« Ce que tu n‘as pas conquis par les armes n’espère donc pas le conserver par les larmes », enseigne le chansonnier Ouolof. Et les larmes du premier ministre Cheikh Modibo Diarra sont devenues de plus politiquement incorrectes. Il en avait fait usage en réponse à l’agression innommable du président Dioncounda Traoré, le 21 mai dernier, dans son cabinet de travail, à Koulouba, loin du tumulte de Bamako. Il l’a ressorti, comme une recette qui marche, à Paris, en direct sur Rfi, devant des compatriotes médusés. Et pourtant, en politique, les seules larmes qui vaillent sont celles de la rage contenue qui aiguillonne celle de vaincre.
Le dernier ressort qui permet de s’indigner, de corriger et de prendre ses responsabilités. Et non celles qui témoignent de l’aveu d’impuissance, de la sensiblerie et des prémices de l’abandon de la lutte, donc du manque de courage, pour faire front. Or, et il devrait le savoir : « quand on sait que la vie des autres et le courage des autres dépendent de votre vie et de votre courage, on n’a plus de droit d’avoir peur’’. Une maxime connue de ceux qui, nés sur les remparts, ont construit le Mali.
Ce que l’on veut que le ‘’Martien’’ nous insuffle, c’est du dynamisme, du punch, de la détermination, du sang neuf, bref cette témérité qui engage à ne pas laisser le pays qu’il dirige aller dans tous les sens et nulle part. Ce qu’on voudrait qu’il véhicule, c’est le cap à donner pour une Nation meurtrie par les épreuves et non qu’il se fasse le vecteur d’une histoire d’une jeune journaliste à cornaquer à Paris. Non P.M, l’essentiel est ailleurs. Non, P.M, le Mali est ailleurs.
Il est, indiscutablement, dans le Nord à reconquérir, il est dans le retour des partenaires au développement, il est dans le retour du droit, de la paix et le refus du déni de justice. Il est dans ces milliers de Maliens, en de pays autres, battus des mille pluies d’hivernages étrangers, à ramener. A recouvrir de dignité et d’avenir et non dans la désignation d’un beau frère, d’un frère, d’un accointant politique. En somme en la mise en place d’un gouvernement à l’identique de celui par lequel la rupture républicaine est intervenue avec son cortège de démocrates morts pour la patrie, le 26 mars, il y a 20 ans.
Cheick Modibo Diarra, même si on voulait l’accompagner, au non de situations délétères, au nom du Mali, on ne pourrait pas, tant sa méconnaissance du pays, de ses problèmes, des rouages de la haute administration et tout autant de ses compatriotes est grande. Tant il peine à se frayer un chemin comme en témoignent mêmes les analystes internationaux qui ne lui veulent pourtant que du bien (en l’absence de feuille de route on voit mal quel va être son plan d’urgence pour le pays, relèvent-ils)
Le challenge dans lequel il est engagé n’est pas celui de la lente et savante construction. Que nenni. Il est celui du défi du vite et bien, de la compétence, de l’anticipation et de la vision concrète, réaliste et juste. C’est le challenge du saut obstacles, plutôt que la marche d’endurance. Il n’a pas le temps pour cela ! Dans un pays où les voyants ne sont pas seulement au rouge, en fait il n’y’a même pas de voyants, il faut plus que l’attitude contemplative d’un chef, une politique de petits pas pour rattraper le temps politique perdu, les gains économiques ensevelis. C’est seulement de cette façon qu’il ne laissera pas s’installer l’image d’un homme qui a atteint ses limites, qui a fini avant même d’avoir commencé.
Il lui faudrait, par un charisme extraordinaire, une autorité visible et la justesse de ses choix s’imposer. Ou se démettre. Car le but de sa mission n’est pas de venir, lui ‘’le sécheur de larmes’’ s’ajouter aux quatorze autres millions de maliens qui pleurent leur pays. Il est dans la posture du sauveur et lui est interdit cette manœuvre grossière de mise en place d’une galaxie politico- familiale qui ne le servira en rien, ni lui, ni le pays.
