C’est l’une des recommandations fortes formulées par le 41ème sommet qui vient de se dérouler dans la capitale politique ivoirienne : ” La Conférence réaffirme son soutien à la transition politique en cours au Mali et exprime sa détermination pour la consolidation du gouvernement de transition avec l’appui de toutes les parties prenantes en vue d’assurer une transition dans de bonnes conditions. Elle en appelle à l’élargissement de la base du gouvernement en vue de garantir son inclusivité “. A l’ouverture du sommet, le représentant spécial de l’ONU pour l’Afrique de l’ouest, Saïd Djinnit, avait souligné ” le rôle central ” du gouvernement de transition Cheick Modibo Diarra, tout en indiquant ” qu’il gagnerait à être inclusif et représentatif “. Le sommet l’a donc suivi dans cette direction en recommandant l’élargissement du Gouvernement.
Pour rappel, la formation d’un gouvernement ” inclusif et représentatif “de toute la nation malienne à tr avers ses forces vives figure dans l’accord- cadre du 6 avril 2012 signé entre la CEDEAO et le CNRDRE et dans la déclaration des forces vives du Mali adoptée à Ouagadougou le 13 avril dernier. Le FDR, regroupement anti-putsch composé des grandes formations politiques, de la principale centrale syndicale, l’UNTM , de nombreuses associations et organisations de la société civile, avait aussi demandé la formation d’un gouvernement reflétant toutes les sensibilités politiques maliennes. Le premier ministre, Cheick Modibo Diarra, qui a constitué son équipe sans prendre en compte cette exigence de la CEDEAO reprise à son compte par le FDR, semble lui préférer “un cadre de consultation ” comprenant toutes les forces politiques qui épaulerait le gouvernement.
La 41ème conférence des chefs d’Etat de la CEDEAO arrive donc comme un rappel à l’ordre pour le navigateur interplanétaire pour qu’il revoie la composition de son gouvernement. Celui-ci a le défaut majeur, aux yeux de la majorité de nos compatriotes, de ne comprendre que des ministres issus du défunt parti politique (UDPM) de son beau-frère, l’ex-dictateur Moussa Traoré, des personnalités proches de la junte militaire elle -même et de ses amis personnels. Une délégation spéciale de l’organisation sous-régionale se rendra dès cette semaine à Ouagadougou auprès du médiateur Blaise Compaoré pour étudier de plus prés la question.
Par ailleurs, le Sommet condamne fermement les tentatives de certaines forces sociopolitiques marginales au Mali visant à entraver le bon déroulement de la transition politique en cours, en particulier l’attaque violente perpétrée, le 21 mai 2012 contre la personne du Président par intérim, Dioncounda Traoré, la campagne visant à freiner le déploiement des troupes de la CEDEAO et à imposer des leaders, ainsi que l’incitation à la désobéissance et à la violence par certaines factions de l’armée, de la classe politique et des médias partisans. Il exhorte les autorités de la transition à conclure rapidement l’enquête sur l’attaque perpétrée contre le Président par intérim et à transmettre les résultats à la CEDEAO en vue de faciliter la prise de mesures appropriées.
La Conférence instruit la Commission de faciliter le retour rapide au Mali du Président par intérim afin qu’il reprenne ses fonctions. Elle exprime sa non-reconnaissance du CNRDRE ainsi que le statut d’ancien Chef d’Etat conféré au Capitaine Amadou Sanogo. Et exige le retour des militaires dans les casernes pour se consacrer à leur mission régalienne de défense de l’intégrité territoriale du pays.
La Conférence décide de déclencher automatiquement l’imposition de sanctions ciblées et générales déjà définies, à l’encontre de toute personne ou groupe qui ferait obstacle à la mise en œuvre des décisions de la CEDEAO. A cette fin, la Conférence charge la Commission de poursuivre l’établissement de la liste des contrevenants en collaboration avec l’UA et l’ONU.
Concernant la situation qui prévaut au nord du Mali et qui tend à l’enlisement, la Conférence décide de “l’envoi immédiat” d’une mission technique d’évaluation au Mali à l’effet de préparer le terrain en vue de “l’arrivée imminente” de la MICAMA (Mission de la CEDEAO au Mali).
La mission technique sera composée de militaires et de politiques .Elle sera suivie d’une mission de “haut niveau” conduite par le médiateur dans la crise malienne, le président burkinabé Blaise Compaoré. La Conférence des chefs d’Etat exhorte le Conseil de sécurité de l’ONU à “accélérer” le processus pour la prise d’une résolution autorisant le déploiement des troupes au Mali.
Elle réitère sa “détermination à ne pas transiger sur l’intégrité territoriale du Mali et à ne pas négocier avec des organisations terroristes”. Elle réaffirme sa résolution à aider le Mali dans le rétablissement de l’autorité de l’Etat sur l’ensemble du territoire national.
Abdoulaye DIARRA
dramane coulsakoiba,
Peut être que le 1er sinistre est ton père adultérin, je m’en balance. Les maliens ne tiennent pas compte de tes sentiments pour formuler ce qu’ils pensent par rapport à son comportement apatride.
