Déclaré partant de la primature à plusieurs reprises : – Enfin, Modibo Kéïta s’en va – Soumeylou Boubèye Maïga annoncé

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Partira, partira pas ? Cette question concernant le Premier ministre Modibo Keïta est revenue à plusieurs reprises pour accompagner des rumeurs de remaniement ministériel. Mais elle n’est plus d’actualité, tant son départ très prochain de la Primature est une certitude à l’heure actuelle. En effet, c’est un secret de Polichinelle que l’actuel chef du Gouvernement n’est plus dans le schéma de Koulouba, comme le laissent entendre des indiscrétions selon lesquelles l’actuel chef du Gouvernement a donné l’assurance de son départ, dès la fin de ce mois, à un membre du Cabinet du président de la République qui l’avait rencontré à cet effet. C’est tellement vrai que Koulouba est en train de déployer une nouvelle stratégie pour amorcer le dernier virage du mandat présidentiel. Ce qui passe par la nomination d’un Premier ministre  en mesure non seulement de conduire l’action gouvernementale avec plus d’efficacité, mais aussi pour apporter un plus, en termes d’action et de contenu politiques. Le remplaçant de Modibo Keïta ne pourrait, dans ces conditions, être considéré comme incolore et inodore au plan politique au vu du contexte dans lequel il doit évoluer. D’ores et déjà, Soumeylou Boubèye Maïga est cité comme l’homme de la situation.

Commé aux fonctions de Premier ministre par le Décret 0003 P-RM du 08 janvier 2015, en emplacement de Moussa Mara, Modibo Kéïta aura donc passé plus d’un an et demi à ce poste. Il a résisté à plusieurs remaniements ministériels, malgré qu’à chaque fois on le déclarait sur le départ. C’est parce que le Président IBK, pour des raisons que seul lui connaît, eu égard aussi à ses pouvoirs discrétionnaires, tenait à chaque fois à renouveler sa confiance au Premier ministre Modibo Kéïta, restant ainsi sourd aux sirènes qui en appelaient avec insistance à un changement de chef du gouvernement.

Mais il faut comprendre que pour le Président IBK, l’option d’un Premier ministre issu des rangs de la classe politique n’effleurait plus son idée. Après les déboires enregistrés suite à la nomination de Moussa Mara pris aussitôt en chasse par les cadres du parti du président de la République, le Rpm, qui réclamait à cors et à cris que ce strapontin lui revenait de droit en tant que parti majoritaire, Modibo Kéïta était donc une bonne alternative pour gérer la situation et calmer les ardeurs des uns et des autres.

C’est pourquoi personne ne pronostiquait pour lui un séjour aussi long à la Primature où on le considérait comme un missionnaire de quelques petits mois, le temps pour le Président IBK de mieux se situer sur le choix d’un Premier ministre présentant à la fois un profil administratif et politique.

Il se trouve que l’actuel président de la République, pour avoir vécu en tant que Premier ministre l’expérience de la cohabitation durant six ans, avec le Président Alpha Oumar Konaré issu de la même formation politique que lui, mesure mieux que quiconque les tenants et les aboutissants d’une telle situation. Nous n’osons pas affirmer qu’il n’en a pas tiré de bons enseignements, mais le contraire l’aurait encouragé à confier à son parti la gestion de l’action gouvernementale depuis son investiture.

Une logique qui a conduit à la nomination de Modibo Keïta

Seulement, le refus de nommer systématiquement un Premier ministre issu des rangs de son parti, le Rpm pourrait s’expliquer par une logique développée dès le lendemain de son élection à la Présidence de la République. En effet, regardant les cadres de son parti et des partis alliés les yeux dans les yeux dans le cadre d’une rencontre tenue au Centre international de conférence de Bamako (Cicb) IBK signifiait à cette assistance qu’il n’était pas élu par son parti. Une façon de rappeler la quasi-unanimité entretenue autour de sa candidature et qui lui a valu le score remarquable de plus de 77% des voix lors du second tour du scrutin. Un plébiscite que ne saurait s’arroger, à lui seul, le Rpm.

Si cette logique prévaut, l’on peut comprendre alors aisément le choix délibéré du président de la République de ne pas confier le poste de Premier ministre à un des cadres du Rpm.

