Le président IBK est critiqué pour ses multiples voyages à l’extérieur. Aujourd’hui, les résultats sont là : Bamako est redevenu un centre des ballets diplomatiques des grandes puissances du monde, telles que la France, l’Inde, l’Allemagne et la Russie.
Le président de la République son Excellence Ibrahim Boubacar Kéita, n’a jamais cessé d’être un sujet de critique inutiles, chaque fois qu’il emprunte son avion présidentiel pour aller vendre le Maliba à l’extérieur. Des citoyens conscients de la situation de précarité qui prévaut dans le pays s’engagent personnellement et avec détermination dans des critiques inutiles et allégations pour décrédibiliser le locateur de Koulouba. Oubliant que tant que la paix ne règne pas au pays, mêmes eux qui se lancent dans des critiques virulents inutiles ne peuvent y résider.
Sa récente visite privée en France n’a pas manqué de susciter des colères sans fondement du côté des détracteurs de son excellence Ibrahim Boubacar Kéita. Tantôt IBK est malade, tantôt il est parti supplier François Hollande, tantôt, tantôt et tantôt…
Oubliant que la solution durable pour un retour définitif ne peut provenir que des contacts réguliers et fréquents avec les partenaires, les opposants au régime IBK ne cherche qu’à emprunter les voies mêmes les plus diaboliques pour nuire au Chef de l’Etat.
On l’accuse d’avoir trop voyagé. Comparativement aux autres pays de la sous-région, le président IBK n’a pas voyagé plus que certains de ses homologues. A titre illustratif, le président ivoirien, Alassane Dramane Ouattara, a effectué au moins 170 voyages en trois ans seulement une fois arrivé au pouvoir. Et pourtant, nos voisins de la Côte-d’Ivoire n’ont pas été aussi virulents envers leur président que le nôtre.
Maintenant ces voyages ont commencé à porter leurs fruits. Les étrangers font le ballet à Bamako. Les retombées sont là. Notre pays a vibré en ces dernières semaines au son des ballets diplomatiques, notamment les visites d’une importance hors pairs des dirigeants des grandes puissances du monde. De la visite du président français François Hollande à celle du Représentant spécial du président russe en passant par celles du premier ministre français Manuel Valls, du vice-président indien, son Excellence Hamid Ansari, puis de la Chancelière allemande Angela Merkel, le message est clair : le Mali est fréquentable, la confiance renaît. Signe que les voyages n’ont pas été fortuits.
Eu égard à ces visites de hauts responsables dans notre pays, c’est inutile de critiquer IBK. C’est un président qui a sa ligne directive, un homme de principe. Pour preuve, il a retiré le processus de paix de Ouagadougou, une fois qu’il a pris les rênes du pouvoir pour le confier à l’Algérie. Car lui, en tant que président démocratiquement élu, surtout en une période critique du pays, ne pouvait rester en marge de la communauté internationale.
On voit menant que le message qu’IBK porte toujours à ses pairs occidentaux lors de ses différents voyages a été entendu et le Nord du Mali en crise depuis 2012 retrouve sa tranquillité.
Notre pays est en crise, il est soutenu par des partenaires. A la suite de cette dernière visite privée du président IBK, la France a annoncé le retour proche de l’administration à Kidal. Durant leurs séjours en terre malienne, tous ces responsables ont soutenu l’Accord pour la paix et la réconciliation et signé des accords renforçant partenariats économiques et sécuritaire.
En définitive, ne nous morfondons pas dans les spéculations.
H TOGO
A la suite de cette dernière visite privée du président IBK, la France a annoncé le retour proche de l’administration à Kidal. Durant leurs séjours en terre malienne. Ah bon, donc c’était alors la France qui était a la base du départ de l’administration alors, ok, je comprends maintenant.
Les opposants ne cherche ou ne cherchent???
C’est clair que les choses bougent sur le front diplomatique.
Quoi que les gens puissent inventer ou dire à propos d’IBK, il faut reconnaitre qu’au moins il est en train de réussir une certaine mobilisation diplomatique. Il parvient à faire venir toutes ces personnalités dans le pays.
Oui Monsieur TOGO,
Les voyages en Guadeloupe pour l’inauguration du musée de l’esclavage, de l’anniversaire de la bataille de Khankale (que tout le monde ignore sauf IBK et les turques) l’anniversaire de la mort d’Eyadema, le décès du fils du président mauritanien etc ont été bien utile pour le Malien ordinaire. C’est pas grave si chacun de ces voyages coûtent plus de 200 millions de CFa. Le Mali est grand, il peut bien jeter 200 millions par la fenêtre de temps en temps.
Vous n’avez pas honte de comparer ALassane Wattara et IBK ?
Le Mali retrouve sa tranquilité ? Allez dire cela à Kidal
Vous dites que IBK est un homme de principe. De quel principe ? celui de la dilapidation des deniers publics ou de la gabegie ?
Et vous ? Vous avez reçu combien pour pondre de telles sottises ?
Quoi que tu puisses dire, il faut reconnaitre qu’au moins IBK est en train de réussir une certaine mobilisation diplomatique.
Ali Baba….et son Président !
je reconnais juste qu’il réussi une bonne mobilisation de ses ” KôKô ” qui nous pourrissent les forums au frais du trésor malien.
