Incarcéré, puis mis en liberté provisoire, le Maire du District de Bamako, Adama Sangaré, candidat investi de l’ADEMA – PASJ aux législatives du 24 novembre en Commune III, fait toujours peur à ses adversaires politiques.
Tout le monde sait que le seul péché du maire, c’est de vouloir appliquer la loi à travers le retrait des terrains qu’il avait entrepris, il y a deux ans, avec l’accord du département de tutelle et, surtout, du Président de la République d’alors.
De tout temps il a été mentionné sur les lettres d’attribution de terrain, les permis d’occuper, les concessions rurales, que, faute d’avoir aménagé la parcelle ou la concession rurale dans un temps bien déterminé, les autorités légales peuvent les retirer sans une autre forme de procès.
Cette disposition est restée lettre morte. Personne ne l’a jamais mise en application. C’est le maire du District, en raison des nids d’insécurité que constituaient ces endroits, qui a décidé de faire appliquer la loi, en retirant à plusieurs citoyens leurs lopins de terre. En son temps, cela avait fait grand bruit.
Les mêmes autorités de tutelle qui avaient donné leur quitus pour ce processus ont fait marche arrière, en laissant le maire Sangaré se débrouiller seul avec les citoyens en colère. Résultat: le maire a été traité de tous les noms d’oiseaux. Malgré tout, il s’est entièrement assumé, en gérant les situations au cas par cas. Le coup étant parti, d’autres n’ont toujours pas eu satisfaction. C’est donc un problème administratif et non celui d’Adama Sangaré. Les hommes partent, l’Etat demeure.
Les plus méchants ont même juré de faire disparaitre Adama Sangaré et ont bien applaudi lors de son arrestation. Malheureusement pour eux, le dossier n’est pas consistant et aucune responsabilité personnelle du maire n’a été prouvée. Les enquête judiciaires ont trop duré pour ne pas lui accorder une liberté provisoire, mais, finalement, la vérité s’est imposée: le dossier est vide.
Ce qui a conduit la Cour suprême à l’élargir, en attendant un classement sans suite, ou, dans le pire des cas, un jugement qui lui rendra son honneur, quelque peu écorché. Ses adversaires politiques pourront toujours continuer à répéter leur chanson en chœur: «le maire du District a 15, 20, voire 100 dossiers en justice». Cela ne signifie absolument rien, puisqu’il a toujours un casier judiciaire propre. Cette situation ne pourra pas non plus l’empêcher de faire acte de candidature aux législatives en Commune III et, pourquoi pas, de l’emporter gaillardement.
Chahana Takiou
Ce_maire_est_un_voyou_et_la_democracie_malienne_reste_malade
de_laisser_des_cupides_se_presenter_pendant_que_l_instruction
de_leur_dossier_est_en_cours?
La_preuve_exite_car_il_a_vendu_tous_les_espaces_verts_et_nous_sommes_tous_à_Bamako_pour_voir_sa_gestion_calamiteuse_tournée_vers_son_profit_personnel
Ce Maire fait la honte des enfants du mali, derrière lui,il n y a que ruine et désolation.
je demande au “Mouvement des sans voix” de publier la liste des journalistes ayant bénéficié des attributions de Adama! vous verrez; takiou a été servi
MR Takiou, vous faite honte à la déontologie, comment vous pouvez dire et soutenir que ce monsieur ne se reproche rien. Il a morcelé des espaces verts, des places publiques dans le district et surtout dans la zone ACI-2000. Vous-même jugez en :
1.1 la décision N°0434/M-DB du 15 février 2012, la décision N°0761/M-DB du 09 mai 2012, la décision N° 0982/M-DB du 04 juillet 2012, de la décision N°806/M-DB du 18 mai 2012, et la décision N°1135/M-DB du 07 août 2012 du maire du district de Bamako Monsieur Adama Sangaré relatives au morcellement et à l’attribution à des bénéficiaires de la parcelle 1178 ( ESPACE VERT) ,lotissement Hamdallaye ancien aéroport( ACI-2000) ;
1.2 la décision N°1383/M-DB du 15 août 2011 du maire du district de Bamako relative au morcellement et à l’attribution à des bénéficiaires de la parcelle 1382 (MARCHÉ) sise à Hamdallaye ancien aéroport ( ACI-2000) ;
1.3 la décision N° 2642/M-DB du 26 décembre 2011 et la décision N°0081/M- DB du 22 janvier 2013 du maire du district de Bamako monsieur Adama Sangaré relative au morcellement et à l’attribution à des bénéficiaires des parcelles N°1306 et N°1307 (PLACES PUBLIQUES) sise à Hamdallaye ancien aéroport (ACI-2000) .
Est-ce que vous connaissez, le code domanial et foncier en République du Mali ?
Est-ce que vous connaissez la Loi, sur la libre administration des collectivités territoriales ?
De grâce, si vous ne pouvez pas faire votre travail taisez-vous.
Decidement on ne peut rien ecrire sans etre juge, quelque soit les affaires en cours si ce Monsieur le maire est dehors ce que son dossier ne doit pas explosif ni trop epais…les explications du journalistes sont trop et tres claires pour les gens qui veulent comprendre un peu la situation et POUR VOUS SEUL c est du griottage et COMBIEN on vous a donne a vous pour DENIGRER un valeureux journaliste de la trempre Chahana , RAISON GARDEE avancons avec des preuves et passons par la justice car ADAMA ne va pas payer pour toutes les haines vouees a ATT et son administration passee (des gens qui vous montent sur un arbre et qui le coupe en dessous de vous)Il regularise ce qu il peut comme il dit et N OUBLIER pas qu il signe bcoup de dossier transmis par les autres maires de communes ET ON NE PEUT PAS CONTROLER 1 a 1 TOUT CE QU ON SIGNE je suppose mm en occident
Chahana, le maire t’a donné combien pour écrire cet article. Tu viens de prouver que tu n’es qu’un journaleux. Le travail de journaliste n’est pas de défendre un homme ou prendre position en faveur d’une situation, mais de faire une analyse objective d’un fait qui est là. On parle de faits ici. Les espaces verts vendu illégalement à Bamako son des faits réels. Un peu de respect pour nous quand même Chahana. Tu ne peux pas faire l’avocat du diable ici. En plus ce n’est pas intelligent ton article, on n’a même pas besoin d’être journaliste pour voir que c’est une commande. Manque d’éthique et de professionnalisme.
Son travail n’est pas non plus de le dénigrer sans preuve. Il n’a fait que écrire ce que le monsieur lui a dit lors de l’interview. Et vous combien on vous donne pour dire ces diffamations. Laissez le journaliste en paix. Et c’est la vérité il n’a fait que appliqué la loi en retirant les différents lots. C’est pas la première fois qu’on le fait au Mali, ma famille en a été victime en 1992 quand Mme Sy Kadiatou Sow était gouverneur du district. A Djelibougou petit pari et La mon père avait déjà commencé à construire et la maison était arrivée a hauteur, il y avait un puits aussi et le gardien vivait dans l’annexe. Donc qu’est ce que vous voulez a chaque régime ses victimes. Nous nous sommes les victimes de celui Alpha et IBK car il était premier ministre, d’autres ont été ceux de ATT et son régime et d’autres seront ceux de ce nouveau régime D’IBK a la fin de son mandat.
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