Car les questions sont nombreuses de savoir qui remettra désormais le barrage de Taoussa, l’autoroute de Ségou, les usines fermées, les bailleurs en fuite et les mille initiatives contrariées. En somme toute cette économie par terre (lire notre analyse dans le Républicain du 14 juin dernier). Son rôle c’est de faire regagner confiance, de l’intérieur comme à l’extérieur. Avoir un plan et non courir à gauche et à droite comme un pompier dépassé par les flammes. Ou de ce laborantin, sans réelle emprise sur ses instruments.
Et pour ne pas laisser cette impression, le Premier ministre ne peut continuer à agir en faisant fi de la classe politique, de la société civile et même des cadres étatiques. Il ne peut se comporter comme si le pays est à sa botte. Il ne peut continuer à exister s’il trahit l’esprit de l’Accord Cadre qui assoit sa légitimé et qui appelait à la composition d’un gouvernement d’union. S’il ne s’y résout pas, les bailleurs ne reviendront pas, s’il ne s’y résout pas l’indispensable reconnaissance internationale ne lui sera pas acquise.
Voila la première équation à résoudre. Elle est tout aussi le premier point d’une feuille de route qui se fait attendre.
S. Elkounta
Personnellemnt quelque soit les émotions qu’un homme politique peut avoir, verser des larmes et en plus en public est inadmissible. Un homme qui a le sort du Mali entre les mains ne peut se le permettre. Si lui il pleure ainsi, nous qu’est ce qu’on fera? On se griffe jusqu’au sang? Peuf… Tout simplement pas possible…..
depuis que je lis ce journal, il a ete toujours pro-att et consorts. pourquoi c’est maintenant qu’ils critiquent alors que le gvt att et l’assemblee trompaient le peuple.
ce jouirnal n’est aps objectif. il n’a jamais critiquer les actes poser par att.
Je suis satisfais quand je lie toutes ces reactions sur les articles diffamatoires sur Le Premier ministre CMD. Je comprend par là que ce gouvernement peut et reussira. Vous n’arriverez jamais à nous convaincre par vos sales idées.
En quoi l article est diffamoatoire la video de ses pleurs est sur maliweb !Le premier machin de Sanogo est au service des mutins de Kati et de la restauration de son beau pere (GMT) Ce gouvernement de petit copains ne peut reussir pour le Mali il nous faut un vraui gouvernement d ‘union au service du peuple malien et non de l ancienne UDPM.
Je presume que celui qui a ecrit ce chiffon a été temoins des faits qui ont eu lieu a koulouba le jour de l’agression de Dioncounda; Un etre humain ne saurait pas avoir ce sentiment de tristesse et d’amertumne quand tu vois un autre homme battu a terre preque nu ;
Vraiment ces journalistes ne font pas honneur au pays, je pense qu’ils ont une autre mission républicaine, celle d’unir les Maliens par des propos pour vaincre les touaregs apatrides du Nord.
Tant que ces journalistes ne perçoivent rien de quelqu’un, ce sont des critiques, des diffamations, des mensonges…
S’ils perçoivent quelque chose d’autres comme le FDR, c’est la prostitution intellectuelle à tout prix.
ça ne m’étonne guère, n’importe qui exerce ce métier au mali, même les non-diplômés.
On aura tout vu dans ce pays.
Tu penses vraiment que nos journalistes ne font pas honneur au Mali? OK, C’est vrai dans certains cas.
Mais tu crois qu’un 1er Ministre qui nous parle d’urgence de la situation mais qui n’a toujours pas été foutu de proposer à qui que soitla moindre feuille de route depuis qu’il est là, c’est pas beaucoup plus grave pour l’honneur du Mali?
