Des violations des droits de l’Homme, les plus graves, ont été commises sur la population dans plusieurs localités du Nord du pays. A Tombouctou, les femmes victimes de la crise se sont constituées, de façon spontanée en association et en réseau pour une synergie d’action commune. Elles veulent actuellement obtenir réparation.
Les femmes victimes de la crise à Tombouctou sont toujours sous l’état de choc. Elles dénoncent leur non prise en charge. Elles invitent les autorités à mener des actions concrètes pour leur rendre justice.
La Commission vérité, justice et réconciliation dit comprendre l’impatience des victimes. Selon ses responsables, le rôle de la CVJR est de recenser toutes les victimes, de vérifier les allégations et de produire un rapport qui est soumis au gouvernement pour réparation.
https://reseauinternational.net/des-millions-de-migrants-occidentaux-inondent-lasie-lamerique-du-sud-et-meme-lafrique/
Le journaliste-écrivain américain d’origine russe André Vltchek, qui voyage dans ces pays depuis des décennies, a pu constater cette invasion migratoire occidentale et aussi le fait que la majorité de ces migrants occidentaux arrivent avec un complexe de supériorité et ne respectent pas beaucoup les cultures locales.
Des dizaines de millions d’immigrants européens et nord-américains, légaux et illégaux, inondent les villes et les campagnes d’Asie, d’Amérique latine et même d’Afrique.
Ces migrants occidentaux chargent comme des taureaux et le sol tremble sous leurs pieds; ils fuient l’Europe et l’Amérique du Nord en hordes. Au fond, ils ne peuvent pas supporter leur propre style de vie, leurs propres sociétés, mais vous les entendrez difficilement le dire. Ils sont trop fiers et trop arrogants! Mais, après avoir constaté que d’innombrables régions du monde étaient adaptées à leurs besoins personnels, parce qu’elles étaient sûres, attrayantes et bon marché, ils ont tout simplement fait leurs bagages et s’y sont rendus!
Les immigrants potentiels d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Australie sont déterminés à s’enrichir par tous les moyens, aux dépens des populations locales. Ils sont constamment à la recherche de bonnes affaires: ils surveillent les prix partout, prêts à passer à l’acte, à condition que le lieu offre de bonnes affaires, des lois d’immigration laxistes et un cadre juridique faible.
Tout ce qui est pur et inexploité est en train d’être corrompu. À la vitesse de l’éclair, les immigrants occidentaux s’emparent de terrains et de biens immobiliers à prix raisonnables. Ensuite, ils imposent leur mode de vie à tous ces « territoires nouvellement conquis ». En conséquence, des cultures entières s’effondrent ou changent au point qu’on ne puisse plus les reconnaître.
En général, les migrants occidentaux sont arrogants et têtus; ils ne ressentent aucune pitié pour les pays qu’ils inondent. Ce qui les entoure n’est qu’un fond coloré pour leur précieuse vie. Ils ne peuvent ni ne veulent « adopter » les coutumes locales, car ils sont habitués au fait que leur culture est la « culture phare » – la culture qui contrôle le monde.
Ils viennent, ils exigent, et ils prennent tout ce qu’ils peuvent – souvent par la force. Si rien n’est fait, ils prennent tout. Après, quand il ne reste presque plus rien à piller, ils passent simplement à autre chose. Après eux, “aucune herbe ne peut plus pousser”; tout est brûlé, ruiné et corrompu. Comme à Bali, Phuket, au sud du Sri Lanka, dans de grandes parties des Caraïbes, au Mexique et sur la côte est africaine, pour ne nommer que quelques endroits.
Ils doivent accepter des emplois que les Occidentaux refusent de faire parce qu’ils se considèrent « trop bons pour le faire » et ils sont censés, voire ordonnés, de « s’adapter » culturellement. Ils passent par des entretiens épouvantables
Pour commencer, les immigrants occidentaux n’ont même pas besoin de visas pour entrer dans la plupart de ces pays. Il y a des décennies, l’Empire a ouvert par la force la quasi-totalité des « États en développement ». Les Occidentaux sont traités de manière préférentielle et sont généralement promus comme « source de revenus » par les régimes locaux.