Mais en nommant Moussa Mara, il s’était attiré des adversités dans son propre camp parce que le jeune Premier ministre, chef de parti politique, était déjà vu comme un dauphin potentiel. Et connaissant les antagonismes de Mara avec le parti du président de la République, le Rpm, contre lequel il a eu à mener une guerre acharnée pour le contrôle de la mairie de la Commune IV de Bamako, la base politique du Président IBK, cela sonnait donc comme une “trahison “, selon le terme employé par des barons du Rpm dans des réunions au niveau des structures de base du parti.

C’est dans ce contexte que Modibo Keïta, qui était déjà nommé par IBK, en Avril 2014, comme “Haut représentant de l’Etat pour le dialogue inclusif inter-malien”, s’est vu confier les rênes de la Primature où il a eu à séjourner auparavant sous Alpha Oumar Konaré, en 2002, après avoir été conseiller à l’Education au Secrétariat général de la présidence de la République et Ambassadeur du Mali en Allemagne, entre autres responsabilités assumées au nom de l’Etat du Mali.

Arguments pour maintenir Modibo malgré les sirènes du changement

Pour calmer les esprits retors et hostiles à sa nomination, on évoquait sa fonction précédente, notamment celle de “Haut représentant de l’Etat pour le dialogue inclusif inter-malien”, qui l’impliquait directement jusqu’à un haut niveau dans les négociations d’Alger ayant finalement abouti à la signature de l’Accord pour la paix et la réconciliation. Argument mis encore en avant pour, disait-on, lui laisser le temps et la possibilité de conduire la mise en application des dispositions de cet Accord. Si son maintien tenait en grande partie à cela, eh bien il aura donc échoué et doit partir.

Mais il y a mieux. Il s’agit du contexte de veille de la présidentielle de 2018 au cours de laquelle le Président IBK sera appelé à solliciter le suffrage des électeurs pour obtenir un second mandat. Avant cette échéance, IBK, accusé de gestion solitaire du pouvoir dans un contexte de crise qui nécessite l’implication de toutes les forces vives du pays, est en train de changer de cap,  rectifier le tir, pendant qu’il est encore temps. C’est pourquoi, le dialogue national qu’il a engagé avec les partis politiques et les acteurs sociaux est salutaire pour contribuer à débloquer beaucoup de situations au niveau de la vie nationale.

Dans pareil contexte, le Premier ministre Modibo Keïta n’a plus de place dans le schéma et doit faire place nette. Non seulement il ne s’est pas impliqué politiquement, mais ne fait aucun effort pour soutenir le président de la République dans ce sens, notamment en essayant de s’entendre avec le regroupement des partis de la majorité qui le voient comme celui qui a pris leur place et devrait donc collaborer avec eux.

Mais il nous revient que c’est le dernier souci de l’actuel locataire de la Primature qui refuse même de répondre aux sollicitations financières de cette majorité politique pour lui permettre de mener ses activités. Ce que pourtant faisait Moussa Mara, malgré l’hostilité qu’on lui affichait.

Rappelons que le Premier ministre, en dehors du salaire dû à son rang, bénéficie de fonds spéciaux communément appelés fonds politiques et qui s’élèvent à 25 millions de francs Cfa par mois.  Pourtant, le Président IBK l’a couvé en bravant même les responsables des partis de la majorité, leur répondant que si le Premier ministre refuse de leur donner de l’argent, c’est la preuve qu’il est sérieux. Apparemment, les rôles étaient renversés : à plusieurs reprises, le président de la République est allé au charbon pour défendre le Premier ministre qui n’a pourtant montré aucun signe que lui, en contrepartie, joue bien le rôle de fusible pour le chef de l’Etat.

Mais on n’en est plus là. IBK a beau défendre le Premier ministre contre les attaques, d’où qu’elles viennent, le Premier ministre doit comprendre qu’il est dépassé par les événements et le pays a vraiment besoin d’une reprise en mains. Mais c’est au moment où on s’attendait le plus au départ du Premier ministre Modibo Keïta que celui-ci s’accrochait, parvenant ainsi à survivre à plusieurs vagues de remaniements ministériels.

