Au moment où le peuple se dresse contre la France pour la clarification de la situation de Kidal, le président IBK semble avoir son propre agenda ce même Kidal. Sinon, il n’aurait pas dû offrir cent (100) millions de nos francs pour l’organisation du congrès du MNLA. Les preuves.
Quelques jours avant l’organisation de leur congrès, des membres de la CMA avaient été reçus par le président IBK. Pourtant, il y avait une brouille entre le régime et les hommes de Kidal. Mais, il y avait un objectif à atteindre, il s’agissait de débloquer de l’argent pour l’organisation du congrès.
En effet, à la suite de la rencontre, il aurait été décidé de mettre une importante somme à la disposition des ex rebelles. Pour alors accomplir la mission, le Colonel A.T. fut désigné et délégué pour apporter la somme des 100 millions pour l’organisation du congrès.
Finalement, les Maliens ne savent plus à quel saint se vouer avec ce régime. Car cherchant à conserver par tous les moyens Kidal, ils ne veulent pas abandonner IBK dans la gueule du loup. Ce, malgré ses erreurs de signature de l’Accord d’Alger qui semble être plus un problème qu’une solution. Puisqu’il a donné un statut d’indépendance à cette partie du pays. Et depuis, la France s’y est installée et elle protège, au vu et au su de tous, ses intérêts et est en train d’organiser cette partie du pays comme une nation à part. Qu’à cela ne tienne, IBK bénéficie du soutien de son peuple. Ce qui lui a valu finalement d’opter à revoir la copie de ce fameux accord. Du coup, en s’adressant à la nation, face à la pression du peuple, IBK a demandé de revoir la copie de l’Accord. Par cet acte, les ex rebelles ont décidé de se retirer du dialogue national inclusif (DNI). Ainsi, ils ont commencé à menacer le pouvoir. Qui va céder et se soumettre à leur bon vouloir. D’où la rencontre des membres de la CMA avec IBK qui aurait ensuite décidé de financer le congrès du MNLA. Alors le Colonel A.T. a été mis à contribution d’apporter la somme. Ce qui fut fait. Du coup, les ex rebelles entendent prendre le train en marche. Ah, le Mali!
B. DABO