C’est par un arrêt de travail que les municipalités du syndicat mixte de l’inter-collectivité« Grand-Bamako » a manifesté son soutien au maire Adama Sangaré tout en réclamant sa libération.
Le mouvement a duré sept jours, du lundi 4 au dimanche 10 novembre dernier. Et la réunion d’évaluation à mi-parcours de cet arrêt de travail en vue faire libérer le maire central de Bamako, a réussi à 80%, selon les explications de la vice-présidente du syndicat mixte, Mme Karembé Rokia Diarra.
Elle assure que la consigne de grève a été bien suivie dans certaines communes, mieux que dans d’autres. C’est, dira-t-elle, Grand Bamako qui a décidé de porter cette revendication relative à la libération de ces élus municipaux. Avant de préciser qu’in ne s’agit pas d’une grève mais d’un arrêt de travail, le syndicat n’a pas encore un statut concret.
Selon, des témoignages collectés dans différents endroits de Bamako et de sa périphérie, si les communes III et IV (quelques mariages annulés pour fait de grève) ont connu une paralysie dans leurs services, en commune I a travaillé, les communes V et VI n’ont enregistré aucun acte civil. L’on signale que Kati a travaillé et la commune du Mandé a aussi été fonctionnelle mais un peu timide..
Rappelons que l’édile central de Bamako est placé sous mandat de dépôt dans une affaire de marché d’éclairage dans le cadre de la célébration du Cinquantenaire en 2010.
Bruno D S
Bandes de corrompus, sangsues. Au travail ou vous ramassez vos affaires des bureaux et foutez le camp, on a beaucoup de jeunes maliens honnêtes qui sont en chômage. Merde, racailles de voleurs
Nous sommes dans quel pays aujourd’hui? Des actes qui faisaient honte aux maliens d’avant deviennent la fierté de certains de nos jours, il faut rapidement détecter ces bandits ces malfrats et les conduire aussitôt dans le même bagne qu’Adama, ils ne savent pas que le pays est au bord d’implosion qui semble même irréversible actuellement. Il y a des gens qui croient que le Mali existe encore, mais ils se trompent et sont toujours dans leur rêve sans fondement, le jour où ils se réveillerons le “trop tard jouerait son rôle”. Nous sommes dans un pays dont les dirigeants ont totalement acceptés la médiocrité en bandes organisées et refusent de raisonner, mais le chaos viendrait très bientôt ouvrir les yeux des plus malhonnêtes et ce jour là il y aurait beaucoup de dégâts collatéraux malheureusement. Comment peut-on accepter de supporter un malfrats bien épinglé par la justice malienne? Ils sont sans équivoque fous, fous et fous.
Qu’ils continuent, on s’en fout, de toute façon, ils font plus de mal aux populations qui les élisent que de bien. S’ils continuent leur grève, cela épargnera au moins des terres cultivables des pauvres populations.
LIBERATION d’un petit voleur,Attendez votre tour çà viendra bandits voyous .
Attendons qu’on retourne au 26 Mars ou la place de l’Indépendance pour le soutien a nos dignes juges …tous les maires qui refusent de servir dument en protestation seront révoqués. On vous a tout donne dans ce pays et vous continuez a vouloir nous maintenir dans la corruption en défendant contre la justice des gens suspectés de malversation.
Restez calme, la récréation est finie.
Les petits maires qui ont de quoi se reprocher doivent multiplier les aumônes sinon leur tour n’est plus loin
Quelle Honte? qui s’assemble se ressemble, bande de voleurs réunis hélas! Rien d’étonnant dans cet acte, c’est le contraire qui serait surprenant de ne pas voir les voleurs se manifester pour tenter de sauver, non pas la peau ou la tete de Adama , mais ils veulent tenter de sauver leur propre tete. La marche pour Adama n’est qu’un prétexte. Mais que cette bande de malfrats ennemis du peuple, sache que leur action n’aboutira nulle part, et a chacun son tour chez le coiffeur. Il seront TOUS raser. Rien ne sert de courir tot, Tabasky viendra, on va les cueillir Tous un a un et les foutre en prison et récupérer tous les biens voler de l’Etat avec dommages et intérêts. Basta!
ce que vous ignorez il y a maintenant plus de 17 plaintes qui ont été déposées dans le dossier foncier depuis l’incarcération de M. SANAGARE
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