Ismaël Wonder :\ Je ne suis pas un pédé \""

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Invité de l’émission culturelle et artistique "Artiste à la Une " de notre consœur Africable, animée par la charmante Pamela Badiogo, l’artiste ivoiro-malien, Ismaël Wonder, en séjour actuellement à Bamako, en guise de réponse aux allégations selon lesquelles il serait homosexuel, rétorque à ses détracteurs : " Je ne suis pas un pédé. " Pour étayer sa thèse, l’artiste sort un tube intitulé " tchè tè, muso tè, jinè do " (pas homme, ni femme, mais génie); dans lequel tube il aborde le sujet. Cependant, à l’écouter, il se veut solidaire des homosexuels. La réplique de Ismaël Wonder va difficilement convaincre ceux qui pensent déjà que il est homosexuel, car son accoutrement, son look et ses reflexes très féminisés ne plaident pas en sa faveur. Wonder prêche alors dans le désert ?

 

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18ème session ordinaire de l’autorité routière

 

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Redoubler d’efforts pour mobiliser plus de ressources

La  18ème session ordinaire de l’Autorité routière s’est tenue à son siège, le 27 janvier dernier.  Au titre de l’exercice 2010, selon Mme Diarra Aminata Coulibaly, présidente du conseil d’administration, l’exécution du programme a été fortement influencée par les préparatifs du cinquantenaire, qui ont amené l’Etat à rembourser à la structure 4 milliards de nos francs en termes d’arriérés. Ce qui a nécessité une rectification du budget de 2010 pour être porté à 22,5 milliards de nos francs. Les administrateurs de l’agence se fixent comme objectif principal de redoubler d’efforts pour mobiliser plus de ressources.

 

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Production cinématographique au Mali

 

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Plus de 650 millions pour réaliser " Concession "

Le premier clap de la nouvelle série télévisée du centre national de production cinématographique (Cnpc) «Concession» a été donné le jeudi dernier. La série qui est en tournage depuis le 5 juin dernier a atteint une trentaine d’épisodes pour un total de 52 épisodes. Œuvre culturelle d’intégration sous-régionale, cette série sera réalisée  outre le Mali, dans trois autres pays de la sous-région que sont le Burkina dont l’étape comporte huit épisodes, le Niger avec trois épisodes et enfin le Togo dont l’étape comprend deux épisodes. Selon le délégué à la production de la série, Modibo Bâ, le budget estimé pour la réalisation de ce film est de 650 millions de francs Cfa. Un financement du Cnpc, avec une subvention de l’Union européenne et de l’Uemoa, dans le cadre de son volet appui à la production d’œuvres culturelles et artistiques.  Plus de 800 acteurs et autres figurants joueront dans cette série. " Concession ", dont le nom évoque  " Dou, la Famille " de Boubacar Sidibé. Elle se veut originale et singulière avec une famille étendue de 13 membres avec des ramifications au Burkina, au Niger et au Togo. Et c’est en cela que réside sa particularité. Le produit est attendu.

Pour mémoire, le Cnpc sera présent au festival panafricain de films de Ouagadougou, (Fespaco) de cette année avec son film " Les Rois de Ségou ". Et Moussa Ouane, son directeur promet de surprendre les observateurs maliens, puisqu’il a confiance à son produit. Attendons de voir.

 

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Assemblée générale du Roppa à Bamako

 

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Joutes verbales entre  Agatham Ag Alassane et Djibo Bagna

A la faveur de l’Assemblée générale du réseau des organisations paysannes et des producteurs agricoles de l’Afrique de l’ouest (Roppa), tenue du 25 au 27 janvier dernier au Cicb, le président du réseau Djibo Bagna du Niger, a fustigé le peu d’engouement de nos bureaucrates (intervenant dans le secteur agricole) pour le monde agricole qui, à ses dires, passent le plus clair de leur temps entre les bureaux climatisés au lieu d’aller au champ. La réplique du ministre, Agatham Ag Alassane, ne s’est pas fait attendre.  Selon lui, " avant de devenir bureaucrates, nous avons cultivé les champs de nos parents au village, avons conduit les troupeaux dans les pâturages, donc nous sommes issus du monde rural ".  Cette réponse d’Aghatam Ag Alassane ne surprend guère personne, mais la réalité est tout autre. Il ne fait aucun doute cependant que le secteur rural est laissé pour compte dans la majorité de nos pays. Toutefois, il faut reconnaître que beaucoup de nos bureaucrates ont des dizaines d’hectares de terres fertiles,  inexploitées ou exploitées dans la zone office du Niger alors que les vrais exploitants, sous le poids du coût des pesticides et de l’eau préfèrent tourner le regard vers d’autres secteurs moins rentables.

 

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District de Bamako

 

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Des macarons pour les chefs coutumiers ?

 

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A la faveur d’une réunion avec le gouverneur et du maire du district, le mercredi 26 janvier dernier au gouvernorat du district, les chefs de quartier ont exprimé leurs préoccupations quant au développement de leurs quartiers respectifs. Cependant, certains chefs coutumiers ont été jusqu’à exiger la confection de macarons spéciaux pour chef coutumiers ou village, histoire de les distinguer du citoyen lambda et de leur ouvrir la voie au trafic d’influence. 

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Au cours de la même rencontre, le chef de quartier de Banconi, lui, est monté au créneau pour  dénoncer l’attitude de certains citoyens du secteur de Razel, qui veulent aller à l’encontre de la loi en auto-érigeant en quartier leur secteur.

Le gouverneur, Ibrahima Féfé Koné, ahuri par de telles propositions a quand même promis que des mesures inhérentes seront prises.

 

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