Le 19 avril 2012 au cours d’une conférence de presse, les membres de la COPAM ont donné leurs avis sur l’accord cadre signé à Ouaga et les armements qui auraient été trouvés au domicile de Modibo Sidibé.
Selon le président de la Coordination des organisations patriotiques du Mali (COPAM), la majorité des participants qui ont fait le déplacement de Ouaga a accepté la position de la COPAM par rapport à la sortie de crise proposée. «Si les 40 jours de Dioncounda Traoré sont finis aucun juriste du monde ne peut dire comment diriger le Mali», a-t-il indiqué. «Si les 40 jours sont épuisé ont délogera Dioncounda pour respecter la Constitution du 25 février 1992», a laissé entendre le président de la COPAM. Mais bizarrement, il dit qu’il faut privilégier le Mali et non l’intérêt personnel.
Prenant la parole, le Dr Oumar Mariko du parti SADI dira que c’est à cause de certains et du pouvoir déchu que les Maliens se sont retrouvés à Ouaga pour discuter de l’avenir de notre pays. «Dans ce pays on a trop récolté les impunités. D’autre part Oumar Mariko : «De 1997 à nos jours, notre pays n’a pas fait des élections transparentes et crédibles». Après ces deux interventions, les hommes de média ont pu poser plusieurs questions.
Lassana Coulibaly
Jamais dans l’humanité, je n’ai autant eu peur d’être malien que ce moment dont nous vivons. Le Malien est devenu la rusée des gens mal intentionné, des affabulateurs incontesté animé de jalousie de haine.
Dieu à dit l’égoiste trainera dans la boue dans ce monde jusqu’au- delas. Pourquoi calomnier sur son prochain, pauvre journaliste tu finiras ta vie comme les autres égoistes, des lèches Q de politiciens.
Pourquoi ton mentor le capitaine fuyard n’a osé dire quoi que ce soit dans cette salle affaire monté de toute pièce enfin de discrédité un citoyen honnête. Fils de pauvre, marionnette à la solde des arrivistes.
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