Voilà des mentalités rétrogrades. ADO est qui pour qu’on ne puisse pas établir une comparaison entre lui et IBK par rapport à leur nombre de voyages. Ici la comparaison se justifie car en principe c’est IBK qui doit effectuer beaucoup plus de voyages que ADO compte tenu de la crise entretenue par les occidentaux
Les critiques à l’endroit du Chef de l’Etat par rapport à ses déplacements vont bon train au jour le jour comme cela est à l’accoutumée de bon nombre de maliens: Parler des choses dont on n’a pas connaissance fait leur quotidien.
Pourquoi fustige-t-on tant ces voyages présidentiels tandis que tout le monde le sait: Le Mali a longtemps tangué dans le lit du fleuve du népotisme, de l’anarchie, de l’égoïsme, de la tentation, de l’insécurité, de l’insouciance des politiques détracteurs et égocentriques, du mensonge d’Etat et j’en passe volontier?
Que fait un chef de famille lorsque par incompétence, insouciance, hypocrisie et malhonnêteté ses enfants mettent du feu dans la demeure commune? Il sort et cherche du soutien pour que cette incendie soit maîtriser sans livrer ses progénitures. Voilà ce que fait IBK. Ceux qui critiquent le Président dans ces voyages seraient les mêmes à le faire encore s’il n’était pas dans cette dynamique. Langue de bois.
Les récentes et continuelles visites des chefs d’Etat et diplomatiques et des hauts dirigeants des grandes puissances du monde sont le résultat d’une part du dynamisme incontestable sauf égoïsme de l’ère IBK et de la confiance de ces puissances aux hautes autorités maliennes due au concret et au réel qui a toujours accompagné cette diplomatie malienne battue sur du sérieux et du désintérêt d’autre part.
Aussi faudrait-il apercevoir dans ces voyages présidentiels une réelle volonté politique du Chef de l’Etat et de toute l’équipe gouvernementale qui l’accompagne et aussi une expression irréfutable du patriotisme et de la sincérité de l’homme d’arriver à la paix.
Pour que les autres s’intéressent réellement à ton problème, il faudra que toi-même le prennes au sérieux.
Voici l’essence des voyages du Président qui ont déjà porté ses fruits par des signatures de conventions bilatérales et multilatérales et qui continuent à en porter avec des engagements multiformes des partenaires du Pays d’IBK.
Vous avez une bonne lecture des événements: Nous devons soutenir le seul président démocratiquement élu au Mali sans démagogie. Mieux IBK est mieux outillé que tous ses prédécesseurs à la présidence par sa formation ( relation internationale) et sa carrière ( conseiller, ministre des affaires étrangères, premier ministre et président de l’assemblée).
Un paradoxe monstrueux: Au lieu de soutenir cet homme qui est venu en moment difficile de notre histoire, comme les français ont su le faire à l’arrivée de De Gaulle au pouvoir, nous emboitons le pas à RFI, une station radio à la merci des capitaux français.
Faux
Cher auteur de l’article, arrêtez d’enfoncer le clous dans la plaie vraiment. Vous essayez de nous vendre l’illusion le Mali va de mal en pire. Que les présidents étrangers viennent au Mali ça nous fait avance à quoi? Vous croyez qu’un pays peut se développer avec la mendicité? non. Ce qu’on demande aujourd’hui à nos responsables c’est de se pencher sur le développement local qui passe par l’agriculture, la santé, l’éducation, les infrastructures. L’argent public doit servir à ça et non de payer des 4*4 a des sommes faramineuses et des voyages sans fin. voila
Une culture qui vit replier sur elle-même s’étiole et est appelée à disparaître. Le Mali ne fait de la mendicité mais scelle des partenariats. D’ailleurs que mêmes les pays les plus développés font. L’agriculture, la santé, l’éducation et l’infrastructure dont tu fais allusion ne sont pas développement tant que les hommes n’en veulent pas en faire.
Qu’as-tu fait, toi, pour faire de ces sus-cités un outil de développement?
Si chacun d’entre nous pouvait se remettre en question!!!
du n’importe quoi
Au Mali, nous sommes impatients et nous aimons nous occuper des choses qui ne sont pas de vrais problèmes. La fonction d’un président n’est pas exclusivement bureaucratique. On a beaucoup critiqué les voyages ‘IBK, mais aujourd’hui voilà: tout ce monde qui vient à Bamako malgré la situation sécuritaire. Et ils ne viennent pas en promenade de santé. Ils viennent pour des questions de développement, de coopération ou d’investissement.
Soyons juste patient et sachons encore une fois être patients. Le problème de insécurité ne doit pas nous faire désespérer de ce pays et nous ne devons pas accepter qu’il prenne le dessus sur les bonnes choses qui se passent ici. Faisons plutôt la promotion de ce se fait en bien pour vendre cette image là à l’extérieur.
De l’esclavage, à la colonisation et au néocolonialisme, des africains (ou des opportunistes inconscients) ont la naïveté de croire encore que des Etats s’intéressent au Mali pour ses yeux : il faut être aveugle pour ne pas voir ce qui les intéresse : la base de Tessalit pour leur projet d’encerclement militaire du continent (ils sont déjà au Niger, au Tchad, etc.) : signer des accords de défense en échanges de bases militaires gratuites, de ressources minières, allumer des feux au besoin pour être appelés à le rescousse. Ils n’ont d’yeux que pour les richesses africaines, sans les africains.
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