Et quand devant toute la presse française, il fait son numéro lamentable de chialerie infantile, c’est carrément le honte pour le Mali et pour nous tous! Tu crois pas?
Le Premier Ministre est un Digne Fils emmerite de ce pays et Il se sacrifie pr son pays comme tous les vrais fils, nobles et integres qui se sentent concernEs en ce moment. Moi je ressents que de l indignation a la lecture de votre article S Elkounta, j avoue que je desesperE de notre presse ecrite. CMD ne pleure pas par faibless mais par honte, honte des reactions comme la tienne, honte de l incapacitE du malien a ouvrir les yeux sur le tort qu il vehicule autour de lui et partant a soi meme, honte de la recompense qu on reserv a la bonne foi ds ce pays. ce Monsieur merite le maximum de respect et d accompagnement car ce qu il est entrain d essuyer comme effort est peut etre la seule voie qui va nous eviter une catastrophe. tout comme le Premier ministre je trouve que l heur n est plus aux accusations et critiques inutiles et insencEs, mais il est bien souvent de rappeler ceux qui manque de vertu a la raison. votre article me fait honte Elkounta vous devriez en tant que journaliste vs soucier de l avenir du pays pas des considerations personnels. Quel domage pr le Mali!!!
L’HOMME est de nature insatisfait. Et si le PM riait en évoquant la question de l’agression de Dioncounda quelle serait la réaction des Maliens ?
Je n’en sais mais en tout cas les mêmes personnes qui ne voient aucune sympathie dans les pleures sauraient trouver des arguments nécessaires pour qualifier tout autre réactions contraires.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES!
ILS SONT TOUS PAREILS LES HOMMES POLITIQUES. C’EST LA PEUR DE LEURS INSTITUTIONS QUI FREINENT LES ARDEURS DES UNS ET DES AUTRES.
QU’AVONS-NOUS FAIT EN SON TEMPS POUR RENFORCER NOS INSTITUTIONS AFIN DE MIEUX ACCOMPAGNER ATT? NOUS NOUS SOMMES COUCHES ET IL A MARCHE SUR NOS DOS. NOUS NOUS SOMMES COUCHES ET IL A NOUS A ENTERRES VIVANT.
NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES. BALAYONS DEVANT NOS PORTES.
NOS DIRIGEANTS DOIVENT AUSSI COMPRENDRE QUE LES INSTITUTIONS FORTES EXISTENT AFIN D’EVITER DES DERIVES. ATT ET LES PARTIS POLITIQUES LES ONT AFFAIBLIES A LEUR DEPENS.
NOUS RECOLTONS CE QUE NOUS SEMONS. NOUS PAYONS/PAYERONS TOUJOURS NOS COMPROMISSIONS.
Votre promptitude à la critique est sans limite. Laissez le PM travailler!!!
Qu’avez-vous fait ou dit durant le règne d’ATT? Rien!!!
Ca ira mieux pour le PM, et donc pour le Mali, le jour où il comprendra que Sanogo, qui l’a pourtant choisi à la place des maliens, ne se trouve pas du bon côté de l’histoire. Pour le moment, il continue de danser la musique de la bande à Sanogo, c’est à dire diaboliser la classe politique alors qu’eux mêmes n’ont pas la moindre légitimité; refuser l’intervention de la CEDEAO pendant que personne n’aimerait vivre ce que nos compatriotes du nord vivent actuellement, et que la solution ne viendra ni par la négociation, ni par l’armée malienne. Si une proche du PM avait été violée par les bandits du MNLA, je suis sûr qu’il n’aurait pas le même regard sur la situation. Alors qu’il sache que Sanogo n’attend que de passer devant la justice de l’histoire, qui ne lui accordera aucune amnistie tant il a fait du mal à son peuple, et de travailler avec ceux qui veulent réellement le bonheur du Mali.
Bonne analyse, Elkounta. Dommage qu’on ne puisse que rarement vous lire sur ce site. On attend un gouvernement crédible, un gouvernement d’union. Pas celui de AHS.
