il a mémorisé tout cela. . . .! ! !
5- Sauf que ce n’est pas un président, il n’a pas le sens de l’histoire du Mali et des Maliens. Il ne parle pas du Mali actuel aux Maliens et encore moins en effet, mais juste de dossiers auxquels il a travaillé et dans lequel on s’aperçoit que la la fonction présidentielle a été supprimée et que le “Président de la Rép. est devenu juste une espèce de grand 1er ministre ou du moins un gouverneur colonial. . . . Et ce qui sort à l’issu de ce discours, c’est surtout qu’il n’a rien dit et surtout pas fait de politique sur l’état de la Nation, il n’a fait juste que de la communication!
J’ai préféré suivre le match Juventus/Ajax que la parole de cet ivrogne invétéré !
Mes amis dôlômagni!
En écoutant / lisant ce discours on peut résumer cette diahrrée ultime par:
– Que M IBKF est comparable à ce que de Gaulle écrivit dans ses Mémoires sur Albert LEBRUN après son entretien avec ce dernier ” … Le général prend congé en remerciant le président LEBRUN. Il commente cet entretien ainsi : Au fond, comme chef de l’État, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef, qu’il y eût un État. . .!”
CE FAUX-CUL N’ A JAMAIS SONGÉ Á FAIRE SES FAUX DISCOURS EN BAMBARA AUSSI, LANGUE NATIONALE.
LA VIOLATION DE L’ ARTICLE 118 DE NOTRE CONSTITUTION EST UN APPEL AU SOULEVEMENT POPULAIRE OU AU PUTCH MILITAIRE.
DONC , MALIENS SOYONS PRETS …. NE BAISSONS PAS LES BRAS CAR LE COMBAT ULTIME ARRIVE, LE TERRORISME ISLAMISÉ A LE SOUTIENT DE KOULOUBA, LES NOUVEAUX FASCISTES OCCIDENTAUX ONT LEUR SERVITEUR Á KOULOUBA.
Discours tres long creux et plein de mots vides et vagues, que du joli Francais de France, Zero solution concrete mais que des voeux pieux. Ou est le programme de redressement du Mali? ou sont les grands chantiers pour sortir le Mali et les Maliens de la pauvrete? Ou sont les veritables actions pour arreter la Grande Corruption, la Mauvaise Gouvernnace et le Nepotisme? Quand est-ce que les FAMA vont jouer leur role regalien et enfinf quand l’integrtite du territoire national sera vraie? Quand est-ce que nous ne serons pas un pays occupe?
Un discours d’apaisement porté par un homme qui n’inspire plus confiance peut il atteindre l’objectif recherché:LE CONSENSUS NATIONAL AUTOUR DU PROJET DE RÉVISION CONSTITUTIONNELLE.
Ce qui anime actuellement IBK et son colistier SBM,c’est satisfaire le maître à savoir mettre en oeuvre L’ACCORD d’Alger ,le Mali n’est pas leurs préoccupations.
Ce discours est une artifice pour faire passer le projet.
Le débat national programmé précipitamment pour la semaine prochaine est est une ruse pour adopter un projet déjà ficelé.
Franchement IBK n’a pas d’autre agenda que celui du Mali?
IBK est il vraiment entrain d’«écouter et amplifier les voix qui nous appellent à la raison et surtout à l’unité »?
Alors pourquoi ignore t’il les voix discordantes de ceux mêmes qui étaient ses alliés il n’y pas si longtemps et qui ont contribué largement à son élection en 2013?
Pourquoi se limite t’il à un débat sur la révision constitutionnelle au lieu de celui sur tous les sujets concernant la vie de la nation réclamé par son opposition?
Ce qui pénalise la marche de notre pays vers la quiétude n’est ni l’insécurité,ni le manque de consensus expérimenté par ATT,mais la mauvaise gouvernance.
Les campagnes présidentielles de 2013 ont montré qu’IBK a compris parfaitement les préoccupations des maliens à savoir la lutte implacable contre la corruption qu’ il répétait régulièrement et la préservation de l’honneur des maliens symbolisée par LE MALI D’ABORD.
En se focalisant sur la révision de la constitution,IBK privilégie la satisfaction des INTÉRÊTS de la France car destinée à tenir compte des aspects concernant l’application de l’accord imposé car non examiné par la représentation nationale.
Notre président n’est pas notre président c’est à dire un homme politique élu au sommet de L’ÉTAT pour défendre les intérêts de ses citoyens,il est un LAQUAIS des français secondé par SOUMEYLOU BOUBEYE MAIGA quand il a été incapable de réviser la constitution pendant son premier quinquennat .
Le combat à mener n’est pas celui politique,mais un combat pour la préservation de notre indépendance confisquée par la France depuis son intervention en 2013 refusant de se limiter à une intervention aérienne.
QU’ ON LE VEUILLE OU NON,NOTRE PAYS N’EST PLUS INDEPENDANT.
Le vieux SEYDOU BADIAN KOUYATÉ l’a dit et répété avant de s’éteindre.
On est plus capable de poser notre administration sur certaines parties de notre territoire sans l’autorisation des groupes armés manipulés par la France..