Quand tu dis dignité, tu n’as aucune idée de ce que ça veut dire. Ce son des idiots de ton espèce qui veulent laver le déchet par l’urine. Si on veut éliminer tous les politiciens et tous ceux qui ont jamais eu des responsabilités, il ne restera plus que la racaille comme toi, des ignares comme les membres du CNRDE et leurs marionnettes comme ton père adultérin.
COMME JE L’AI DIT…L’ASSOCIATION AVEC LE DIABLE A DES CONSEQUENCES … ET CMD VA S’EN RENDRE COMPTE…ILS VONT L’AMENER DANS LE GOUFFRE AVEC EUX…
JE SAVAIS BIEN QUE ÇA ALLAIT VENIR…L’INCLUSION DES FANFARONS DU CNDR ET L’EXCLUSION DE LA CLASSE POLITIQUE NE PEUT MENER QU’A CE RESULTAT….
ET POUR ÊTRE HONNÊTE..J’AI ÉTÉ POUR L’EXCLUSION DE LA CLASSE POLITIQUE…SACHANT BIEN QUE ÇA ALLAIT AMENER DES PROBLEMES…CE NE SERA PAS FACILE SANS EUX…ILS SONT LES POLITICIENS QU’ON LE VEULE OU PAS…MALHONNETES OU PAS….ILS SONT LES POLITICIENS…ET SONT RENTRER PAR LA PORTE…PAS COMME LES FANFARONS DU CNDR…LES SOLDATS RATES…
MAIS VRAIMENT … AU DIABLE CE CNDR…MEME DÉGUISER EN UNE NOUVELLE CONNERIE!
L’ARMEE MALIENNE…UN POINT…C’EST TOUT!
PAS D’AUTRES CONNERIES AVEC DES RÔLES QUI VONT ÊTRE DEFINI PAR SES PROPRES MEMBRES…LES SOLDATS RATES DU CNDR…
LE RÔLE DE L’ARMEE EST CLAIREMENT DEFINI…ET D’AILLEUR C’EST PRESQUE LE MÊME DANS TOUS LES PAYS…QU’ILS RETOURNENT A LEUR RÔLE QU’ILS ESSAIENT DE FUIR…OU LAISSENT LA TENU..CE N’EST PAS TROP DEMANDER…
LE PROBLÈME EST QU’ILS ONT COMMIS TROP DE BETISES ET SONT SEULEMENT PROTÉGER PAR LE POUVOIR…LE PM EST DANS LA VRAIE MERDE…
SANOGO NE PEUT PAS QUITTER … SANOGO NE PEUT PAS RESTER…NOUS SOMMES TOUS DANS UNE VRAIE MERDE…
TOUTES CES HISTOIRES VISENT SANOGO ET CES FANFARONS D’ABORD ET CA NE VA PAS FINIR DE SITÔT…LE MALI EST LE GROS PERDANT…
Moussa Ag, qui est certains qu’il n’est pas le seul A NE PAS VOULOIR VOIR LA TÊTE DES SOLDATS RATE DANS LA POLITIQUE…OU AUTRES SOLDATS…LAISSEZ LA TENUE ET RENTRER PAR LA PORTE COMME TOUT LE MONDE ET COMME LE DEMANDE LA CONSTITUTION
c’est toi qui es un apatride car tu veux venhdre notre pays à la CEDEAO.Tu n’as aucune dignitécar tu te ranges du côté de ceux qui ont sucé le sang de notre pays durant vingt ans les nouveaux riches de la “democratie” tous locataires il y a seulement 20ans et aujourd’hui propriétaires d’immeubles à plusieurs étagesVotre sauce est versée et la CEDEAO ne peut la recuperer.A bon entendeur salut.
La CEDEAO et l’Union Africaine ne semblent pas conscientes de la complicité entre le gouvernement de Cheik Modibo Diarra et le CNRDE de Sanogo.
Il faut que la Communauté internationale se réveille parce que Cheikh Modibo Diarra est un traître qui roule pour Sanogo et pour lui même et qui n’a le problème du Nord que dans la bouche pour mieux nous tromper.
Il fait tout pour empêcher l’intervention de toute force libératrice du Nord parce qu’une telle force visera aussi à sécuriser les organes de transition, ce qui nuira à l’influence de Sanogo et la complicité entre le gouvernement et le CNRDE.
Djoncounda court un risque de mort s’il retourne au Mali sans une force pour sécuriser les institutions.
Si on attend la demande du 1er ministre, la force de la CEDEAO n’interviendra jamais. C’est un clan qui a besoin de temps pour faire pourir la situation et renverser la tendance en faveur de la junte et de son complice.
Il faut aussi que Blaise soit surveillé par la CEDEAO. Il a tendance à utiliser le drame malien pour son leadership personnel.
Heureusement que le MNLA a été chassé et qu’ils ne reste plus que les terroristes sinon le Mali risquait une reconnaissance du MNLA par ces négociations stipudes.
Je suis entièrement d’accord avec ton idée ,tu as une excellente vision sur le problème du MALi.
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