Le Président de la COPAM échappe de justesse au lynchage alors que le chef de l’ex- junte est plongé dans une position ambiguë, pendant que le signal fort du raz- le- bol des habitants de la capitale crève les yeux, tandis que le meeting et l’investiture initiés par les pro-putschs, les mercredi et vendredi derniers, ont montré leurs limites aux yeux de l’opinion nationale et internationale.
Les lundi, mardi et mercredi derniers, la Coordination des organisations patriotiques du Mali (COPAM) et ses alliés du Mouvement populaire du 22 mars (MP22), avaient initié la Convention nationale pour désigner le président de la transition. Le couac, lesdites assises intervenaient à un moment où le Comité national de redressement de la démocratie et de la restauration de l’Etat (CNRDRE) avait conclu avec le médiateur de la CEDEAO une feuille de route de sortie de crise de notre pays. Et, avant même l’expiration du délai constitutionnel des 40 jours du président intérimaire, Dioncounda Traoré. Pour avoir pris environ 250 000 000 de FCFA, rien ne pouvait arrêter les pro-putschistes, qui voulaient prouver qu’ils se sont battus jusqu’à la dernière minute. Mais au terme de leurs travaux de deux jours, aucun nom n’avait été donné, même celui de leur mentor, le capitaine Amadou Haya Sanogo. Il n’y a donc aucun hasard à ce que des jeunes gens, surexcités, envahissent les rues de la capitale, ce lundi 21 mai 2012 tôt le matin, en érigeant des barricades infranchissables, car l’argent distribué à tour de bras leur servait de guide pour casser tout devant eux. La suite on la connaît…
Gifle cinglante à la COPAM
Prévu ce mercredi 23 mai au stade Modibo Keïta, le meeting d’investiture s’est soldé sur un constat d’échec, au regard de la faible mobilisation des pro putschs. S’agit-il d’un essoufflement de la lutte ou d’une gifle? Les organisateurs rétorquent. ” Nous nous sommes faits piéger par nos propres camarades, mais nous ne baisserons pas les bras “, expliquait un militant du MP 22. Ce dernier dénonçait le faux bond du président de la COPAM, Hamadoun Amion Guindo, ayant appelé aux environs de 14 heures au report du meeting sur les ondes de certaines radios privées pour, dit-il, des raisons de sécurité. Le comble est que cette décision de report a été prise à l’insu des responsables du MP 22. Malgré tout, le meeting s ‘est tenu le mercredi sur les gradins du Stade Omnisports et n’a enregistré que 250 personnes. Paradoxe ! Le capitaine Amadou Haya Sanogo, qui déjà avait en poche son amnistie et son statut d’ancien chef d’Etat, ne lève plus le petit doigt pour arrêter l’ardeur de ces pyromanes avec lesquels il a coupé le pont, depuis la semaine dernière. Le capitaine sait désormais que les pyromanes cherchent à se dédouaner. Le secrétaire général du parti SADI, Oumar Mariko, ne pouvait que s’en prendre au ” comportement peu responsable ” du président de la COPAM. Pour Mariko, il s’agissait d’un acte de sabotage qui ne se justifie pas. ” Et Oumar Mariko, en continuant dans ses rêves, d’appeler à un nouveau rassemblement le vendredi dernier au stade Modibo Keïta.
Le capitaine se démarque des pyromanes
Pour comprendre les échecs de la convention nationale et du meeting des pyromanes, il faut remonter aux divergences intervenues entre les responsables de la COPAM. Le mardi dernier, à la fin des travaux de la convention nationale, les partisans ont attendu avec impatience le nom de celui qui avait été choisi comme président de la transition, le président de la COPAM, Hamadoun Amion Guindo a levé la séance sans en dire un mot. Ce qui a provoqué la colère de certains militants qui ont bloqué les portes de la salle de conférence jusqu’à la prononciation du nom du président choisi. Face à leur exigence, le président de la COPAM accepte finalement de dévoiler le nom du capitaine Sanogo.
Pourquoi cette attitude de M. Guindo ?
Le chef de l’ex-junte a tout simplement demandé aux pyromanes de surseoir au projet de l’investir comme président. Et il aurait ajouté : ” Je ne serai pas à votre meeting “. Les fauteurs de trouble ont fait comme si cet échange téléphonique avec le chef de l ‘ex junte était du bluff. Ce qui prouve à suffisance que le capitaine Sanogo allait bouder le meeting du mercredi dernier. Selon les proches du capitaine Sanogo, l’heure n’est plus encore à envenimer la polémique sur qui dirigera la transition.
Il n ‘est plus un secret que le capitaine Amadou Haya Sanogo a pris des engagements devant le peuple malien et les médiateurs de la CEDEAO. Il est désormais sur cette lancée. Il ajoute à qui veut l’entendre que ” tout débat qui n’est plus de stabiliser le pays et de se lancer dans la reconquête du Nord, ne me concerne pas “.
Décidément, rien ne pourra plus calmer les ardeurs des pro juntes de chambouler le pays. Autrement, la distance prise par le capitaine vis-à-vis d’eux leur aurait permis de mettre un peu d’eau dans leur vin. Mais héla !
F.M
Les chiffres avancés sont faux et ce journaliste est un bâtard pour raconter de telle calomnie.
Avec les avertissements du gouvernements vous la presse prive au Mali non professionel et manqu de deontologies continu de fare des atteines graves a la dignite de personnes et semer la zizani dans a tete despauvres Maliens . cest vraiment malhonnete de vore part.
est il possible que guindo sorte par la petite porte ? Beaucoup de ses syndiqués veulent le lacher .Labanko djougou allah kan ni musulmans kissi.