Notre ARMÉE ne sera réellement capable de défendre son territoire que si la France atteint son objectif:l’application intégrale et sans concession de l’ accord d’Alger .
Celui qui a prononcé un discours apaisant n’est plus celui que les MALIENS ont élu triomphalement en 2013.
Celui qui a prononcé le discours est un gouverneur de la France qui a participé à sa rédaction .
Ce discours rentre dans le cadre d’une stratégie aboutissant à l’application de l’ accord d’Alger ,seule préoccupation actuelle de la présidence.
OSER LUTTER ,C’EST OSER VAINCRE!
La lutte continue.
Ravag€$ aux Etats-Unis d’Amerique à l’ORGU€IL D€M€$UR€, avec plus de 10.000 décès recensés à ce jour. Un drame qui révèle les lacunes d’un système de santé majoritairement profondément inégalitaire, laissant sans aucun Filet de sécurité
Met en lumière ce “système” in€gal. “C’est d’abord un système à dominante privé, où la santé est conçue comme un bien privé, un bien marchand : les soins médicaux, les hospitalisations coûtent très cher”, explique Anne-Laure Beaussier, chercheuse au CNRS et auteure de “La Santé aux Etats-Unis : une histoire politique”.
Les assurances santé étant privées pour la plupart, les classes moyennes et plus modestes ne peuvent s’offrir leurs services à hauteur de plusieurs milliers de dollars par ans, ou bien se ruinent. “Le défaut de paiement des frais de santé est la première cause de faillite individuelle des habitants”
Une habitante de Boston a raconté au Time avoir dépensé 34.927 dollars pour seulement trois passages à l’hôpital. Ayant perdu son emploi, celle-ci n’a pu avoir accès à l’assurance santé dont elle disposait jusqu’ici.
“Vous perdez votre travail et votre assurance santé, c’est la double peine”
Aujourd’hui, des millions d’Américains doivent donc débourser des sommes astronomiques pour se faire soigner. Selon l’ONG Kaiser Family Fundation, une personne assurée dépense 1300 dollars en moyenne pour une hospitalisation
https://www.lci.fr/international/coronavirus-aux-etats-unis-un-systeme-de-sante-inegalitaire-a-l-epreuve-du-covid-19-2150343.html
Autre défi exposé par la chercheuse, auquel le gouvernement fédéral devra faire face : l’état de santé de la population. Ainsi, les Américains sont nombreux à souffrir de maladies chroniques, et en particulier d’obésité. D’après le National Center for Health Statistics, le pays comptait en 2018 plus de 93 millions de personnes obèses. Or, l’obésité serait un facteur aggravant du coronavirus et pourrait donc favoriser le risque de cas graves parmi la population.
En 2007, dans “Sicko”, son documentaire sur le dysfonctionnement du système de santé américain, le réalisateur engagé Mickael Moore se demandait : “Comment en est-on arrivé là ?”. Une question qui trouve une résonance particulière 13 ans plus tard, en pleine pandémie.
Le système américain en pleine FAILLIT€ !
Alors qu’il y a necessité, dans les pays de ces parasitoccidentaux à l’ORGU€IL D€M€$UR€
HCA Healthcare, l’un des plus grands groupes hospitaliers des Etats-Unis, a fermé des cliniques et des centres de soins ambulatoires, et réduit le nombre d’heures de travail de ses salariés. A Dallas, un cabinet de médecine générale a congédié un tiers de son personnel. Un réseau de santé à but non lucratif va temporairement mettre 700 collaborateurs au chômage.
temoignages.re/international/monde/etats-unis-et-crise-du-covid-19-preuve-par-l-absurde-de-la-faillite-d-un-systeme,97702
C’est dans ces situations que le “modèle” américain s’avérait comme un G€ANT aux pieds d’argil€ !
En pleine décrépitude, c’est la B€R€ZINA!
sudouest.fr/2020/04/05/hopital-de-nancy-tolle-apres-des-propos-du-directeur-de-l-ars-sur-des-fermetures-de-lits-7389454-10861.php
EXCELLENT DISCOURS!
LE MALI DOIT AVANCER DANS LA PAIX, LA DIGNITE’ ET L’UNITE’!!!
SI LES MALIENNES ET LES MALIENS TRAVAILLENT ENSEMBLE DANS LA MEME DIRECTION, RIEN NE SERA CAPABLE DE LES ARRETER!
Il y a des points que je juge positifs dans le discours du président, notamment ceux en rapport avec les concertations nationales et l’école.
Mais il faut absolument apprendre au président de la République le sens des expressions “mauvaise gestion” et ” mauvaise gouvernance”.
Pourquoi un Programme Présidentiel d’Urgences Sociales d’un milliard de FCFA alors que nous avons un ministère uniquement dédié à cette cause ? Il faut tout simplement que le ministère soit doté de moyens et compétences pour faire correctement son travail. Est-ce une autre façon de filer un milliard de notre argent à une bande de copains dans votre “loge ou enseinte” ?
En signe du respect aux 186 vies gratuitement perdues en trois jours, le premier ministre doit absolument démissionner. C’est important pour la crédibilité du régime et pour le futur de notre démocratie.
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