Modibo Keïta disqualifié par le contexte national

Seulement, avec le contexte actuel, dans lequel le Président IBK cherche à rassembler le maximum d’acteurs politiques et de la société civile autour de lui pour relever les défis, tirant les enseignements des trois années de gouvernance passées, il faut un Premier ministre en mesure d’insuffler du dynamisme à l’action gouvernementale par une approche de rupture, mais aussi être en mesure d’alimenter et d’entretenir le dialogue national enclenché.

C’est pourquoi, las d’attendre une réaction en ce sens de l’actuel Premier ministre, des signaux lui ont été envoyés avant qu’un proche du Président IBK ne se décide de lui faire comprendre la nécessité de rendre sa démission pour mettre à l’aise le président de la République qui lui a tout donné pour lui permettre d’assumer ses responsabilités comme il se doit. Mais force est de remarquer, lui fait-on comprendre, que cela ne marche pas à son niveau et son départ permettra de mieux amorcer le changement de cap. Ce message a été bien compris par l’actuel Premier ministre et il nous revient que sa démission est attendue au plus tard dans la première semaine  de ce mois d’octobre.

Soumeylou Boubèye Maïga, l’homme de la situation

D’ores et déjà, on parle de la nomination prochaine de Soumeylou Boubèye Maïga (SBM) pour le remplacer à la tête de la Primature. Soumeylou est pressenti depuis plusieurs mois et nous avons eu à en parler dans les colonnes de ce journal, avant sa nomination au poste de secrétaire général de la Présidence de la République où il est en train de faire ses preuves. En effet, la touche SBM, sous-tendue par une forte expertise administrative et une très grande expérience politique, contribue beaucoup au rapprochement entre le Président IBK et la classe politique du pays. En plus, dès son installation comme secrétaire général, il a réuni tout le personnel pour annoncer les couleurs : le changement à conduire afin de rendre plus efficace l’action présidentielle.

IBK-SBM, le ticket gagnant ?

De toute façon, le compagnonnage IBK-SBM est en train de produire ses premiers effets car le président de la République est en train de rectifier certaines erreurs, notamment l’absence de communication entre lui et les forces vives du pays, en plus de  l’absence d’autorité au niveau de la vie de l’Exécutif du pays.

Il nous revient qu’un énorme ballet a eu lieu en son temps au Palais de Koulouba pour dissuader le Président IBK de nommer SBM au poste de Premier ministre, dès que l’intéressé a été cité il y a quelques semaines, comme un des meilleurs premiers ministrables en remplacement de Modibo Keïta. Et des confidences de nous rassurer que le président de la République a certes pris son temps en reconduisant temporairement Modibo Keïta et amener SBM à faire le détour au Secrétariat général de la Présidence de la République, mais sa destination finale est bien la Cité administrative pour s’asseoir sur le fauteuil de Premier ministre.

Ce serait bien rendre à SBM l’ascenseur. En effet,  bien que président de parti politique (Asma) il s’est engagé bien avant le premier tour à se ranger derrière IBK. Les deux hommes ont été vus partout ensemble dans le pays pour solliciter le suffrage des électeurs et pendre ensemble des engagements pour la gestion du pays. Au contraire de tous les autres chefs de partis qui ont participé au premier tour pour jauger la direction du vent avant de s’orienter avec elle vers le soutien à IBK au second tour.

 A.B. NIANG

Commentaires via Facebook :

23 COMMENTAIRES

  1. Bonjour,
    Cher frère, El Hajj Niyefôkoyesegou, je souhaite être nommé Premier Ministre du Mali pour éviter toue sorte de crime dans un Mali Un et Indivisible.

    Contrairement à ce que vous dites, au Mali, on n’a pas besoin de faire des crimes pour être nommé PM.

    Prenons-nous la main dans la main et créons un Mali de paix et de prospérité tout en garantissant la non impunité.

    Appliquons l’article 46 de l’accord de paix qui condamne tout crime (crime de guerre, crime contre l’humanité, violations du droit international humain, …).

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et sécurité
    TEL 00223 95 58 48 97

  2. NIANG !!!! monsieur le diogar, combien de billets de 5000 f cfa mon cousin soumeylou boubeye HAIDARA, EUH….MAIGA. vous a paye pour le the et la viande, avant cet article….