Ce sont principalement les multinationales occidentales qui se divisent le butin des pays d’Asie, d’Afrique et du Moyen-Orient, mais une partie du butin finit toujours dans les poches de ces citoyens européens et nord-américains ordinaires, principalement sous la forme de régimes de retraite
J’ai vu des îles entières dévorées vivantes par des immigrants occidentaux. Il ne reste pratiquement plus rien des zones côtières pour les habitants des îles indonésiennes de Lombok et de Bali. Tout est tombé aux mains des mafias scandinaves, des mafias d’Europe centrale, des mafias australiennes… Le vol a atteint des proportions inimaginables. Même lorsqu’il est illégal d’acheter des terres, les Européens et les Nord-Américains s’associent à des gangs locaux ou élaborent des programmes qui incluent des mariages avec des femmes locales. Les migrants occidentaux sont extrêmement prudents! Il y a toujours moyen de contourner les lois et de dépouiller les pauvres des pays les plus misérables de la planète.
La « prise de contrôle » italienne de la côte kenyane… la prostitution d’enfants là-bas…
Les îles paradisiaques de la Thaïlande ont toutes disparues. Il ne reste plus aucune culture, presque aucune maison appartenant à la population locale… presque aucune partie de la côte n’est laissée intacte. Il y a juste une infrastructure touristique banale et horrible, et des millions de migrants occidentaux cuisant au soleil toute l’année, le ventre bedonnant, vêtus de tongs, buvant de la bière, main dans la main avec leurs compagnes thaïlandaises à la culture déracinée. Qu’est-ce que ces gens ont apporté en Thaïlande? La liberté? La prospérité? Un haut niveau culturel? Parlons sérieusement et honnêtement, n’est-ce pas simplement une corruption morale et une ruine culturelle totale?
Il y a littéralement des millions – voire des dizaines de millions – de migrants occidentaux (principalement européens) vivant dans toute l’Asie du Sud-Est. Les chiffres exacts sont inconnus. Il n’y a pas d’études et de statistiques fiables. De nombreux immigrants occidentaux en Asie du Sud-Est sont en réalité « illégaux ». Certains sont « semi-légaux », avec leurs « visas » permanents, leurs faux mariages et leurs investissements louches.
Le Cambodge est l’un des endroits qui attire les migrants les plus dépravés de l’Occident. Leurs virées sexuelles et leurs bonnes affaires de cul à « 2 dollars » ont été décrites en détail dans plusieurs livres colorés.
J’ai rencontré de nombreux « expatriés » et « migrants » lorsque j’ai enquêté pour la première fois dans ce pays où j’ai aidé à fermer l’un des centres de prostitution enfantine les plus notoires de la planète appelé « kilomètre 11″, situé juste à l’extérieur de la capitale, Phnom Penh. Des milliers de filles kidnappées, dont beaucoup de mineures, y étaient contraintes de servir une clientèle essentiellement européenne. Certains d’entre elles ont été kidnappés et violés en cours de route par des trafiquants venus de tout le Cambodge et du Vietnam voisin. Les filles vivaient en captivité, gardées par des gangsters vicieux. Et venus de toutes les parties du monde occidental, se la pétant en affichant leurs ventres remplis de bière, c’étaient de joyeux migrants européens d’âge moyen, qui venaient d’emménager ici qui, comme je l’ai souvent entendu de leurs bouches, péroraient en disant que « se taper une fille mineure, c’est beaucoup moins cher que de boire une pinte de leur bière de merde ».
Un correspondant local de Reuters et moi-même avions réussi à interroger plusieurs filles âgées de 14 ans, dont certaines étaient clairement en train de mourir du sida. Plus tard, lorsque nous avons commencé à photographier la scène depuis notre voiture, une foule d’hommes a commencé à nous charger, des bouteilles de bière à la main, un short tombant par derrière, prêt à tuer. Un grand gain pour le pays du Cambodge, ces migrants européens!
J’ai lutté de toutes mes forces contre ces venimeux immigrés allemands de Colonia Dignidad, dans le sud du Chili. Là-bas, de nombreux fanatiques religieux chrétiens européens ont créé leur mini-État à l’intérieur de l’État chilien, en étroite collaboration avec la dictature de Pinochet, soutenue par les États-Unis. À un moment donné, Bormann y était présent, ainsi que d’autres hauts dirigeants nazis.
