Désormais, les ténors de l’ex-rébellion, nés à l’étranger, sont reconnus citoyens maliens à la faveur du vote en toute discrétion de la loi sur l’apatridie. Ainsi, Bilal Ag Achérif et compagnons venus de la Libye sont bénéficiant de la nationalité malienne.
La semaine dernière, sans tam-tam ni tambour, l’Assemblée nationale a voté une loi portant sur l’apatridie. Cette loi permettra de reconnaître juridiquement la nationalité des personnes qui n’en disposent pas comme par exemple les enfants des réfugiés et autres individus dont les parents d’origine malienne mais ne disposant pas d’actes juridiques.
Selon les statistiques, plusieurs milliers de personnes sont dans cette situation de vide juridique. Mais, si les autorités maliennes se sont vite engagées à appliquer cette disposition, c’est pour satisfaire une doléance des groupes armés signataires de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale.
Le constat est que nombre des combattants de ces groupes ne disposent pas de papiers maliens. Dans ce lot figure le chef du MNLA, Bilal Ag Achérif, né en Libye mais des parents maliens. Dans ce cas de figure, ce dernier ne pourra bénéficier de certains avantages que pourrait avoir un Malien bon teint. Le leader de l’ex-mouvement séparatiste n’est pas le seul. D’autres combattants des groupes armés sont frappés par ce vide juridique.
En votant cette loi en catimini, l’Assemblée nationale aidera l’accord pour la paix et la réconciliation à évoluer dans le sens souhaité par le contingent libyen de l’ex-rébellion. En plus de Bilal Ag Achérif, le chef militaire du MNLA, le colonel libyen Mohamed Ag Najim, est dans la même situation, car il ne dispose d’aucun papier malien.
Conscients de la situation et du risque qu’ils pourraient encourir, les deux hommes forts de l’ex-rébellion (Bilal Ag Achérif et Mohamed Ag Najim) se sont abstenus de fouler le sol de la capitale.
La réalité est qu’au cas où ils viendraient à Bamako, à tout le moment, ils pourraient être interpelles vu qu’ils ne sont pas Maliens mais ayant participé à une rébellion armée se réclamant de l’Azawad. C’est donc en toute logique que Mohamed Djéry Maïga (enseignant), Almou Ag Mohamed (opérateur culturel), Mohamed Ibrahim Ag Assaley (ancien député) et autres sont les plus visibles sur le terrain.
A .M. C.
Au moment où d’autres pays comme la France tiennent à déchoir ses citoyens binationaux de leur nationalité française pour terrorisme, le régime IBK vote en catimini une loi faisant des terroristes des maliens. Surtout des gens qui se sont jamais senti maliens (plus tôt des batraciens) et ils l’ont même pas demandé. Les terroristes du nord ont le vent en poupe au Mali. Il suffit que les brigands de la CMA éternuent pour que le régime de IBK se mouche. Comment ce terrorisme peut il finir?
“Comment ce terrorisme peut il finir?”
Mal tres mal!!!
Surtout avec la presence de l’aermeee franSSaise. C’est ca qui m’inquiete le plus… quand je regarde les états des pays francofous ou cette maudite armee est presente… ca va finir mal…
Tant que ibcon continuera a baise son pantalon, ou son grand habit blanc devant les franSSais et ces gens… ils ne déposeront jamais les armes… C’est leurs seules arguments et ca marche…
Maistenant ils se balladent a Bko comme si de rien n’était…
Voila un type qui est ne a létranger de parents etrangers..
Au lieu de rentrer au Mali pour aider le pauvre peuple, il porte la haine, la violance, la guerre au peuple…
Pour le remercier les fougaridens de dirigeants lui donne un passe port malien, … apres qu’ils aient trahi Khdafi qui les a recoit chez lui!!!
Le mali est un pays dirigeants par des minables vieux vautours laches…
“parents maliens”
Il redevient, il s’était égaré (cf. GMT) comme d’autres de sa tribu avant lui (ha! Maliba!)
A bon il n’était pas malien ❓ ❗ la CEDEAO et l’ ONU qu’ils nous obligeons de négocier avec les étrangers dans notre territoire les gens de l’ONU y marchent sur leurs têtes maintenant le gouvernement doit prendre leur responsabilité sur la région de KIDAL cette ville ne devra pas être exister détruire totale 😈 😈 😈 😈
La réalité est qu’au cas où ils viendraient à Bamako, à tout le moment, ils pourraient être interpelles vu qu’ils ne sont pas Maliens mais ayant participé à une rébellion armée se réclamant de l’Azawad.
Vous faites rire. Qui ose l’arrêter?
Vote en catimini de la loi sur l’apatridie : Bilal Ag Achérif, le leader du MNLA, devient un Malien
Par L’Indicateur du Renouveau
– Le chien aboie, la caravanne passe…!
– Le Mali est un grand pays et sa diversité a fondé son unité du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest par le vécu des courants historiques qui eux lui legués un brassage harmonieux de civilisations du moyen-âge à nos jours…!
– Qui veut faire parti de cet ensemble sans violence et sans brutalité et partager avec les autres Maliens ces valeurs civilisationnelles est le bienvenu…!
– Il tangera comme 1963, 1990, 2006, 2012, mais illusion de penser un instant que ce pays va sombrer! Et de reprendre Salif Keita qui chantait que: “Ci bàn tò de bè mali ba kèlè”
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