    C’ EST VRAIMENT RIDICULE….SOUMEYLOU PRESIDENT!!!!
    SOUMEYLOU PRESIDENT!!!!

  3. PAR LA PUISSANCE DU KHOMO, LA PUISSANCE DU GNAH, LA PUISSANCE DE TOUS LE BOLIW DE TOUS LES PEUPLES TOUAREGS, MARAKA, BAMANAN, SENOUFO, PEULH, SONRHAI, DOGONO ET BOZO, SANS OUBLIER LES BOLIW BOBO, DAFIN, SAMOGO, KHASONKE, MINIANKA, MALINKE,DIOULA, MOSSI….JE VOUS DECLARE MR. Dr ANASSER AG RHISSA, PREMIER MINISTRE DU MALI

  4. Je crois que le probleme du Mali n est pas une question de competence. C est surtout une question de tête. Puisque quant votre tete ne plait pas et que vous n avez pas d affinités allez vous faire voir avec vos competences. On s en fout de vous. Dans ces conditions difficilement on peut s en sortir.Que dieu sauve le Mali. Amen

  5. Dr ANASSER AG RHISSA PRÊT A SERVIR LE MALI EN TANT QUE PREMIER MINISTRE

    Bonjour,
    Dans la situation actuelle du Mali caractérisée par un embrasement (insécurité croissante) tendant à se généraliser et compte-tenu du fait que des décisions, aux niveaux national et international, ont été prises pour la mise en œuvre diligente et rapide de l’accord de paix, il serait judicieux de prendre comme Premier Ministre soit :

    – Mahamadou Diagouraga, l’actuel Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali.

    – ou un ressortissant du nord du Mali, soit Abdoulaye Idrissa Maïga ou Soumeylou Boubèye Maïga ou un Touareg de la société civile comme Dr Anasser Ag Rhissa.

    Abdoulaye Idrissa Maïga, ayant occupé la fonction de Ministre dans trois gouvernements et dans trois ministères différents et, en plus, étant ressortissant du nord du Mali, serait un excellent Premier Ministre mais à la veille des élections, qui pilotera le RPM avec comme vision d’unir et de gagner les élections 2018 ?

    C’est peut être le meilleur candidat pour cet aspect : être Président du RPM.

    Soumeylou Boubèye Maïga, bien qu’excellent, pouvant occuper le poste de Premier Ministre, serait plus adapté, pendant encore au moins six mois, au poste de Ministre Secrétaire Général du Président dont il a déjà impulsé la dynamique.

    Après, le Président IBK pourra le choisir comme Premier Ministre afin de l’aider, en liaison avec le RPM, à préparer la Présidentielle de 2018.

    Porter le choix sur un Tamasheq (Touareg) sera très judicieux et sera un excellent choix, comme au Niger, compte-tenu des contextes national et international.

    Ag Erlaf ne serait pas la solution idoine, il a déjà un département ministériel lourd à gérer avec des répercussions importantes sur la mise en œuvre de l’accord, cas de la mise en place de la régionalisation dans le cadre de la décentralisation poussée et des autorités intérimaires.

    Un autre Touareg, comme moi-même, Dr Anasser Ag Rhissa, ressortissant de la Région de Gao, serait le meilleur choix, car je suis apolitique, équidistant de la majorité et de l’opposition, pouvant unir et travailler avec les Maliens de tous les bords politiques, à l’écoute des problèmes de tous les Maliens, pour leur bonheur et connaissant l’accord de paix de sa conception et sa dissémination dans tout le Mali.

    Je suis actuellement Président de l’ONG TILWAT International, je suis Expert TIC, Gouvernance et Sécurité, je gère une passerelle internet, à travers des lettres ouvertes en ligne et des contributions, sur la paix et la réconciliation au Mali depuis 2012, et je suis animateur des séminaires sur la sensibilisation sur l’accord de paix et sa dissémination aux niveaux national, régional et communal, sur la régionalisation dans le cadre de la décentralisation poussée et sur la bonne gouvernance et les TIC au service de la sécurité, du vivre ensemble, de la cohésion nationale et du développement durable.

    C’est au Président IBK de faire son choix définitif, pour le Mali et pour le bonheur des Maliens.