Que Sanogo s’efface se taise a jamais, car” ye a ta ye” (il a eu sa part). Et “n’galon te sira soro blen”.
Il EST PLUS QUE TEMPS QUE QUELQU’UN (cedeao onu, usa, ou je n’en sais rien) COMMENCE LES BOMBARDEMENTS AERIENS. IL NE FAUT PAS DONNER LE TEMPS AUX SARDINIENS, AQMIENS AUX DROGUES, AUX « INDEPENDANTISTES DOMINES » ET A TOUS LES AUTRES CAFARDIENS LE TEMPS DE SE MULTIPLIER ET DE DJIHADISER LE NORD.
ILS SONT COMMES LE CANCER auquel il n’y a que deux issue: Soit on l’eradique a SES DEBUTS ou on en meurt petit a petit.
MAUDIT SOIT LE 22 MARS 2012, MAUDITS SOIENT LE OU LES HOMMES QUI ONT OCCASIONNE LA PARTITION DE FAIT DU MALI. MAUDIT SOIENT CES GENS QUI JETE L’OPROBE SUR MON PAYS.
HONTE AUX MILITAIRES QUI SE COMPLAIGNENT A KATI, BAMAKO, KOULIKORO, SIKASSO KAYES, SEGOU ALORS QUE LES 2/3 DAYS SONT OCCUPES.
Le mali est et serai toujours ingouvernable. Même dans leurs entêtements les dirigeant actuel savent que tant qu’on ne désarme les plumes et canaliser les salives le mali irai toujours à la dérive. Aujourd’hui Le problème du mali c’est l’engagement aveugle de la CEDEAO, Aussi longtemps les dirigeants actuels penseront que la CEDEAO n’a pas de limite dans ces engagements au mali, ils ne vont jamais mettre de l’eau dans leurs vins. Si non comment comprendre le refus catégorique de toute discutions aves les autres partis politique. Une chose est certaine jamais les autres partis politique ne vont pas accepter qu’un seul partis politique organise les élections après un coup d’état, la partie est gagnés d’avance.
Il faut un consensus national pour calmer les esprits. Les arrogances doivent être laissé de coter, et appeler tout le monde autour d’une table pour une vraie discussion, on ne peut pas vouloirs diriger un peuple tout en continuant de refuser toute discussion avec lui. Des compromis de tailles sont nécessaires pour sortir de l’impasse.
A défaut de compromis la suppression du poste présidentielle est obligatoire.
C’est vraiment ridicule. Il est grand temps qu’on se dit la vérité, au moment de la dite agression il y avait bel et bien des reporteurs de la télévision nationale (ORTM) et la presse gouvernementale (l’Essor) qui se trouvaient à l’intérieur même du palais présidentielle, alors ou sont les vidéos et photos des manifestants en train d’agresser monsieur les reporteurs? En plus, il n’est un secret pour personne qu’il y a des caméras dans les couloirs et bureaux du palais, et pire encore Koulouba a une vue sur toute Bamako, pour ceux qui ne savent pas encore tous les endroits stratégique de Bamako sont truffés de camera et l’un des plus flagrant de ses supers camera se trouve au moment où j’écris encore au beau milieu du pont des martyrs accroché au poteau électrique. Et tous les alentours de Koulouba sont aussi truffés de camera, d’ailleurs c’est ce qui a permis la fuite clandestine de ATT.
Alors de grâce, si c’est les auteurs de l’agression qu’ont cherchent vraiment, il faut visionner les cassettes vidéos des surveillances, et l’arrêt des commanditaires ne sera plus qu’un jeu d’enfant.
Et bien si c’est les coupables qu’ont cherchent je dis ATTENTION, les gros morceaux risquent de saler encore plus la note.
A bon entendeur….
Les journalistes doivent aller dans le sens de l’apaisement. Evitons les provocations gratuites et les accusations sans preuves. Les questions de fond demeurent. Pourquoi le Mali est dans cette situation? Que faire pour s’en sortir?
oumar, dis moi un peu avec qui le journaliste veut gagner de l’argent? Décidément le ridicule ne tue plus au Mali! Au contraire, s’il voulait de l’argent, il n’avait qu’à faire ce qu’ont fait la plupart des journaliste, se transformer en “griot” des militaires, et rejoindre le camp des pro-putschistes.
des simples feniants
C EST BIEN FAIT CE SONT CES HOMMES DE LA COPAM ET DU M22 KI ORCHESTRE TOUS LES EVENEMENTS PROVOQUANT LA CHUTE DU GENERAL/MANQUE DE MOYENS A L ARMEE VENTE DE NOTRE ARMENEMT A LA LIBYE AAT VENDEUR DE DROG ETC…
MAINTENANT A EUX LEUR TOUR
SANOGO ET SES CAMARDES D ARME AURAIENT PRIS BCP D EURO A AG POUR DESTABILISER LE REGIME D ATT CELA A ETE FAIT CAR LE MALI A PERDU LA MOITIE DE SON TERRITOIRE
PAUVRES GENS,MAIS LE MALI AVANCERA
Pour avoir pris environ 250 000 000 de FCFA, la transaction a eu lieu oú et á quelle heure ??? Qui et qui etaient présents ??? 😆 😆 😆 Hummmmmmmmmmmm incroyable
Sanogo est responsable de tout les malheurs qui s’abat sur le Mali,, il doit-être tout simplement arrêter et égorger sur la place public….
Hummmmmm les journaleux pret à ts pr gagner de largent.LE MALI EST A LIMAGE DES JOURNALISTES DE CE GENRE
Comments are closed.