Alors que la propagande occidentale continue de parler d’immigrants clandestins en provenance du Mexique qui arrivent aux États-Unis, on parle très peu de ces dizaines de millions de personnes qui immigrent continuellement de l’Europe en Amérique latine et s’installent au Paraguay, au Brésil, en Argentine, au Chili, au Venezuela et ailleurs. Avant que la dernière vague de révolutions latino-américaines ne finisse par garantir l’égalité et le respect des peuples autochtones du continent, la plupart de ces migrants européens réussissaient à implanter une ségrégation raciale et sociale profonde. Dans certains pays comme le Pérou et la Bolivie, la situation ressemblait beaucoup à celle de l’apartheid sud-africain. Jusqu’à récemment, ces migrants européens poussaient la population indigène à l’extrême marge, volant leurs terres et sabotant leurs cultures. Cela a été fait dans toute l’Amérique latine et dans de nombreuses autres régions du monde.
Dans son livre emblématique « Karma Cola », une écrivaine indienne, Gita Mehta, décrivait, il y a déjà un quart de siècle, les millions d’Occidentaux qui envahissaient le sous-continent à la recherche de « lumières », de styles de vie alternatifs et d’autres productions imaginaires occidentales sur des tendances culturelles et religieuses adaptées à leur mode de pensée. Beaucoup ont fini par devenir des migrants clandestins, pourrissant dans des ashrams et des communes étranges, certains vendant même leurs passeports pour survivre.
Le monde a été patient – je dirais même trop patient – avec ces immigrants occidentaux!
Cette patience devrait prendre fin, à cause de la brutalité, voire de la sauvagerie, manifestée récemment par l’Europe envers ces hommes, femmes et enfants désespérés qui tentaient de s’échapper de leur pays et ressemblaient à des « navires en perdition »; « Navires » torpillés par l’impérialisme occidental.
Le monde ne doit rien à l’Occident, bien au contraire! Par conséquent, les politiques en matière de visas et d’immigration devraient être réciproques, ce qui correspond exactement à l’approche de plusieurs pays d’Amérique latine.
En pratique, il y a beaucoup plus d’immigrés occidentaux légaux et illégaux vivant en Indonésie ou en Thaïlande que l’inverse. La même chose vaut pour des pays comme le Chili.
Après des siècles horribles au cours desquels le colonialisme et l’impérialisme occidentaux ont réussi à détruire des milliards de vies humaines aux quatre coins du monde, l’Europe ose toujours traiter ses victimes désespérées comme des êtres pires que des animaux. J’ai récemment été témoin de sa haine vis-à-vis de réfugiés arrivant en Grèce, en France, en Allemagne et en République tchèque.
Et après ce que j’ai vu, je me sens indigné et consterné.
Trop c’est trop!
Avec ses guerres, ses campagnes de déstabilisation, sa terreur économique et son pillage de la planète, l’Occident continue de démontrer à quel point sa culture est impitoyable et brutale. Les « crises de réfugiés » ne sont que le dernier chapitre de ce spectacle néo-colonialiste d’horreur interminable.
Alors que les navires européens continuent à intercepter des bateaux pitoyables regorgeant de naufragés qui luttent pour leur vie, tandis que les armées européennes rétablissent le contrôle des frontières
Dans un bar tard dans la nuit d’un hôtel de Sao Paulo au Brésil, j’ai entendu une conversation entre un homme d’affaires suisse en visite et son homologue chilien:
« Vous savez, ces immigrants que nous appelons « sans papier », a déploré le Suisse. “C’est trop, trop! Nous devrions simplement les jeter directement à la mer; nous devrions les noyer! Nous n’avons pas besoin d’une telle merde en Europe. ”
Quelques jours plus tôt, mon ami, un responsable du gouvernement équatorien basé à Quito, m’a raconté une histoire:
« Dernièrement, de nombreux Européens continuent à venir en Équateur et dans d’autres pays d’Amérique latine, à la recherche d’un emploi, en essayant de migrer. Leurs économies s’effondrent, mais il ne font pas preuve d’humilité quand ils viennent ici, seulement d’arrogance. Un jour, un espagnol est venu me chercher un emploi. Je lui ai demandé son CV. Il m’a regardé avec une indignation totale: « Mais je suis Espagnol! a-t-il crié. « Et alors? » ai-je répondu. « Ces jours sont finis, camarade, ces jours où il ne suffisait que d’être un Européen de race blanche pour trouver un emploi n’importe où en Amérique latine! »
Le monde non occidental ne peut tout simplement pas se permettre de tolérer un afflux annuel de millions d’immigrants occidentaux! Tout d’abord, il a été agressé par l’Occident, puis dépouillé et à la fin, il devrait tolérer d’énormes hordes d’immigrés égoïstes et égocentriques, qui essaient de profiter du peu qu’il reste après le pillage des sociétés et gouvernements occidentaux.
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