Infrastructures : Bamako se «détruit »

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Un tas d'immondices en plein centre ville de Bamako
Un tas d’immondices en plein centre ville de Bamako

Mais, tout s’est écroulé depuis le coup d’Etat de mars 2012. Et depuis, rien ne se construit plus au Mali. La preuve ? Bamako devient une ville sale, avec des tas d’ordures à chaque coin de rues. Les infrastructures construites à coup de milliards se dégradent. Au même moment, aucune nouvelle infrastructure n’est en chantier, faute de programme gouvernemental.

La Rédaction

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6 COMMENTAIRES

  1. toutes nos routes goudronnés se dégradent totalement, y a t-il un ministre chargé des transports depuis qu’IBK est au pouvoir. au secours au secours venez voir les 30 mètres, route de koulikoro, de yirimadjo!!!!! pauvre de nous!!!!

  2. Dis plutot si Nous memes et Nos dirigeants avons nous un grain de dignite. Bamako Notre Capitale est le Bordel total, la Capitale la plus miserable dans la sous region sinon dans toute l’Afrique. Nos sommes les vrais responsables de cette anarchie, de cette insalubrite et de cette manque d’entretien des edifices publiques et privees et de nos maisons d’habitation aussi.
    Combien de fois on (la population et le gouvernement) essaye de rendre fluide la circulation pour desengorger nos routes et combien de fois ces places sont reoccupees ❓ . Nous, en tant que population, avons nos resppnsabilites ainsi que le gouvernement.
    Rien ne change et tout se deteriore et nous avons le culot de demander des chanmgements a chaque fois et nous meme nous ne voulons pas changer. Nous ne voulons pas faire d’efforts a plus forte raison des sacrifices. Le Changment ne tombera pas du ciel, ni l’amelioration de nos conditions de vie etc… et Dieu ne va pas nous jeter tous ceux la sur la tete comme cela sans que Nous memes ner tant que Peuple Nous ne Nous sacrifions pas pour vraiment changer nos comportements.

  3. Est-ce que nos dirigeants ont encore un grain de dignité en eux? Il faut qu’ils soient des cochons pour se complaire dans un tel merdier et laisser le peuple le côtoyer. Et le peuple bamakois, lui reste-t-il un mitkal de respect de soi pour tolérer cette honte.

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