Apparemment, le nom du Généralus léopardis ne fait plus recette aux élections. Presque tous ceux qui se sont présentés sous sa bannière sont été, soit mis en ballottage défavorable ; soit battu à plate couture. Et, plus grave, dès le premier tour.
C’est, entre autres, le cas du Domingo de la musique malienne. En se fondant sur sa popularité et celle du locataire de Koulouba, il avait juré, la veille des législatives, de passer haut la main, dès le premier tour, avec 90% des voix.
Mais au bout du compte, ce fut l’humiliation. Une déculottée.
L’homme qui voulait être le porte voix du Généralus léopardis à l’Assemblée Nationale, voire sa porte –guitare, n’a même pas eu droit au second tour. A une seconde chance.
Le Domingo de la musique malienne ignorait que musique et politique ne font pas, toujours, bon ménage.
L’auteur du célèbre « Nous pas bouger ! » n’a pas bougé d’un iota.
Car la musique adoucit les mœurs, pas la politicaillerie.
Oumar Babi
“