POUR MAGNIFIER LE BALAFON
Pour magnifier le balafon, une soirée artistique et culturelle dénommée “Nuit du Balafon” et placée sous le parrainage du franco-malien Malamine Koné de la société “Airnès” sera organisée à Bamako, sous forme de concert vers fin avril 2014. Cette “Nuit de balafon” enregistrera la participation d’artistes de renom tels que : Nèba Solo, Seydou Balani, Lamissa Bengaly Junior, Mariam Bagayogo, a confié le président de l’Association des joueurs de balafon du Mali. Ce concert se déroulera sur la berge du fleuve Niger à Badalabougou.
L’évènement, selon l’artiste “Dabara”, bénéficie du soutien très précieux de certaines personnalités maliennes parmi lesquelles on cite : Soumaïla Cissé, Bakari Togola et aussi la direction du Palais de la Culture. L’artiste chouchou des Maliens, en la personne de Mamadou Dembélé alias “Dabara”, a mis à profit cette conférence pour parler de ses rapports avec Malamine Koné, un natif de Nièna. Aussi a t-il expliqué les raisons de l’organisation d’une telle manifestation.
Pays à forte dimension culturelle, le Mali regorge de potentialités encore inexploitées, selon l’artistes Mamadou Dembélé dit “Dabara”. Il ajoute que la valorisation de notre patrimoine a toujours été une préoccupation majeure de nos autorités. Pour l’artiste, l’organisation des festivals à travers le pays s’inscrit dans l’optique d’offrir des espaces de promotion culturelle.
Cependant, “Dabara” déplore les difficultés liées au secteur balafon qui éprouve du mal à se restructurer. Pourtant, précise le conférencier, de tous les genres musicaux, le secteur du balafon a résisté au temps, aux envahissements des courants extérieurs, à la mode. Bien qu’appartenant à une aire culturelle, le balafon est prisé de tous, a dit l’artiste Mamadou Dembélé.
Pour le conférencier, la mise en place d’un cadre, à la mesure de leur talent, permettrait de donner plus d’attrait à ce genre musical, de valoriser la pratique et d’offrir aux administrateurs et au public de meilleure qualité de balafon.
A cet effet, l’organisation de la “Nuit du balafon” serait une opportunité, a dit “Dabara”. Elle rassemblera les joueurs de balafon, les danseurs, les sympathisants et amateurs. L’objectif, affirme-t-il dit, est de promouvoir le secteur du balafon au Mali et partout dans le monde, renforcer l’Union, l’entraide et la solidarité entre les membres, défendre les intérêts des joueurs de balafon. Ce sont entre autres les objectifs de l’association portée sur les fonts baptismaux et qui est représenté au Mali par le bureau de l’Alliance pour la Paix et la Solidarité (Aps).
Laya DIARRA
Hi Conrade,If “co-existence” means no peace until the whole world becomes Muslim, then it is relaly a concern! Praying. Good to have you who prays along. 🙂
Thanks for the encouragement. While wnroikg on this project, I have found myself thinking about the way you treat shadows and reflected light in your paintings. The presence of color, and probably the ongoing gradual improvement of my basic skills with Painter are definitely making me develop the characters more than I did in the grayscale drawings. One surprising thing is that I find that I miss in the color project is the wonderful presence of ambiguity that is possible in the grayscale works. When color is given to an object or form or space it is similar to the act of naming. I have always felt that naming is our very human way of carving order out of chaos and limits how we see what we see. Now in the color project I feel like the color, though very luscious and seductive to play with, limits the ambiguity of the space. My mind is less free to interpret what I see in the image. When any particular color is used at various locations in an image, the mind tends to want to connect it and perceive it as a continuous surface: like seeing bits of blue between the leaves in a tree our mind constructs an understanding of the sky that is above or behind the tree. Phew! It sounds like I am back in the studio giving a lecture on color and composition. Yikes! I thought I had retired!?
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