Le bilan d’étape du Président Ibrahim Boubacar Keita est très largement positif, fort éloquent et offre des perspectives prometteuses pour le pays
Le 04 septembre 2013, le Président IBK prenait officiellement les commandes du bateau Mali après une brillante victoire aux présidentielles. Et ce, dans un contexte d’innombrables défis dignes d’un Mali à refaire. Les quatre années du quinquennat d’IBK ont été marquées par des batailles sans relâche devant des dures épreuves, mais couronnées par des performances économiques, financières et sociales sans précédent. Il a su veiller avant tout à la préservation de la sécurité et de la paix, à la consolidation de la cohésion sociale, à la satisfaction d’une part substantielle de la demande sociale.
La quête de la paix
En effet, quatre ans après, on a passé de l’héritage d’un Mali en effritement à un Mali se porte mieux, aujourd’hui au plan de la paix, gage du développement inclusif, du retour de la croissance économique, de la réponse aux attentes des populations (eau, éducation, santé, routes et électricité, emploi des jeunes, etc.). Même si beaucoup reste à faire, depuis 2013, le chemin parcouru est appréciable malgré les épreuves.
Dans la quête de la paix, les efforts entrepris ont permis de ressouder le tissu social, de renforcer l’unité de la nation et de définir les bases de la refondation d’une nation plurielle réconciliée avec elle-même.
Le Président Ibrahim Boubacar Keita qui a soufflé les quatre bougies de son premier quinquennat, lundi dernier, a réaffirmé, lors de la traditionnelle interview d’anniversaire avec l’ORTM, que toute son action s’inscrit dans la fidélité à un sacerdoce : celui d’être au service exclusif du Mali, d’être fidèle aux attentes les plus profondes des concitoyens qui aspirent par-dessus tout à la paix, fédérer autour de la fierté nationale. Son crédo pour le Mali, c’est de « ne reculer devant aucune concession pour protéger le bien social, pour mettre le pays à l’abri de tourmentes aventureuses, mais aussi pour laisser tout le temps nécessaire à une meilleure compréhension des enjeux et à la manifestation de la vérité ».
Les acquis économiques, financiers et sociaux au septembre 2017
Le bilan d’étape du Président Ibrahim Boubacar Keita est très largement positif, fort éloquent et offre des perspectives prometteuses pour le pays. Même s’il dit, lui-même, regretter les difficultés et le retard dans la mise en œuvre de l’Accord de paix, IBK célèbre l’An IV de son quinquennat en totalisant des acquis dans les défis saillants. De quoi le conforter, lors de la grande interview, dans ses éléments de réponses qui ont été sans ambages. « Le train de la paix avance. Il avance avec assurance et confiance en dépit de difficultés inhérentes à tout processus du même genre », aimerait assener IBK.
Cette réussite ne lui vaut-elle pas chaque fois les compliments de la communauté internationale ?
En ce qui concerne la mise en œuvre de l’Accord de paix, on peut se réjouir du retour progressif de l’administration dans le Nord, notamment le retour du Gouverneur à Kidal, la mise en place des autorités intérimaires à Tombouctou, Gao et Kidal ; la mise en place des collèges transitoires de Taoudéni et Ménaka et la sécurisation des populations à travers la mise en place du MOC à Gao et Kidal. C’est dans ces conditions que le gouvernement va lancer les travaux de réalisation de travaux de réhabilitation des infrastructures dans le Nord.
Face à l’impérieuse nécessité et la politique de la reconstruction de l’armée nationale, les conditions des soldats et de leurs familles ont été au cœur des actions pendant ces quatre années. En effet, beaucoup de sacrifices ont été consentis dans le cadre de l’amélioration des conditions des militaires. Ces efforts ont été marqués par la création d’une Fondation pour la Solidarité, l’outil de gestion de la politique sociale en faveur des militaires, de leurs familles et de leurs ayant droits en particulier dans les domaines de l’éducation, de la santé, du logement, de la reconversion ainsi que de la mémoire. Aussi, l’adoption de la loi portant statut général des militaires ; l’acquisition des équipements militaires de transports terrestres, aériens et de transmissions tactiques ; l’élargissement du plan de programmation militaire au secteur de la sécurité ont été autant d’efforts consentis pour assurer la sécurité nationale.
En ce qui concerne la politique d’amélioration rapide et significative du quotidien des maliens, on retient surtout le Programme Présidentiel d’Urgences Sociales. Reposant essentiellement sur des investissements de proximité, ce programme concerne l’Agriculture, l’Elevage et Pêche, les Infrastructures routières et équipements, l’Eau-Energie, l’Education, la Santé et l’Emploi.