    Bien cordialement
    Dr ANASSER AG RHISSA
    Expert TIC, Gouvernance et Sécurité
    E-mail : [email protected]
    TEL 00223 95 58 48 97

    • Il faut prendre les armes et faire verser suffisamment de sang.Ta nomination sera fonction de la gravité du crime

      • Bonjour,
        Cher frère, je souhaite être nommé Premier Ministre du Mali pour éviter ces crimes dans un Mali Un et Indivisible.

        Prenons-nous la main dans la main et créons un Mali de paix et de prospérité tout en garantissant la non impunité.

        Appliquons l’article 46 de l’accord de paix qui condamne tout crime (crime de guerre, crime contre l’humanité, violations du droit international humain, …).

        Bien cordialement
        Dr ANASSER AG RHISSA
        Expert TIC, Gouvernance et sécurité
        TEL 00223 95 58 48 97

    • dr. par tous les ESPRITS DES PEUPLES PRIMITIFS DU MONDE , JE VOUS DECLARE PREMIER MINISTRE ET MEME PRESIDENT DU MALI POUR TOUT LE MOIS D’ OCTOBRE!

  6. Chacun a sa strategie pour rester au centre de l’actualite’!!! Pour certains c’est la marche dans les rues! Pour d’autres, c’est utiliser la presse pour vehiculer des rumeurs!!!
    Nous sommes les dindons de cette mauvaise farce!!!
    QU’IBK NOMME LE BAOBAB TERRASSE’ PAR SONDJATA COMME PM! ET APRES???
    L’ESSENTIEL EST DE FAIRE SORTIT LE MALI DE L’IMPASSE!!!
    Mes amis, il faut avoir la mentalite’ ou connaitre la pensee qui a cree’ un probleme pour pouvoir resoudre ledit probleme!!!! TANT QU’ON NE PEUT PAS SE METTRE A’ LA PLACE DE L’AUTRE ET TENTER DE VOIR LE PROBLEME SOUS SON ANGLE, ON NE PEUT PAS RESOUDRE LE PROBLEME QU’IL A CREE’!!!
    CE NE SONT NI QUESTION DE BRAVOURE NI QUESTION D’INTELLIGENCE! C’EST PLUTOT UNE QUESTION DE SAGESSE!!!!!!!!!!!!!!!!!

  7. Le deuxième mandat de IBK signifierait beaucoup de choses. Vive le Mali au grand plaisir de ses dignes fils et qu’ils soient maudits à jamais les voleurs du dernier public.

  8. D’ailleurs la nomination de Soumaila a prouvé au peuple Malien que le président IBK n’est pas l’homme du changement que nous avons souhaité mais celui de la continuité dans le mensonge du vol de la démagogie, de l’amateurisme et du favoritisme.

  9. Nos journalistes sont de GROS MENTEUR à moins qui ai le même marabout que IBK ! Moi je suis fatigué des rumeurs , donc j’attends un fait réel !

  10. Et POURTANT CE PAYS TANGUE ! ALORS, Le choix de gouvernants doit être fortement réfléchi , l’ère n’est plus au tâtonnement, l’HOMME QU’IL FAUT A LA PLACE QU’IL FAUT . PEUT IMPORTE LA COLORATION POLITIQUE , LA QUALITE DOIT ETRE DETERMINANTE

  11. Le president est libre de choisir qui il veut!!! L’actuel PM a fait un bpn boulot. Je sais que l’age avance et il merite sa retraite mais s’il peut accompagner le president pour le reste de son premier mandat, ce serait une bonne chose pour le Mali!!! En ce qui concerne le petit Maiga, je prefere me taire!!!
    We must be very careful because the trend is clear!!!

    • IBK n’aura pas un 2è mandat inchala et quand au choix de Soumeylou ,on constate qu’il n’y à plus de cadres au Mali c’est tout ce qui explique ce va et vient de SBM dans le gouvernement.

  12. Eh Allah ! 😵😵 Toujours déshabiller aveuglément Saint-Pierre pour habiller Saint-Paul ? Le changement qui vaille, le départ qui sert aujourd’hui n’est pas celui de Modibo mais de Ibrahim Boubacar KEÏTA !

