Après son élection à
Plus de 4060 logements ont été réalisés durant le premier quinquennat du président Amadou Toumani Touré. Plus de 10 000 autres sont attendus à la fin de son second mandat. A cela, s’ajoute la construction de 20 000 logements à N’Tabakoro par le biais de la société Foras International de
Partout au Mali, les quartiers dits ATT-bougou poussent comme des champignons avec toutes les commodités. Ce projet inédit du président ATT a permis à des Maliens d’avoir leur propre maison à un coût raisonnable. Aujourd’hui, tous ces bénéficiaires sont à l’abri des contraintes de la location.
Le premier mandat du président ATT a été marqué par la construction de 4066 logements. L’Etat a réalisé 3500 et 566 autres par les promoteurs immobiliers (Séma-SA et Ifa-Baco) dans le cadre du Partenariat Public-Privé (PPP). Bien que les attentes soient grandes, les premières réalisations ont été appréciées partout.
Ce qui a motivé le président de
Faut-il rappeler qu’en 2008, pour un objectif initial de 800 logements, 1026 logements ont été réalisés : 866 à Bamako, 20 à Bla, 20 à Diéma, 60 à Kayes et 60 à Mopti. De 2008 à 2011, des milliers de clefs de logements sociaux ont été remises à leurs bénéficiaires. Il est important aussi de souligner que toutes les couches socio-professionnelles du pays sont concernées par les logements sociaux. Aucune distinction n’est faite à ce sujet.
En plus de ces réalisations, l’Etat cherche des partenaires pour soutenir son initiative. C’est ainsi que la société Foras International de
Avec cette opération 20 000 logements et d’autres programmes, on peut conclure que cette politique du président ATT a atteint sa vitesse de croisière. De Kayes à Kidal, en passant par Koulikoro, Kolokani, Dioïla, Sikasso, Bougouni, Koutiala, Ségou, San, Tombouctou, Goundam, Diré, Niafunké, Mopti, Bamako, etc., aucune localité n’est oubliée par le programme de construction des logements sociaux.
Mais, pour que ce Programme de logements sociaux perdure et permette à d’autres Maliens d’en bénéficier, les premiers bénéficiaires doivent s’acquitter correctement des frais de location.
Ahmadou MAÏGA