Va te faire voir toi et ton ami journaliste,laisser le Mali retrouver sa srenité.Vous devenez ègoistes envres le peuple Malien,mais je vous jure que vous ni pourrez rien.Car ce pays n as pas besoin des apatrides coe toi, ton journaliste et autres politiciens assoifes du pouvoir.Si c est aussi le PM ou Sanogo le malheur du Mali tu verra qu ils n iront nul part, car Dieu juge tout le monde par les actes que l on pose.Wait and see!
Donc vous ne supportez pas la critique pas etonant de la part d’une allience de putchiste de restaurateurs du regime de Moussa et d un PM qui est plus interesse a faire balader une petite Maiga de Bamako a Paris que de liberer les Maigas de Gao (:-)
Je pense qu’on l’accorde du temps, in Cha allah ,le PM CMD va relever ce defis.
Après quelques mois d’exercice du pouvoir, l’astrophysicien commence à faire la différence entre équations politiques et équations mahtématiques.La politique est une matière qui échappe à toute logique et il faut très subtile pour résoudre les multiples qui jalonnent le parcours.CMD a comme l’impression ne pas être compris par les Maliens.Il n’avait pas mesuré la complexité de la matière.L’espoir qu’a suscité son arrivée n’est pas être deçu et il n’a pas droit à l’erreur,sinon c’enest fini pour lui.S’il pense avoir la paix dans cette situation, qu’il se détrompe.Il faut qu’il se montre en politicien convaincu en fonçant la tête baissée et qu’il évite l’erreur qu’a commise ATT plaire à tout le monde.Pas d’omolettes sans casser des oeufs.Pour faire du bien il va faloir déranger certains pourvu que celui-ci profite à l’intérêt général.Les larmes à ce niveau ne servent à rien et les gens veulent des actes concrets.Et il faut agir vite.
Entre manque d’anticipations et bonne foi: le pilotage à vue, marque de fabrique du Gouvernement Cheick Modibo Diarra.
Mis sur orbite en avril 2012 dans les moments les plus sombres de l’histoire du Mali indépendant, le Gouvernement Cheick Modibo Diarra, même si il n’est pas “d’union nationale” a reçu un large soutien des milieux politique, civile et militaire.
Ainsi, il est l’une des rares choses qui ont fédéré autant de maliens depuis le 22 mars 2012 à cause notamment de l’estime, de la confiance et même de la sympathie de nombreux maliens à la majorité des hommes et des femmes qui la composent.
Mais depuis les événements du 30 avril 2012 (qui ont vu l’arrivée en force du Cnrdre au devant de la scène après la guerre des bérets), et les chaudes négociations entre la junte et la Cedeao sur la conduite du pays au terme des 40 jours de l’intérim du Président Dioncounda, jusqu’aux événements du 21 mai 2012 (attaques inédites du président dans son bureau par des manifestants), de plus en plus de maliens se posent la question si toutefois le gouvernement Cheick Modibo Diarra est à la hauteur de la crise que traverse le pays.
Ces interrogations sont confortées, non seulement, sur la gestion sécuritaire au sud avec l’omniprésence d’une junte qui lui fait de l’ombre, au grand désarroi des chancelleries occidentales et des partenaires techniques et financiers qui ne cachent pas leur hostilité à un régime d’exception et militaire, mais aussi et surtout à l’absence d’options claires dans la gestion du dossier du nord.
Négociations ou guerre ouverte, intervention militaire étrangère ou non aux troupes étrangères pour récupérer le nord, la position du Gouvernement peine à se dessiner au détour de déclarations ambigües et de démarches confuses.
C’est vrai, il n’est pas facile de reprendre en vol autant de dossiers brulants et de les traiter avec doigté surtout quand on a pas une très grande expérience de gouvernance, dans un pays où la puissance publique tend vers zéro, les acteurs politiques faussent le jeu des pouvoirs, le patriotisme et le respect de la chose publique sont à redéfinir.