Sur le plan économique, on retient que l’évolution du PIB au Mali est passée de 1,7% en 2013 à successivement 7,2% en 2014, 6% en 2015 et 5,8% en 2016. Durant la période allant du 31 décembre 2013 au 31 décembre 2016, les recettes budgétaires totales ont progressé de 51% en passant de 898,2 milliards FCFA à 1 356,2 milliards FCFA, soit une augmentation globale de 458 milliards FCFA. Cette réussite économique est confirmée par les partenaires techniques et financiers que sont la Banque mondiale, le Fonds monétaire international, les organismes de coopération bilatérale et multilatérale ainsi que par les agences internationales de notation comme, Doing Business. Cette cadence sera maintenue et articulée avec les recettes attendues, assure-t-on.
Performances diplomatiques
Sur le plan diplomatique, les liens entre les nombreux voyages du Président de la République et les résultats de la diplomatie malienne sont bien perceptibles. La Communauté internationale est profondément engagée au Mali en accompagnant les efforts de consolidation du processus de paix. La coopération se porte bien comme en témoigne l’engagement très fort de certains pays récemment visités par le chef de l’Etat. C’est le cas des Emirats Arabes Unis qui ont fait le précieux don d’environ 50 millions dollars (plus de 2 milliards de FCFA) pour l’organisation du Sommet Afrique- France, de l’Arabie Saoudite pour le financement de la route Sévaré-Gao, du Qatar pour le projet de financement d’un hôpital de haut standing, entre autres.
Daniel KOURIBA
Ce Daniel Koriba est il vraiment un journaliste professionnel ? Certainement non ! parce que tout ce qu’il est un extrait des décisions et autres administratifs . Il n’a mené aucune recherche en la matière . Sinon comment un homme normal peut dire que le bilan d’IBK est élogieux ? S’il est aussi un vendu, le peuple n’est pas dupe. IBK à été choisi par les électeurs maliens pour résoudre les crises. À ce jour , cela a été un échec, puisque lui même ne peut se rendre à Kidal, malgré la présence des forces internationales . Comment pourrait on parler de réussite ? Qu’à t-il réussi ?
IBRAHIM BOUBACAR KEITA n’a pas été élu pour consolider seulement l’économie du MALI .
Sinon le peuple aurait choisi son challenger SOUMAILA CISSE qui est mieux loti en la matière.
Le peuple s’est mobilisé pour Ibk croyant avoir trouvé l’homme qui se battra pour permettre aux maliens d’effacer toutes l’humiliations ressenties avec le régime d’AMADOU TOUMANI TOURÉ.
N’a t’il pas dit qu’ il a pleuré quand l’armée s’est retiré de tessalit en 2012 avant le coup d’État,que les militaires sont formés pour se battre,lui a signé le cessez-le-feu après la bataille de kidal mettant les groupes armés dans une position forte face au gouvernement malien?
N’a t’il pas proclamé sur tous les toits et juré en prononçant des formules coraniques qu’ il va mettre fin aux agissements des délinquants de deniers publics ?
En quatre ans Ibk n’a pas répondu aux ententes exprimées par les maliens qui se sont mobilisés pour lui.
La mobilisation aux mots d’ordre lancés par la plateforme ANTÈ A BANNA est le signe parfait de la déception du peuple.
Le président Hollande a décidé de ne pas se présenter à cause de son échec à diminuer le chômage,raison principale du vote du peuple français.
Il a eu à faire du succès sur d’autres domaines comme par exemple sa politique étrangère qui n’ont pas intéressé les français car ce n’était pas les raisons de vote des français.
IBRAHIM BOUBACAR KEITA aussi n’a pas satisfait aux raisons de vote des maliens malgré les succès économiques conduits par le très brillant ministre de l’ économie et des finances Mr CISSE.
Les succès économiques sont connus de tous les régimes de l’ ère démocratique.Ça ne doit pas être une raison de fierté.C’est le contraire qui serait un scandale.
C’est le minimum que doit faire tout régime de l’ère démocratique après le travail de fond effectué par ALPHA OUMAR KONARE à travers un autre ministre des finances brillant SOUMAILA CISSE .
Si Ibk veut être réélu,il doit lutter contre les délinquants de deniers publics qui rôdent autour de sa belle famille.
Il doit arrêter cette connexion apatride avec les français tendant à donner l’ autonomie à une minorité des minorités touaregs du MALI.
Que le journal 22 septembre peut continuer son humiliation de la profession journalistique en faisant l’apologie d’un régime honni ,Ibk et ses soutiens seront inaudibles tant qu’ il ne s’attelera pas aux raisons pour lesquelles il a été élu.
LA PAROLE DONNÉE DOIT ÊTRE RESPECTÉE,SURTOUT PRONONCÉE AVEC L’ APPUI DES FORMULES CORANIQUES DANS UN PAYS MAJORITAIREMENT MUSULMAN.
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