Il affiche sa plus grande proximité avec IBK, qui lui a accordé une partie de la confiance nationale. Il se démêle comme un beau diable pour le projet présidentiel «Ma Famille d’abord», l’application concrète du slogan politique «le Mali d’abord». Pour lui, l’édification de ce pays a commencé avec l’avènement d’IBK. Et avec, son ambition inavouée, Me Mohamed Aly Bathily, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est prêt, disponible et s’évertue pour assassiner le devenir de ce pays. Il est certainement dans cette catégorie de Maliens, apparue sous le soleil d’IBK. Découverte.
Ministre de la justice, magistrat, devenu avocat, Me Bathily a réussi là où ses prédécesseurs ont échoué : développer une justice sélective au service de la haine à l’antipode de la quiétude sociale. Jamais au Mali, la justice n’avait autant sombré dans la manipulation, la calomnie, la vengeance. En un mot, une justice au service de la haine qu’il nourrit contre tout le monde. Voici celui-là même qui prônait, à son arrivée à la tête du département de la Justice malienne, un partenariat entre acteurs de la justice pour le justiciable, devenu un manipulateur des mêmes acteurs. Le Mohamed Aly du Mali, bosse, assène des coups partout, bien souvent au-dessous de la ceinture ; en tout cas, toujours dans l’honneur des honnêtes citoyens. Me Bathily : «i tè sabaly !» Cela ne durera pas.
Le moins qu’on puisse dire est que Me Bathily est armé pour son combat. Grand juriste, ancien ambassadeur et fonctionnaire international, il ne peut passer inaperçu. Tant par sa taille que par la haine qui nourrit les actes qu’il pose. Le fait est réel et constaté par tous ceux qui le connaissent. Mohamed Aly Bathily aura toujours brillé par une incapacité certaine à saper ses ambitions. Une incapacité qui fait partie de lui, comme affirme l’autre. Pourtant, Me Bathily rend tout le monde responsable, ce qui fonde et motive sa haine.
Première incapacité qui freina son ascension dans l’administration judiciaire. L’homme a pratiqué tous les régimes. Bête politique, toujours ambitieux, il arrive rarement au sommet. Brillant juriste, le voici alors dégagé du monde de l’administration de la justice pour avoir jugé et libérer le groupe de Cabral. Chose qu’il n’a jamais digéré. Me change alors de robe. Il est devenu avocat. Peu, très peu pour son ambition. En réalité, il a toujours manqué à Me Bathily ce qui fait gagner. Comme avocat, Me devient chef de cabinet du président ATT sous la transition, pour ensuite briller dans l’ombre durant tout le mandat d’ATT. Il suit les dossiers, rumine sa haine et prépare sa vengeance. Me Bathily : «i tè sabaly !» Cela ne durera pas !
Deuxième incapacité. Acteur de changement dans l’antichambre du changement, il mise sur IBK. Il met en place l’association Horognan pour soutenir IBK. Brillant intellectuel, en plus de l’action de son association, il s’active à défendre son projet IBK. Des contributions bien nourries de Me Bathily sont visibles dans la presse. IBK est élu président et Mohamed Aly Bathily devient alors ministre de la Justice. Enfin, ça y est ! Son rêve est concrétisé. Sauf que Mohamed Aly du Mali va se voir rattraper par son incapacité. Son péché mignon. Jugez-en vous-mêmes !
Le ministre de la Justice qu’il est, cultive une justice au service du changement qui établira la confiance entre les acteurs de la justice et le citoyen. Le résultat est au-dessus de l’espérance. Il porte sur une vengeance. Me Bathily est alors dans son champ. Un champ de la haine, de la manipulation et de la calomnie. Le ministre de la Justice connaît comment le monde de la justice fonctionne. Il est au courant des dossiers. Il est ministre, président de bureau, huissier de justice. Il manipule les magistrats. Aucun dossier ne peut se régler sans lui. Le vrai ministre en somme. Les affaires se suivent, se ressemblent et se résument à Me Mohamed Bathily.
Comme si cela ne suffisait pas, Me Bathily œuvre dans la manipulation du citoyen. Le voici alors devenu prêcheur. Son «koutouba» du vendredi porte sur la justice au Mali face à un auditoire qui peine à manger et qui ne comprend rien dans ce qu’il dit. La haine qu’il porte, va plus loin. Il s’attaque à des honnêtes citoyens. En effet, des propos de Me Bathily, rapportés par le journal le Sphinx, il attribue à Alpha, Adama Sangaré, Modibo Sidibé et à Abou-Bakar Traoré, l’état actuel du pays. Pourtant, le ministre de la Justice qu’il est, a vraiment les moyens pour les confondre. Sauf que son intention est tout simplement de nuire.
Dernière incapacité. Le ministre de la Justice œuvrait justement pour être le Premier ministre. Peine perdue. Son combat est maintenant de garder son poste dans le futur gouvernement. Comme on le voit, la haine ne porte jamais. Et l’incapacité de Me Mohamed Aly Bathily le fait toujours perdre. Dites cela à lui : Me Bathily, «i tè sabaly !» Cela ne durera pas. S’il vous plaît !
Békaye DEMBELE
Je suis tous les jours un peu plus dessus par un certain nombre de journaliste qui, sans même au préalable se munir de toutes les armes que sont les informations réelles, jouent à la politique de désinformation et de l’information partisane. Ils n’en n’ont rien à faire de devenir de cette Nation, leurs seules préoccupations c’est de jouer le jeux de certains hommes politiques moyennant un certain réconfort financier. Nous avons bien compris cela vous savez chers journaliste et sachez que cela ne fonctionnera plus, le malien moyen est bien capable aujourd’hui de faire la différence entre l’information et la désinformation calomnieuse. Il est si facile d’accuser Me Bathily de vengeance et de calomnies, mais il se trouve que vous n’en faites pas moins que lui. Alors ma question est la suivante : Parmis les Hommes que Me Bathily a fait mettre sous mandat de dépôt combien d’entre eux sont innocents ? et par quelles preuves devrons nous vous croire ?
Je profite de cette occasion pour demander aux journalistes maliens ou du moins certains d’entre eux car malgré tout il y en a qui sont bon et professionnels, d’arrêter de faire de l’amateurisme journalistique pour nous faire un travail professionnel digne d’un vrai journaliste.
Monsieur le journaliste dis-moi où est la haine vous avec vos amis qui ont des bras plus long que les pieds c’est vous qui a des problèmes avec Bathili c’est monsieur fait bien son travail il doit rester en Poste pour nous débarrasser de parasites de mafia
Du coq à l’âne! Journaleu, tu ferais mieux en allant vendre des oranges au grand marché!
le journalisme au mali c’est la honte regarder un peu vos confrères de la sous région le niveau du journalisme
Mon Dieu. Certains journalistes sont des vrais malades. Si Bathily part,ce sont les premiers que les juges foutront en taule quand ils parleront de leurs sales affaires.
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