Mais gouverner c’est prévoir, et la première grosse erreur du Gouvernement Cheick Modibo est de ne pas d’entrée de jeu marquer son territoire (malgré le “plein pouvoir”) et de dégager ses objectifs stratégiques et ses grandes orientations tout en faisant l’inventaire des rapports de forces et des moyens humains, financiers, matériels, diplomatiques, socio-politiques et militaires dans le but de tenir très tôt un langage de vérité envers toutes les parties prenantes, une volonté ferme de réconcilier tous les maliens qui tiennent à la patrie, sans exclusive aucune, et d’aller de l’avant dans la normalisation politique et dans la récupération du nord du pays.
Cet exercice aurait pu empêcher les événements malheureux du 30 avril et du 21 mai et faire l’économie de deux procédures judiciaires pour le pays.
Dans une moindre mesure, les mêmes failles de gouvernance, permettent aujourd’hui aux hommes armés de s’adonner à un exercice parallèle et grave de pouvoirs exécutif et judiciaire, comme cela fut le cas lors de l’incursion dans les locaux d’Africable d’individus non identifiés le 12/06/2012, et de l’arrestation d’un certain Daou réputé proche d’ATT, pour ne citer que c’est deux.
Et à chaque fois, le constat est le même, un aveu criant d’impuissance du gouvernement, et comme par magie à chaque fois il ne savait rien et il n’a rien vu venir.
En tout cas c’est l’impression donnée à travers ses communiqués radiotélévisés tardifs qui laissent plus d’un malien sur leur faim.
Trop facile comme alibi et mode de gouvernance, sinon les écoliers de l’école Mamadou Konaté, au quartier du Fleuve à Bamako ou ceux de l’école de la République à Bagadaji, pourront aisément et légitimement réclamé le poste de premier ministre du Mali.
Alors les mathématiciens et astrophysiciens à la tête actuellement du pays, doivent vite nous calculer la limite, lorsque la puissance publique tend vers zéro, de la fonction du pouvoir transitoire dans un domaine de définition restreint et fermé à gauche par la fausseté du jeu politique par les principaux acteurs et fermé à droite par le manque de civisme.
Sachant que toute démission est une indétermination.
Mes chers amis, l’état n’est pas un organe immatériel ou volatile, il est composé d’institutions, de services centraux et déconcentrés de l’administration, de l’armée et de la justice dont tous les acteurs sont connus qu’ils soient en haut ou en bas de la hiérarchie et de la chaîne décisionnelle, comme disent les anglo-saxons ” Staff and line”.
Compte tenu de cette situation, il est difficilement concevable de comprendre les tergiversations, les hésitations et les sentiments de “pris au dépourvu” donnés par notre gouvernement à chaque “réplique du tremblement de terre” dans l’exercice du pouvoir transitoire au Mali, si jamais l’autorité et les décisions publiques suivent la chaîne hiérarchique.
Il est grand temps pour Cheick Modibo Diarra et son gouvernement de sécher “les larmes” je ne dirai pas de crocodile mais d’hippopotame (à cause d’une mention “bonne foi” que jusqu’à preuve du contraire je leur laisse, volontiers, le bénéfice du doute) et gouverner avec anticipation tout en se fixant une ligne de conduite claire avec la communauté internationale et avec nos partenaires techniques et financiers.
Cela n’est pas une option politique dont on peut s’offrir le luxe de le prendre ou de le laisser, c’est plutôt une obligation naturelle, car le pilotage à vue, marche seulement pendant un temps, et celui-ci est malheureusement très court, tant que la “météo financière” fait que les finances de l’état peuvent encore soutenir la prime de l’échec, sinon ce seront l’implosion et la banqueroute garanties.
Ce que personne ne souhaite et que Dieu nous en préserve.
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