    IBK DÉGAGE !!!!!!!!!!!!!! 😎😎😎😎😎😎😎😎😎

    • Lol, partira, partira pas? D’après Mr. Niang. lol
      En tout cas rien n’est eternel a ce que je Sache.
      Le PM Keita bien qu’etant un vieux crocodile et requin de la politique malienne et des spheres de l’etat n’a pas été mal.
      Les infos et les intox sortent de partout dans ces temps de lèche bottes et ladji bourama woloni kabakoh alias IBK a le dernier mot encore une fois. Mais pour combien de temps si rien ne bouge pour le Meilleur?
      A suivre … Mr. Niang fouillez Koulouba et ramenez nous encore et encore plus. Lolololll .

      • Le MALI d’IBK donne de la nausée . En effet comment expliquer le retour aux affaires de quelqu’un qui a saccagé le trésor public avec la complicité d’opérateurs économiques et certains membres du clan IBK alias CAUSA NOSTRA malienne. Boubèye est le pire cadre malien de ces 25 dernières années.Jugez-en vous mêmes:déjà chef de cabinet d’ATT sous la transition ,son nom était cité dans des affaires louches.Puis vint au pouvoir son mentor KONARE qui le nomme à la tête de la très sulfureuse sécurité d’état.C’est là qu’il se livre aux coups les plus bas contre l’opposition,la majorité,les élèves et étudiants,les syndicalistes,les opérateurs économiques,et même contre les artistes et les artisans à l’époque.Cet homme sans vergogne s’est même couché avec des femmes de certaines de ses cibles pour les faire “chanter” après.A la belle époque du COPPO(collectif de l’opposition ) l’argent coulait à flot et Boubèye avec sa caisse noire tenait le Mali d’Alpha et d’IBK.Cet homme de sinistre mémoire est allé jusqu’à vendre son pays aux algériens qui sont les pires ennemis du Mali puisqu’alimentant toutes nos rébellions dépuis 1990.A l’arrivée d’ATT 2 ,il fait pieds et mains auprès de ce dernier pour être dans les grâces du nouveau pouvoir ,celui -ci le connaissant bien s’en méfiait comme de la peste.Petite traversée du désert ,l’homme qui ne conçoit pas sa vie sans les privilèges,les prébendes,les ors et les honneurs de la république a failli disparaître de la scène politique malienne.Puis ATT en fin de parcours se cherchant dans des difficultés de tous ordres n’a rien trouvé de mieux que de faire appel à Boubèye pour diriger la diplomatie malienne.Mal lui en a pris car cet homme là n’est pas digne de confiance ,il retourna sa veste contre ATTaprès le stupide coup d’état des malfrats de Kati en s’alliant à IBK son vieux complice et le plus grand soutien des puschistes. Nommé ministre de la défense,pour reconstruire une armée en lambeaux,Boubèye et le clan IBK -CAUSA NOSTRA ont fait le CASSE du siècle en empochant plus de 67milliards de nos francs laissant notre armée orpheline sans armes ,sans munitions et le moral au talon.Depuis le Mali vit de défaites en défaites ,d’humiliation en humiliation.Arrêté à Paris et gardé à vue pendant 48heures(humiliation suprême) ,il dévoile tout le vol d’IBK et de “ma famille d’abord”et leur complicité bien établie avec TOMI le grand mafieux corse qui est dans le viseur de la justice française pour corrup^tion d’agents publics étrangers. Comme il tient IBK,sa femme ,son fils Karim et tous les autres membres de la CAUSA NOSTRA malienne de Sébénicoro ,il les fait chanter pour accéder à la primature,ils vont accéder à sa demande ,ils n’ont pas le choix et tant pis pour la réputation du Mali déjà sérieusement entamée sous le magistère du vieux briguant IBK.

        • Et voilà kopin Paris Djata,
          Sans parler des autres vieux requins, crocodiles, coyotes, loups, rapaces, vautours , anacondas et vampires de Notre Maliba qui là depuis plus d’un quart de siecle de AOK a ATT et IBK aujourdhui.
          Nos politicards pouvoir et opposition confondus sont du pareil au même, du même père et de la même mère: bons discours et paroles avant après vols, detournements, abus, escroqueries et j’en passe.
          C’est au peuple malien de se reveiller sinon Changement, il y aura Jamais .

        • Malgré toutes ces allégations il est toujour au pouvoir, Dieu a vraiment bénit boubeye avec son destin

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