La rue 158, soit la première rue située à la droite à l’entame du pond Fahd est devenue depuis un bon moment : « une rue fermée, aux passages des engins ». Selon les renseignements, la décision de fermer cette rue en question située à l’entame du pont serait venue de la mairie de la commune V. Aux dires de certains policiers, cette décision de la mairie vise à éviter les risques d’accidents de la circulation. Si tel est le cas, les autorités communales se devaient au moins informer les usagers par l’implantation d’une plaque au lieu de la faire surveiller par des agents dont les décisions sont contestées par les usagers, notamment (motocyclistes) à longueur de journée, en plus de son lot de palabre avec certains usagers. Remarque ; tout le public aux alentours, pointe le doigt accusateur sur le sieur Isaac Dembélé dont le domicile se trouve au bout de la rue et qui, aurait barricadé la toute première fois, la rue avec du grillage empêchant même au piéton de passer.
Pour certaines personnes, le sieur Dembélé use de sa richesse pour imposer et dicter sa propre loi aux usagers. Pour parvenir à ses fins, il est arrivé à rouler dans la farine, la mairie de la commune V, particulièrement le maire Boubacar Bah dit Bill. En plus des autres usagers, il s’avère même que les étalagistes sont contraints de se soumettre à cette nouvelle loi. Ils ont été appelés à vider les abords de la rue en question. Il n’y a pas si longtemps, des jeunes très en colère et révoltés avaient fait tomber le grillage qui avait été mis aux alentours par M. Dembélé. Pour la petite « h » depuis déjà quelques temps, ce sont des pieds de fleurs qui occupent la dite rue. Pour toute fin utile, le maire Boubacar Bah dont la maison se situe juste derrière la rue 158 doit prendre ses responsabilités soit, en fermant complètement cette rue ou en mettant une indique pour informer les usagers de sa fermeture. Car, rien ne justifie en réalité la fermeture de cette rue.
Rassemblées par Zhao Ahmed Bamba et Hamane Touré