Le Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne (CSDM) peut être fier de l’adoption par l’assemblée nationale du Mali de la loi portant modification de la Constitution. Les députés de notre pays ont accédé aux propositions faites par la diaspora à travers le CSDM. Il s’agit précisément de réserver une part de députés aux Maliens de l’extérieur.
Cela a été une revendication depuis plusieurs années et une exigence forte réitérée lors de la conférence d’entente nationale. Le président de la structure Mohamed Cherif Haidara a longuement justifié un tel besoin. « Un tiers des Maliens vivent à l’étranger. Il est inacceptable de nos jours qu’ils ne soient pas représentés à l’Assemblée nationale. Il y a des députés qui défendent l’intérêt des Maliens de l’extérieur, mais cela ne suffit plus. Nous voulons être représentés par des Maliens de la diaspora pour qu’ils puissent parler en notre nom », a-t-il expliqué lors d’une conférence au siège du CSDM. Il faut dire que sur les questions liées à la défense des intérêts de ses compatriotes de l’étranger, M. Haidara a mené un véritable plaidoyer. Ce combat acharné lui a d’ailleurs valu d’obtenir le poste de Secrétaire chargé des questions migratoires au sein du bureau du Conseil National de la Société Civile malienne. Le Haut Conseil des Maliens de l’Extérieur (HCME), du haut de ses 25 ans d’existence, est désigné pour être l’adjoint d’un CSDM qui n’a que 2 ans. Le 17 mai dernier, c’est la commission loi de l’assemblée nationale qui a reçu une délégation du Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne afin de recueillir ses avis sur le projet de révision constitutionnelle. Là encore, la même position qui a été redite à la commission.
La nouvelle est maintenant tombée. Ce week-end a vu l’adoption de ladite révision par une large majorité du parlement. Au nombre des acquis, des sièges seront réservés pour des députés issus de la diaspora. Cette première partie de la bataille a donc été remportée par Cherif Haidara et ses hommes. Reste à voir le degré d’application de cette nouvelle décision au sommet de l’état car le CSDM, lui ; a déjà un schéma. Il note à propos que les Maliens de l’extérieur sont déjà organisés en cinq zones et demande pour eux le 10e de la taille du Parlement. D’ores et déjà, c’est une immense satisfaction au sein de la diaspora d’où l’on attend de nombreux messages de félicitation pour cette étape franchie.
Correspondance particulière
NON : PAS LE CSDM.
Le messager d’Allah a dit :
« Parmi ce que les gens ont retenus des paroles prophétiques anciennes celle-ci : si tu n’as pas de pudeur, fais ce qu’il te plaît ! »
Ainsi cette personne mué par une ambition démesurée, qui s’attribut faussement la paternité de de l’adoption de ces dispositions sur la représentation des Maliens de l’Extérieur au parlement ; fait ce que bon lui semble car il n’a pas la moindre pudeur.
NON : LA REPRESNTATION DES MALIENS DE L’EXTERIEUR AU PARLEMENT N’AS PAS ETE OBTENUE PAR LE CSDM.
Si ce Monsieur avait un peu de vergogne, il imaginerait que les maliens établis à l’extérieurs, les responsables des Conseils de Bases, le président et les Instances dirigeantes du HCME, le Ministre des Maliens de l’Extérieur, le Premier ministre, le Comité d’Expert, le président, le vice-président de l’AN et les membres de de la commission Lois de l’Assemblée Nationale, le président de République entre autres savent qu’il est entrain de mentir. La représentation des Maliens de l’Extérieur est un acquis d’un combat collectif de longue haleine porté par le Haut Conseil des Maliens de maliens de l’Extérieur. Les phases finales c’est la rencontre avec la Commission Lois et celle avec son Excellence le Président Ibrahim Boubacar KEITA. Nous reviendrons en long et en large sur la question.
Le messager d’Allah a dit :
« Parmi ce que les gens ont retenus des paroles prophétiques anciennes celle-ci : si tu n’as pas de pudeur, fais ce qu’il te plaît ! »
Ainsi cette personne mué par une ambition démesurée, qui s’attribut faussement la paternité de de l’adoption de ces dispositions sur la représentation des Maliens de l’Extérieur au parlement ; fait ce que bon lui semble car il n’a pas la moindre pudeur.
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