« Un homme qu’il faut à la place qu’il faut ». Ce proverbe sied bien au maire de Sangarébougou Marseille Kassoum Sidibé. Un homme qui, à peine installé au fauteuil de maire, a donné un nouveau visage à la commune de Sangarébougou.
Elu haut la main lors des communales du 20 novembre 2017, sous la bannière de l’Union pour la république et la démocratie(Urd), Kassoum Sidibé a été investi à son fauteuil de maire de Sangarébougou le 06 janvier 2017. A peine six(06) de son installation, il a réussi à conquérir le cœur de la population de Sangarébougou Marseille par l’enclenchement des projets de développement. Il a commencé par donner un nouveau visage à la Mairie (qui se trouvait dans un sal état) dont les différents bureaux ont été équipés par des meubles et des matériels informatiques de dernière génération. A la tête d’un conseil communal dynamique, le maire Sidibé qui nous a accordé un entretien, la semaine dernière, entend répondre au mieux aux aspirations d’une population longtemps marginalisée. Car à l’en croire, avant leur accession au pouvoir tout tournait à un rythme effréné dans la Mairie de Sangarébougou. « La Mairie, avant notre arrivée, était désertée, de plus rien ne marchait car ses infrastructures étaient dans un état pitoyable », a-t-il indiqué. Avant de promettre que rien ne sera comme avant dans la commune de Sangarébougou Marseille.
De vastes chantiers en perspectives !
« Le nouveau bureau conseil, sous ma houlette, a beaucoup de projets de développement pour Sangarébougou. Nous envisageons de faire Sangarébougou Marseille, une des communes les plus enviables et conviviales du Mali », a promis le maire Sidibé qui bien avant son élection à la mairie avait entrepris un vaste programme de forage pour permettre à la population principalement aux femmes d’avoir accès à l’eau où qu’elles soient sans avoir à passer la nuit à la recherche de l’eau.
Et de nos jours, la commune se trouve actuellement avec 7 ou 8 forages tous terminés et les machines de forage sont toujours sur le terrain pour en creuser plus dans l’optique d’éradiquer totalement le fléau de manque d’eaux dans la commune de Sangarébougou .
En ce qui concerne le goudronnage de la commune, l’homme fort de la mairie affirme avoir reçu pas moins de trois délégations de l’Etat avec un vaste programme qui va permettre à cette localité d’être goudronnée en la joignant à l’axe de Koulikoro.
Pour la santé, le maire Kassoum Sidibé compte sur d’autres moyens d’investissement extérieurs dans ce domaine car l’Etat n’a pour l’instant rien apporté comme financement dans la santé. Quant à la problématique des fonciers, le maire Sidibé a tenu à rassurer qu’il privilégiera la médiation à la justice pour gérer au mieux cette situation épineuse afin de préserver la paix et non la guerre entre les habitants de la commune de Sangarebougou Marseille. Le développement de cette commune est une priorité pour Mr. Sidibe. C’est dans cette optique, a-il-confié, qu’il ambitionne de faire construire un grand hôpital comportant toutes les spécialités médicales et la construction, lors de leur 2eme année, d’un grand lycée public qui compétira avec les autres lycées privés.
Signalons que Mr. Sidibé et les membres de son équipe chevronnés envisagent d’effectuer 50% de son programme de quinquennat à sa première année à la tête de la mairie.
Vu le travail colossal abattu à peine seulement 6 mois, la population n’a pas du tout fait le mauvais choix en portant le candidat URD, Kassoum Sidibé à la tête de la Maire de Sangarebougou Marseille.
La Rédaction
KOROFINA : Le maire, Amadou Coulibaly, dressé contre l’incivisme !
Le maire Amadou Coulibaly a envie de réaliser de grands projets de développement au bénéfice de Korofina(en commune I du District de Bamako). En un premier temps, il veut faire l’assainissement son cheval de bataille. Pour ce faire, il veut mettre fin à l’incivisme de certains habitants qui jettent des ordures sur le goudron. Il a d’ailleurs convoqué, la semaine dernière, toutes les notabilités, responsables et chefs de familles… à une réunion à la Mairie. L’objectif recherché, c’est de sensibiliser les uns et les autres à bannir l’incivisme et à cultiver la citoyenneté.
Le constat est aberrant. Il suffit de faire un tour à Boulkassoumbougou pour constater que le goudron est envahi par des ordures ménagères. La route passant de Boulkassoumbougou à Marseille est devenue un véritable dépotoir d’ordures.
Nous avons rapproché le maire de Korofina, Amadou Coulibaly, qui a indiqué que des mesures sont en cours pour sanctionner tous ceux qui jettent les ordures sur le goudron. Selon lui, le goudron n’est pas un dépotoir des ordures. « Nous ne cautionnerons plus ces genres d’actes d’incivismes caractérisés de certains habitants malintentionnés qui mettent en danger la santé des paisibles citoyens », a-t-il-laissé entendre. Avant de lancer un appel pressant à toutes les bonnes volontés dans l’accomplissement de son travail pour l’épanouissement de la commune mais aussi pour le bonheur de la population. Arrivé à la tête de la Mairie il y a six(6) mois, Adama Coulibaly a juré la main sur le cœur qu’il nourrit l’intention de faire de la Commune I du District de Bamako, une commune de référence. Pour ce faire, il a, en vue, beaucoup de projets dont certains ont été d’ailleurs réalisés. Il s’agit entre autres: l’interdiction de passage des animaux, le ramassage des ordures et le nettoyage des caniveaux. Pour pouvoir réaliser des travaux de développement, le maire Coulibaly a lancé un appel aux populations à payer les taxes et impôts qui permettent la réalisation des travaux et le bon fonctionnement de la commune. Le maire Coulibaly n’a pas manqué de solliciter tous apports matériels ou financiers pour la réalisation de grands travaux comme des routes, des caniveaux, des centres de santé et des écoles.
La Rédaction